Mot du 1er Novembre au 30 Novembre : ORANGE

Etant donné les nouvelles déprimantes de ce matin, je poste un petit passage marant de ma fic sur Tenten, parce qu'il faut bien essayer de rire. A cette époque, elle a huit ans, et elle a donc pour mentor le fantôme du Nidaime depuis plus de trois ans...


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– Shisui-senpai ! Shisui-senpai !

Tobirama regarda avec amusement Tenten bondir par-dessus l’étalage d’un marchand, faire un dérapage contrôlé pour passer sous la charrette d’un voyageur, bondir sur ses pieds et achever sa course par un salto arrière avant d’atterrir juste devant Shisui qui retenait un rire avec difficulté.

La fillette courait déjà sur les toits depuis qu’elle avait appris à marcher sur les arbres grâce à Tobirama. Mais elle était à présent passée au niveau supérieur. Après l’utilisation du chakra pour faire adhérer ses pieds à une surface, Tobirama lui avait naturellement appris à utiliser le chakra pour donner de la force à ses mouvements. Du coup, il arrivait que Tenten fasse des bonds prodigieux d’une rue à une autre. Combinez ça avec sa tendance à faire des acrobaties et à ne pas tenir en place, et ça devenait tout un spectacle…
Elle escaladait ou sautait par-dessus les murs, marchait sur les mains au faîte des toits, bondissait de fenêtre en fenêtre et de toiture en cheminée pour traverser tout le village sans toucher le sol, et ponctuait ses arrivées et ses atterrissages par des roulades, des saltos, ou d’autre pirouettes acrobatiques. La voir sautiller à la poursuite de Shisui ou d’Itachi tenait presque de la haute voltige.

(Une fois, Itachi avait essayé de l’esquiver, elle l’avait taclé à mi-course, et ils s’étaient tous les deux écrasés dans l’étalage d’un vendeur d’oranges. Tobirama avait rigolé des heures).

– Qu’y a-t-il, Tenten ? fit Shisui en attendant patiemment que la fillette reprenne son souffle.

Elle esquissa un large sourire, des étoiles plein les yeux :

– J’ai une super-idée de Jutsu !

Shisui prit un air vaguement alarmé :

– Tu ne l’as encore testée sur personne j’espère !

La plupart des idées de Tenten consistaient en des adaptations, à son niveau, de techniques montrées par Tobirama. Donc des techniques dangereuses… Auxquelles Tenten rajoutait avec enthousiasme sa créativité.
Par exemple, Tobirama lui avait appris à faire des notes explosives, mais Tenten avait appris seule comment faire des explosions fumigènes, des explosions colorées, ou comment créer un champ de mines dans un terrain d’entraînement.

Tobirama priait du fond du cœur pour que son élève ait un Jounin-sensei capable de supporter l’enthousiasme et l’imagination débordante de la fillette. Si jamais on confiait Tenten à, par exemple, Sarutobi Asuma… Le pauvre Jounin allait sans doute déserter à Kiri dans les trois mois.

– Pas encore, senpai, fit Tenten avec désinvolture. Mais j’ai besoin d’un œil expert pour ça !

– … Et tu prétends toujours être incompétente à l’Académie, donc tu n’as pas demandé à un de tes sensei ? devina Shisui. Un de ces jours il faudra que tu les laisse juger de ton vrai niveau.

Tenten agita vaguement la main, pas le moins du monde concernée :

– Pendant la dernière année de Lee je ferai plus d’efforts, comme ça je serai première de la classe, et vu qu’il est dernier, on sera dans la même équipe.


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Pauvre Shisui x) J'aime beaucoup l'écrire, ce perso...

Enfin bref. Je retourne déprimer dans mon coin.

Ben euh... Le mot n'est pas apparu, non ? C'était "orange" et non "oranges".

Perdu !





EDIT de l'admin : orange est bel est bien apparu, le fait qu'il y ait un accord à la fin n'en change ni le sens, ni la prononciation, ni l’orthographe ^^ C'est pour cela que certains mots sont acceptés alors qu'il sont utilisés comme des noms ou des qualificatifs plutôt que comme des verbes.

