Mot du 1er Septembre au 15 Septembre : Bouteille [Terminé]

BOUTEILLE

Hey ! Ca faisait longtemps que je n'avais plus posté dans le challenge alors me revoici, avec un petit drabble sur Pokémon pour changer !

Mise en contexte : Sky est une dresseuse pokémon. Seulement, ce ne sont pas les combats qui la motivent, mais les courses. Depuis toute petite, elle est en est fan et ne manque pas une seule compétition à la TV. Le jour où son Caninos a évolué en Arcanin, elle s'est décidée à tenter à son tour sa chance sur les champs de course. Son objectif ? Est couronnée championne du monde de course pokémon, rien de moins.

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Sky posa sa bouteille et regarda autour d'elle. C'était l'effervescence partout. Les spectateurs commençaient à affluer et le brouhaha se répercutait dans tout le stade, remplissant l'air de conversation. A côté d'elle, Arcadia agita nerveusement les oreilles en regardant autour de lui. Il n'aimait pas ça. Toute cette agitation qu'avait les humains... Heureusement, sa dresseuse, elle n'était pas comme ça, mêle s'il pouvait sentir sa nervosité. Son regard brun se posa sur elle.
- Tu es prêt ? lui demanda-t-elle.
Arcadia passa la langue en agitant la queue pour toute réponse. Sa dresseuse sourit et se hissa sur son dos.
- Très bien... En piste alors !
Le pokemon partit rejoindre la piste de départ, sur laquelle attendait déjà la plupart des autres concurrents. La majorité d'entre-eux étaient également des Arcanins, mais un Luxray participait également à la course. Il semblait nerveux, dansant sur place, et sa petite dresseuse peinait à la calmer. Sky se demanda ce qu'il faisait-là. Il était de notoriété publique que les Arcanins étaient les meilleurs coureurs.
Finalement, la voix du speakeur retentit dans les hauts-parleurs et la foule se clama. Dans les gradins, les parieurs serraient leur ticket dans leur poing en gardant les yeux vissés sur leur favori. Sky sentit les muscles d'Arcadia se tendre sous elle, et il s'accroupit dans l'attente du signal de départ. Les mains dans la fourrure de son ami, la jeune coureuse parcouru rapidement les autres concurrents du regard, pour s'arrêter sur le numéro 5, grand favori de la course. Sa contemplation fut bientôt interrompue par le speaker qui faisait le décompte de la course. Elle se concentra sur la piste, serrant les côtés d'Arcadia entre ses cuisses, et attendit le signal de départ.
Dès qu'il fut donner, sans avoir besoin d'une sollicitation quelconque, Arcadia s'élança comme une flèche sur le champ de course, au côté de ses douze concurrents.

Salut les gens! Je poste un petit délire sur D.Gray Man.
Contexte: Un insectophobe boudiné ninja qui se prend pour Edward Elric (j'adore cette expression, merci Ywëna.) rencontre un jour un Akuma. Il n'a strictement aucune Innocence. Cependant, grâce à son alchimie il réussi à les détruire, pour son plus grand malheur, car en effet c'est un Akumaphile, il est très attiré sexuellement par les Akuma sous leurs véritable formes.
C'est ainsi qu'il rencontra Enma, son premier Akuma de niveau deux. Comme à chaque fois, il pose the question.

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Monroe, même si alchimiste et combattant, ne le semblait pas le moins du monde. On aurait dit un boudin. L'expression naturelle de son visage - celle d'un pervers - et le fait qu'il bavait de temps à autre faisait de lui un personnage peu ragoutant.
Bien que conscient de son physique peu avantageux, Monroe continuait de poser la question à chaque Akuma qu'il croisait. Oh, bien sûr, l'alchimiste empêchait les gens de se faire tuer. Un temps, Monroe avait même éprouvé de la honte quand à son attirance. Mais il l'avait rapidement étouffée. Le plaisir emportant sur la morale, Monroe s'était arrangé: Il continuerait à tuer les objets de ses désirs pour protéger son prochain (bien que jusqu'à présent, c'était plutôt pour sauver sa peau), mais s'il en avait l'occasion, il coucherait avec l'un d'eux (et garderait le contact, au cas où ses pulsions sexuelles reprendraient le dessus).
L'alchimiste en avait fait donc son train de vie, jusqu'à ce que le diable lui envoie un énième Akuma.
« Voulez-vous coucher avec moi ? Soupira t-il, posant par habitude la question.
_ Mais bien entendu ! S’exclama Enma, absolument ravie.
Monroe fut médusé. Quand à Enma, qui ressemblait à un bébé dont la tête aurait triplé de volume, se félicitait intérieurement. La bouteille d'alcool qu'elle lui avait offerte l'avait sans doute - du moins pensait-elle, car en réalité Monroe n'y avait pas touché - rendu complètement soûl. Son futur plan cul ne devait pas savoir ce qui lui arrivait...
« Attendez, je reprends forme humaine. Souria t-elle.
_ Ah non !
_ Quoi ?
_ Je veux coucher avec vous sous cette forme ! »
Enma regarda longuement Monroe.
« Bah, ça ne me dérange pas, mais comment on va faire, anatomiquement parlant ? »

Invisible, Astrid s’approcha, et se détendit en constatant qu’il s’agissait d’une femme, seule. Accroupie à l’endroit où la route en croisait une autre, au centre du carrefour, elle était en train de recouvrir de terre… Quelque chose. Astrid haussa un sourcil. Une pauvre âme sur le point de se vendre au démon des carrefours ? Elle avait bien choisi son moment…

– Tu m’as appelé ?

Cachée aux yeux de l’humaine comme aux yeux des démons, Astrid observa un homme d’une trentaine d’années au visage rasé de près et aux costume impeccable s’approcher de sa future victime. L’Illusionniste hésita à intervenir, ne serai-ce que pour foutre la trouille de leur vie à ces deux andouilles, puis haussa les épaules. Si cette femme voulait vendre son âme, c’était son souci. Elle allait passer le pacte, s’en aller joyeusement gambader dans les champs de pâquerettes durant dix ans, et ensuite se faire bouffer par des chiens démoniaques invisibles à l’haleine épouvantable : le scénario ne variait jamais.
Elle s’apprêtait passer son chemin, quand le scénario subit un léger couac.

Un couac sous la forme d’une jeune fille en petite robe noire et talons-aiguilles, qui surgit du néant dans un nuage de fumée violette et tacla le démon en beuglant :

– L’écoute pas ! Fais un pacte avec moi !

L’humaine poussa un cri de frayeur tandis que l’intruse envoyait son genoux dans les parties génitales de son adversaire, avant de se tourner vers la femme avec un large sourire :

– Fais un pacte avec moi ! J’ai de meilleurs tarifs, promis !

La nouvelle venue était petite, avec des cheveux noirs et très courts, un collier d’argent disparaissant dans son décolleté, et un sac à main aux allures gothiques d’où dépassait ce qui ressemblait beaucoup à un manche de poignard. Elle semblait âgée d’une vingtaine d’année, et avait le teint pâle avec des grains de beauté sur les bras et les épaules. Ses yeux, aux iris d’une surprenante couleur violet sombre, ressortaient nettement dans son visage doux et arrondi, au nez retroussé. Globalement, elle était très mignonne. Sa robe noire était courte et élégante, quoiqu’à présent tâchée de terre, et elle pesta en se débarrassant de ses talons-aiguilles : l’un d’eux s’était brisé quand elle avait taclé son rival.

– Alyssa ! grogna le démon en se redressant. C’est mon carrefour !

– Plus maintenant ! répliqua ladite Alyssa en jetant ses chaussures bousillées dans le fossé.

Les chaussures en question tombèrent parmi les détritus, entre un sac plastique et un bouteille cassée, et Alyssa grimaça d’un air chagriné.

– Tu as été virée ! s’échauffa le démon.

– Va chier, Bob !

– Je ne m’appelle pas Bob !

– … Très juste. Comment tu t’appelles ? Non en fait je m’en fous. Ce contrat est pour moi.

Et les deux démons –car les yeux d’Alyssa virèrent brièvement au rouge– se posèrent sur l’humaine qui les regardait avec de grands yeux écarquillés, à deux doigts de s’enfuir en courant.

– Tu m’as appelé moi, fit Bob-pas-Bob le démon d’un air sévère. N’est-ce pas ?

– Mais tu préférerais faire un pacte avec moi, fit joyeusement Alyssa la démone. Pas vrai ?

Hello ! Pour éviter le double post, j'ai décidé de contribuer au mot "bouteille" qui n'est pas très inspirant à ce que je vois. Donc un extrait de ma prochaine fic entre Khan et Bones. Ils sont sur une planète de hippie spirituelle et les habitants proposent généreusement aux voyageurs de leur faire des tatouages temporaires ( comme du henné en faite) dans leur langage ( qui est de l'elfique puisqu'on ne m'enlevera pas l'idée que les Vulcains sont des elfes de l'espace au sang vert qui vivent dans un désert plutôt qu'une forêt). Sinon, Khan est en probation sur l'Enterprise et techniquement, il doit rester sous la surveillance de Jim pendant les permissions.
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_ Qu'est-ce que cela signifie ? Demanda Spock qui ne connaissait pas ce langage.