Salut tout le monde ! Donc avec Desu ont a décidé que ce mois ci se serait le mois du fluff et de la connerie entre Lulu et Noé de Collocation Infernale (j'aime ce titre et oui, je m'auto-congratule) . En même temps après le mois d'octobre où on c'est juste éclaté à les faire souffrir, il fallait que ça change. Alors voilà un extrait totalement indépendant à la trame de l'histoire principale puisque se serait dans un moment où ils sont déjà ensemble. Enjoy !

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Noé était en train de faire la vaisselle quand il l'entendit.

C'était un son tellement bas, presque imperceptible qu'il cru d'abord l'avoir imaginé. Mais quand Noé posa le verre qu'il nettoyait sur l'évier, il l'entendit à nouveau. L'étudiant s'immobilisa, essayant d'écouter le bruit. Mais il réalisa bien vite que ce n'était pas un simple bruit mais une chanson. L'étudiant pouvait difficilement en déchiffrer les paroles et il n'était même pas sure que se soit du français ou même de l'anglais. Mais la voix était si belle et apaisante que l'incompréhension ne pouvait en gâcher la beauté. Noé sécha machinalement ses mains avec un torchon rayé orange et blanc avant d'abandonner le reste de sa vaisselle sans un regard en arrière.

La douce musique l'attirant comme un papillon vers une flamme.

Noé marcha jusqu'à l'origine de la chanson, notant vaguement qu'elle venait de la chambre de Lulu. Mais c'était assez logique à bien y réfléchir puisqu'aucune musique humaine ne pouvait être aussi... Céleste. Noé ouvrit la porte avec empressement, oubliant de frapper avant. Il y trouva Lucifer assit sur son lit qui sembla ignorer totalement sa présence. Marcel était couché sur les genoux du Diable, profitant avec bonheur de ses caresses. Mais Noé ne jeta pas plus d'un regard au panda roux, toute son attention fixé sur son ami.

Lulu avait les yeux fermés et il chantait - oh tellement doucement - une mélodie qui sonnait comme une berceuse. Noé resta immobile, un sentiment de chaleur et de paix se rependant dans tout son corps. C'était comme si la chanson était en train de faire disparaître tout le stresse et la fatigue de sa semaine d'examen. Ses partiels avaient été vraiment difficile pour lui cette fois-ci.

Lulu continua de chanter et Noé se demanda pourquoi Lulu ne le faisait pas plus souvent. C'était absolument magnifique a entendre et engourdissait agréablement ses sens.

... En faite, c'était peut-être pour ça qu'il n'avait jamais entendu le Diable avant.

Lorsqu'il voulait chanter les airs qu'il avait apprit au Paradis, la voix du Diable perdait toute apparence humaine pour redevenir celle d'un ange. Ses chansons devenaient alors beaucoup trop attirante pour un humain, ressemblant au chant mortel d'une sirène. Une toute petite part de Noé, celle qui tentait de bravement résister à cette situation, l'avait bien comprit. Pourtant l'étudiant s'en moquait complètement. Dans cet état, Noé serait capable de suivre cette chanson jusqu'à la fin du monde. Il pourrait aller en Enfer juste pour l'écouter à nouveau.

Noé somnolait presque contre la porte quand Lulu ouvrit les yeux, trop profond et millénaire pour appartenir à un humain, et il regarda l'étudiant. Sans s'arrêter de chanter, Lucifer lui fit un sourire et Noé sentit son cœur s'accélérer. Le Diable lui fit signe de s'approcher et, comme dans un rêve, l'étudiant obéit. Lulu tendit les bras vers lui et Noé prit ses mains dans les siennes. Le sourire du Diable s'accentua et il chanta un peu plus fort, plus passionnément et Noé eut le souffle coupé. Sans y penser, l'étudiant resserra sa prise comme s'il avait peur que Lulu disparaisse.

Il ne voulait plus jamais le lâcher.

Lulu le tira lentement vers lui jusqu'à ce que Noé soit contre le rebord du lit. Noé se pencha, comme hypnotisé par les yeux du Diable. Ils se fixèrent un long moment, leur visage désormais très proche. Noé était tellement perdu dans ses pensées qu'il ne réalisa pas tout de suite quand Lucifer arrêta de chanter. La mélodie raisonnait toujours dans esprit comme si elle essayait désespéramment de s'y incruster. C'est la voix, à nouveau humaine, de Lulu qui le ramena à lui:

"Est-ce que tu aimes m'écouter chanter ?" Demanda-t-il doucement avec un sourire amusé.

Noé rougit violemment en réalisant soudain à quel point il était proche. L'étudiant déglutit et il eut besoin de quelque secondes pour retrouver sa voix:

"Oui.." Souffla-t-il.

Lulu eut l'air très satisfait de lui, comme si tout cela avait été son plan depuis le départ.

"Je recommencerais alors." Répondit Le Diable avant de l'embrasser.
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Oui le Diable est une sirène.

Pour permettre à Yamane de poster du fluffy, je poste un extrait de Polydipsie ! EN espérant convaincre ceux qui ne l'ont pas encore lu x) C'ets la fic la plus barrée que j'ai jamais écrite je pense.


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La salle commune de Poufsouffle n’était pas la plus belle de Poudlard. Là, la palme revenait aux Serdaigle, avec leurs meubles élégants, leurs étagères bien rangées, le piano dans la salle commune, les rideaux et la moquettes et les coussins qui alternaient les nuances de bleu, l’impression d’espace et la décoration épurée de la pièce.
Bande de prétentieux.

La salle commune des Gryffondor ressemblait à la cachette d’une bande d’ado dans le grenier de mamie, avec les tentures d’un rouge pétant et les fauteuils super-kitch. Et la salle commune des Serpentard avait l’air d’un croisement entre la salle de réception d’un manoir gothique et un sous-marin steampunk, avec ses baies vitrées donnant sur le lac, ses tapisseries et ses canapés verres, ses globes de lumière qui flottaient un peu partout. Sauf que si on entrait dans la salle commune sous un déguisement, il y avait un enchantement (tout droit inspiré de la Cascade des Voleurs des gobelins) qui jetait une espèce de sortilège de Confusion aux intrus, et du coup ils voyaient la salle commune comme un endroit sombre et pas mal d’éléments du décor étaient cachés à leur vue. C’était censé les rendre nerveux et donc facilement indentifiable par les autres verts et argents. Apparemment Salazar était totalement parano. Quel genre de débile entrerait chez les Serpentard sous Polynectar ? Et pour quoi faire, voler discrètement les caleçons d’un préfet ?

Bref. La salle commune de Poufsouffle n’était pas la plus belle, mais en tout cas elle n’était ni ringarde comme chez les Gryffy, ni piégée comme chez les Serpy. Et du coup, elle était bien plus chaleureuse, tout en rondeur et en lumière, avec des meubles clair, des tas de coussins, des murs peints en jaune ou orange doux, bref l’endroit dégageait une impression de confort, de sécurité, et…

– Bon sang, qu’est-ce que vous glandez encore dans le passage ?!

… Et cette voix mélodieuse appartenait sans nul doute à Candela Panda, leur leader bien-aimé. Kathleen, assise en tailleur sur un canapé avec Chaussette perché sur son épaule, leva vers elle un regard innocent :

– Je peux bien passer mes deux heures d’études dans ma salle commune quand même !

– Pas toi, eux ! s’énerva la Préfète en Chef en désignant Cassie, Delmar et Lucas.

Lucas était assis à une des tables de la salle, et lisais un grimoire poussiéreux. Cassie était vautrée en travers d’un fauteuil, la tête en bas (et du coup le visage tout rouge), et Delmar était allongé sur un tapis dans la position de l’étoile de mer.

– J’essaie d’augmenter le flux de sang vers mon cerveau pour mieux réfléchir, fit la petite Serpentard sans bouger.

– … Et ça marche ?

– Pas vraiment.

Candela se tourna vers Delmar, un sourcil haussé, et le Gryffondor ouvrit les yeux sans bouger de sa position sur le sol :

– Je détends mes muscles pour favoriser la réflexion.

Candela pivota vers Lucas, et celui-ci ne bougea pas d’un cil, toujours plongé dans sa lecture :

– Méthode académique. Je cherche des infos pour mieux résoudre le problème.

La Préfète-en-Chef se tourna enfin vers Kathleen, qui ne foutait rien mis à part regarder ses trois amis faire les idiots, et celle-ci agita les mains avec un large sourire :

– Moi j’ai trouvé la solution au problème, alors je les regarde et périodiquement je me fous de leur gueule !



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Mon dieu, j'adore ce petit Quatuor de cinglés.

Yo ! Bon c'est le mois fluff & connerie donc j'écris du fluff et des conneries (qui se perdent dans l'océan d'horreur que j'écris avec Desu). Pour un peu de contexte, Lulu et Noé sont ensemble à ce moment là.
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Noé se traîna jusqu'à chez lui la mort dans l'âme.

Il avait passé une journée affreusement longue où s'était accumulé une succession de mauvaises nouvelles. Tout d'abord, l'étudiant était arrivé en retard en cours puis il avait eut une mauvaise note à un TD. Noé avait ensuite passé deux horribles heures à essayer de mettre au point un exposé avec quatre autres qui n'en avaient soit rien à foutre soit qui galéraient autant que lui. Bref, ce n'était pas la meilleure journée du monde et il espérait vraiment que Lulu ne serait pas trop chiant ce soir...

L'étudiant ouvrit la porte avec un long soupir et fit deux pas à l'intérêt avant que le carrelage ne retienne son attention.

… Depuis quand est-ce qu'il pouvait voir son reflet dessus ? !

Noé accrocha son manteau dans le hall d'entrée avant de s'avancer lentement dans la maison. Il remarqua enfin que l'endroit empestait l'odeur de divers produits ménagers. Il arriva dans le salon et remarqua que tout était impeccablement rangé. Rien ne dépassait ni ne traînait pas terre au point que Noé se demanda un instant s'il ne s'était pas trompé de maison.

Le sol avait été de toute évidence méticuleusement lavé et les meubles luisaient comme s'ils étaient neuf. Noé effleura une des étagères d'un air choqué. Il constata qu'elles étaient été cirés comme tous les autres meubles en bois. Est-ce que c'était Lulu qui avait fait tout ça ? Bordélique comme le Diable l'était, se serait étonnant de sa part... Mais à part lui, seul Lulu pouvait avoir ranger la maison. A part s'il avait décidé d'engager une femme de ménage particulièrement efficace.

Le Diable émergea soudain de la cuisine, portant l'horrible tee-shirt orange que Noé ne pouvait supporter, et son visage s'éclaira quand il vit son petit ami.

_ Ah je savais bien que je t'avais entendu rentrer ! S'exclama-t-il.

L'étudiant marmonna un petit "bonsoir" avant de désigner d'un geste de la main le salon.

_Lulu, c'est toi qui a rangé ? Demanda-t-il.

_Ben oui tu m'as dit que la maison commençait à devenir un vrai foutoir y a deux jours. Expliqua simplement le Diable. Et comme j'avais mon après-midi de libre, j'ai tout nettoyé.

Dire que Noé fut surprit était un bel euphémisme. Le jour où il s'était plaint de l'état de la maison, il avait crus que Lulu ne l'avait écouté que d'une oreille. Il voulu en demander plus au Diable quand le tintement caractéristique de la minuterie du four se fit entendre.

_Ah les lasagnes sont prêtes ! Dit le Diable en filant dans la cuisine.

L'étudiant le suivit, encore plus surprit.

_ Tu... Tu m'as fais des lasagnes ?

Le diable éteignit le four et répondit sans regarder Noé :

_Ben ouais.

Noé eut très envie de sauter au cou du Diable pour l'embrasser. Il avait oublié à quel point Lucifer pouvait se montrer attentionné à son égard. Il avait nettoyé la maison de fond en combe et lui avait préparer son plat préféré juste pour lui faire plaisir. Toutes les emmerdes qu'il avait pus avoir aujourd'hui fondirent comme neige au soleil...

_Lulu ? Fit-il.

Le Diable se retourna vers l'étudiant et tout d'un coup Noé le prit dans ses bras; le serrant contre lui.

_Tu sais que je t'aime ? Demanda l'étudiant, le visage contre le cou de Lulu.

Le Diable émit un couinement choqué qui manqua de faire éclater Noé de rire. Il releva la tête pour regarder Lulu qui détourna les yeux, gèné.

_Tu es en train de rougir. Pointa Noé avec amusement.

_Les démons ne rougissent pas. Grommela Lulu.

Noé prit le visage du Diable entre ses mains avant de souffler :

_Les démons non mais les anges oui.

Le rouges qui s'était installé sur les joues du Diable s'accentua et il ferma les yeux avec une grimace embarrassée.

_Va donc mettre la table au lieu de me charrier. Déclara-t-il.

Noé ria avant de lui déposer un baiser sur la joue.

Alors après avoir rater le Challenge du moi d'Octobre je me suis tapé sur les doigts pour faire celui de ce mois-ci, et le voilà !
Bon je vous explique le contexte sinon vous aller être perdu. ^^

Ce texte viens de l'un de mes idées de livre, ça raconte l'histoire d'Achille, un ado qui se retrouve dans une sorte d'école pour demi-dieux, magiciens ou créature appartenant au mythologies, et tout l'histoire tourne a peut près autour de ces mystérieux yeux dorées qui serait sois disent maudit.

Après l'horrible résumer que je vous ai fait, j'espère que vous aimeraient e petit texte qui m'a fait tourner en bourrique pendant une semaine !
(J’essaie de m'améliorer dans la description...)
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Je posai enfin ma valise sur le planché de la chambre, abasourdis par tout ces découvertes je regardais Nike avec un mélange de stupeur et d’angoisse, me répètent en boucle la phrase qu'il essayait de m'enfoncer dans le crane depuis notre rencontre, je la répétai a voix haute pour être sur d'avoir bien compris.
- Je...Je suis un demi-dieu ?


- Yep ! Me répondit Nike. Un vrai de vrai ! Enfin plutôt, un être appartenant au mon mythologique, il faut encore voir si tu est demi-dieu, magicien ou une créature autre.
- Ehhh... Quoi ?
- Mais je suis sur que tu est comme moi. Reprit t-il. Un demi-dieu.
Je le regarda étonné, moi qui imaginé les demi-dieux comme des mecs baraqués torse nue qui avaient comme gros joujoux des épées ou des haches de combat, et non un jeune brun boutonneux de 13 ans et des brouette, portent des lunette de geek et un horrible sweat-shirt orange flashy qui jurait avec le tin bleus-vert de ses yeux.
Je me sentais déjà idiot après avoir pensé a ça mais encore plus quand je répondis :
- Oh... Cool.
Je m'assis sur le premier lit a ma portée, qui était sens aucun doute celui de Nike, vue le regard qu'il me lançait, genre "Hrm hrm, c'est mon lit ça ! Bas les pattes !", je fis mine de ne pas avoir vue son regard contrarié, mais je ne réussi pas a échapper a mon sort.
- Ton lit est juste là, ça c'est le mien. Dit t-il en montrent du doigt un lit tout miteux dans le coins le plus sombre de la chambre.  
Je me levai a contre cœur du lit moelleux et chaud pour me retrouver sur un vieux matelas poussiéreux possédant des taches suspectes, je grommela en lancent des éclaires a mon nouveau "coloc". J'ouvris ma valise et déposai mes vêtements dans le placard aménagé a coté de mon lit, j'en profitai pour détailler ma nouvelle chambre.
Elle était plus grande que la mienne, avec un planché en bois, elle abritait trois lits de taille acceptables ; le mien, vieux matelas de tissues humide et sales, celui de Nike (occupé a chercher la deuxième paire de de sa chaussette), paquet de draps bleu-gris, de t-shirts, chaussettes sales ou d'autres choses non-identifiables et celui que je n'avais pas remarqué tout de suite, caché par un paravent décoré de dragon orientales, plus ordonnée que les deux autres.
Les mur autrefois blanc était décorés de posters et étonnamment de dessins (de la mains de Nike) représentants des créatures fantastiques ou des êtres humains. Mon regard s'arrêta sur un coin de la chambre dénudé de tout ces choses, mais a la place ce trouvait des noms, une dizaines au moins ; en me rapprochant je remarqua que plus ou moins gros, certains était taillés dans le mur - sens doute avec une objet pointue-, d'autre écrit avec des stylos ou des feutres de tout les couleurs. Mon regard effleurai les différents noms qui s'y trouvait "Tomas", "Ludy la V.I.P", "Andres el mejor !" et d'autre encore quelques fois accompagné de gratifies ou de smileys. Un petit sourire apparut sur le coin de ma bouche quand je vis celui de mon nouveau "colocataire", un énorme en majuscule, taillé dans le mur avec l'aide d'un cutter.
Le bruit d'une cloche me fis alors sursauter, Nike ce tourna vers moi avec un large sourire collé sur le visage.
- Enfin ! C'est l'heur du repas !
Je n’eus même pas le temps d’ouvrir la bouche que j'étais déjà dans le couloir entraîné malgré moi par mon "colocataire demi-dieu" dans les grandes corridors de l'école.
Nous changèrent de couloir une bonne dizaines de fois avent d'arriver devant un remake façon "Dieux et compagnie" de la grande salle de Poudlard.
O.K a Poudlard ils on des fantômes et des chouettes, là c'était plutôt des fille ailées et des loups qui se promenaient tranquillement dans les aires ou entre les tables sens gêner, même un petit peut les adolescents, enfants et jeunes adultes discutent avec animation attablés au longes tables de chêne sombre.  
Je regardais estomaqué la salle décoré de fresques et de banderoles représentent des dieux combattent des monstres tout droit sortie des enfers ou d'animaux majestueux et d'arbres gigantesque ; aussi grande qu'un terrain de foot, elle abritent des personnes qui si je me fiais a ce que m'avais dit Nike était des demi-dieux, des magiciens ou des créatures autres, sois disent passent, ils était comme moi, différents.
J'inspirai une grande goulée d'air en me disent que j’étais enfin chez moi, que je ne serais plus jamais différents... Mais rien n'y faisait, une vague glacée déferlai en moi, me répétant que non, que je ne serais jamais chez moi...
Et si, en fin de compte, je suis plus différent que eux ?  





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J'ai eu ma raiponce 6 ans après. Quand je les ai rencontrés.

J'ai eu une envie folle de récrire et woilà le travaille:
Après m'être bouffé intégralité des textes dramatique de Lulu et Noé je me suis défoulé sur l'un de mes pauvres perso !
Bonne lecture !

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Il me regarde. Il me parle. Il me demande de tuer. Et j’obéis.

La bataille faisait rage. Demi-dieux et monstre se mêlaient sur le champ de bataille. Moi je ne faisais que regardais, tout me semblait irréel, comme si je me trouvais devant un écran, sauf que c'était bien réel et que mes amis se faisaient massacrer. Les un après les autres. Et tout était de ma faute.

Il me regarde. Il me parle. Il me demande de tuer. Et j’obéis.

Je l'ai vus. Océane. Son corps transpercé par plusieurs javelots et flèches, gisait sur le sol dans son propre sang. Ses magnifiques ailes de Walkyrie étaient maintenant terme et inutiles. Comme moi.

Il me regarde. Il me parle. Il me demande de tuer. Et j’obéis.

Pourquoi ?
C'est ce que m'a hurler James. Lui, le garçon courageux dans lequel j'ai toujours crus. Lui qui était mon ami alors que d'autres m'ignoraient. Lui. Lui que j'ai tué lâchement.

Il me regarde. Il me parle. Il me demande de tuer. Et j’obéis.

J'ai lus de la peur dans ses yeux oranges. Pour la première fois. Je me délecta de son regard, comme celui d'un loup poursuivant une biche blessée, ce loup c'était moi, et Seth, la biche.

Il me regarde. Il me parle. Il me demande de tuer. Et j’obéis.

Le sang coula de sa joue. Il me regarda choqué.
Achille...
Je ne lui laissai pas le temps de dire plus, je lui entailla la cuisse. Il hurla. Mais ne se décida toujours pas a attaquer. Je le regarda. Il me regarda. Mais il ne me reconnaissait pas. Car ce n'ai pas moi qu'il voyait mais Lui. Le loup au yeux dorée. Il a alors compris. Il n'avait plus de choix.

Il me regarde. Il me parle. Il me hurle de le libérer.

Le monde n'était que de chaos et de douleurs, puis il y a eu cette lumière, elle était chaude et douce, mais je n'arrivais pas y aller, quelque chose, non, quelqu'un m'en empêchait, il me criait de m’accrochais, mais avais je vraiment envie de vivre ?

Il me regarde. Il me parle. Il est loin.

J'observais le ciel étoilées. Eux aussi. Des différents. Comme moi. Ils riaient autour du feu. Moi aussi. Pour la première fois je n'était pas différent. J'ai comme d'autres personnes. Maudit.

Il a anéantie ma vie. Il a tué mes amis. Il a détruit mon monde. Mais... Je suis toujours debout.

Mon dieu Pandore, ton dernier drabble est joyeux xD Ne te laisse pas influencer par Yamane et Desu ! Elles sont trop déchaînées !

A mon tour à présent x) Puisqu'en ce moment, j'ai une nouvelle fic... *esquive la pluie de fruits pourris lancés par ceux qui attendent la suite des fics déjà commencées* ... En voilà un extrait x)

Mon personnage est Elisa, une self-insert dans le monde d'Harry Potter. Elle est à Poufsouffle, dans l'année de Cédric. Je vous aurait bien mis l'extrait où elle monte son club d'éducation Moldue ou celui invente la Force pour être une sorcière-Jedi, mais y avait pas le mot orange. Donc du coup, vous devrez vous contentez d'un exemple de sa maniaquerie pour les plannings xD


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Trois jours avaient passé depuis la rentrée, et la routine commençait à s’établir. Les retrouvailles avaient été faites, les cours commencés, les premiers devoirs attribués, le planning des clubs organisés. Elisa pouvait souffler.
Ce qui, pour elle, consistait à lire des bouquins de fantasy, et de griffonner de nouvelles idées d’inventions sur le carnet relié de cuir bleu qui ne quittait jamais. Selon la rumeur, certains Serdaigle seraient prêts à payer dix Gallions pour mettre la main sur ce carnet.

Cependant, Elisa ne faisait actuellement ni l’un ni l’autre. Assise en tailleurs sur son lit, son chat vautré sur ses jambes, elle était en train de coller son emploi temps sur la première page de son carnet de devoirs.

– Tu es tellement méthodique, soupira Trisha avec consternation en regardant par-dessus son épaule. C’est à croire que tu fais des plannings pour tout, depuis les corvées de lessive jusqu’à l’organisation de ta vie adulte. Tu vas mettre les différentes matières en couleurs ?

Elisa cligna des yeux, ne voyant pas ce qu’il y avait de mal à ça.

– Bah oui. C’est plus joli, non ?

Trisha leva les yeux au ciel :

– Quelle maniaque !

– C’est pour ça que tu m’aimes, fit distraitement Elisa en réfléchissant à comment colorier son planning hebdomadaire.

– Certainement pas, rétorqua son amie. Ton empire criminel de bouquins de fiction et de premières années éblouis, par contre…

Du coup Elisa releva la tête d’un air faussement suspicieux :

– C’est vrai ça, attend une seconde. Comment je peux être sûre que tu traînes avec moi pour ma personnalité, et pas pour mon empire criminel international ?

Trisha se posa la main sur le cœur d’un air dramatique.

– Parce que ton empire criminel est ce que tu fais, pas ce que tu es !

– … C’est tellement mignon que je pourrais en poignarder quelqu’un.

Dans le couloir, quelqu’un qui passait devant leur dortoir s’étrangla et se mit à tousser. Les deux adolescentes échangèrent un regard ravi.
Faire flipper les gens était leur hobby préféré.

Puis Elisa retourna à la contemplation de son emploi du temps et, d’un coup de baguette sur chaque cours, elle colora son planning selon les différentes matières. La Métamorphose était en rouge, les Sortilèges en bleu ciel, les Potions en vert sapin, la Botanique en vert clair, l’Histoire en gris-bleu, et la Défense en violet-rouge. Les séances du CEM, qu’elle et Takashi avaient décidé de placer le jeudi après les cours, fut colorées en orange. Les horaires des autres clubs non-officiels de Poudlard, quand à eux, furent surlignés en jaune pour lui rappeler d’y faire un tour quand elle aurait le temps.

– Et les options ? fit Trisha avec curiosité en regardant par-dessus son épaule.

Trisha et elle avaient pris les mêmes options, Runes Anciennes et Divination. D’ailleurs Trisha était supposée faire ses devoirs de Divination actuellement… Mais c’était si ennuyeux qu’on comprenait facilement pourquoi elle préférait observait ce que fabriquait son amie. Elisa se frotta le menton d’un air pensif, puis suggéra :

– Rose pour les Runes, tu pense ? Un beau rose…

– Garde le rose pour la Divination, rigola Trisha. Mets les Runes Anciennes en violet clair.

Considérant que c’était une bonne suggestion, Elisa colora d’un coup de baguette les Runes Anciennes de son emploi du temps en violet améthyste, puis mit la Divination en rose pastel.


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Voilààààà x)