_Et bien « Vanda » signifie « engagement » et « Melme » veut dire « amour ». Répondit Nyota tout en couvant Carol d'un regard affectueux.

Celle-ci eut bien du mal à ne pas rougir et Bones ne put s'empêcher de ressentir une petite pointe de jalousie. Quand est-ce que lui aussi pourrait à nouveau revivre une histoire d'amour pareille ? Vu sa chance, pas avant un long moment...

_Vous êtes sur de la signification ? Demanda Jim avec un petit sourire en coin. Non parce qu'une fois j'ai crus que je m'étais fait tatouer le kanji signifiant « Courage » dans le bas des reins et il s'est avéré que c'était le mot « ramen » qui était écris.

Cela fit rire les deux femmes et Spock lança un discret coup d'oeil vers l'endroit indiqué. La prochaine fois que Kirk se baladerait sans tee-shirt dans le vaisseau, ce qui arrivait neuf fois sur dix après quelques bonnes petites bouteilles de bière Romulienne, il devrait essayer de voir ce fameux tatouage.

_ … Aux dernières nouvelles tu as toujours ce putain de tatouage. Répondit Bones avec un soupir exaspéré.

Oui, à partager la chambre de Jim Tibérius Kirk durant leur années à l'Académie lui avait permis de voir plus souvent qu'il ne l'aurait voulu son ami dans toute sa nudité. La pudeur et se gamin était comme les Klingons et le yoga: cela n'existait pas.

_Ben quoi ? C'est bon les ramens. Fit Jim en haussant les épaules.

_Jim, franchement tu es...

_Capitaine, je crois que nous avons un problème. Fit soudain Spock alors qu'il regardait autours de lui depuis quelques minutes.

_Qu'est-ce qu'il y a ?

_Je ne vois Khan nulle part.

Il y eut un silence pesant.

_Bordel !
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Jim, you had one job ! U_U

Alyssa rendit son sourire à l’Illusionniste, puis la regarda de haut en bas, et Astrid se demanda bien ce que la démone pouvait penser. Astrid n’avait pas pensé à changer de vêtements et était toujours habillée comme quand elle était arrivée au Dakota. Elle portait un jean moulant bleu foncé, de petites bottes noires aux lacets défaits, et un débardeur de Metallica (oui, Astrid avait des goûts musicaux de merde, Gabriel n’arrêtait pas de lui répéter). Le tout était couvert de poils de chat roux. Le regard de la démone s’était d’ailleurs arrêté sur le félin, qui la regardait avec un manque surprenant de frayeur, étant donné que les animaux étaient censés sentir le surnaturel.

– Il est adorable, ton chat, soupira la démone d’un air rêveur.

Astrid haussa un sourcil, regarda Alyssa (qui avait l’air attendri d’une gamine devant une peluche rose et particulièrement mignonne), regarda le chat (qui ne bronchait pas), reporta son regard sur Alyssa, puis tendit le félin à la démone à bout de bras :

– Tiens. Fleurs.

Alyssa re-cligna des yeux et répéta, incrédule :

– Fleurs ?

– Généralement, on offre des fleurs aux rendez-vous, non ? fit Astrid d’un ton complètement blasé.

– Mais… C’est un chat.

– T’en veux ou pas ?

– T’es folle, je le prends, il est trognon !

Et hop, elle prit le chat et le serra contre elle. Le chaton roux, tout content, se mit à ronronner contre la mince poitrine de la démone, qui sourit d’un air complètement gaga. Astrid ne put s’empêcher de glousser. Du coup, Alyssa reporta son regard sur elle, songeuse :

– Tu as parlé de rendez-vous. C’est un rendez-vous ?

– Ça dépend, fit Astrid prise au dépourvu.

Oui parce qu’à la base elle n’avait pas prévu de draguer un démon.

– Pas faux, admit Alyssa. Eh, il y a un bar en ville qui fait de très bon Mojitos, la Bouteille Déjantée, je t’invite ?

… D’un autre côté ledit démon (enfin, démone) n’avait visiblement pas de souci pour la draguer, elle.

– Tu es bien aimable pour une créature de l’Enfer judéo-chrétien, fit Astrid avec surprise.

– Je suis particulière.

– Je vois ça, rigola l’Illusionniste.

La démone sourit. Sans ses yeux rouges et avec le chaton dans les bras, elle avait l’air très humaine. Astrid percevait sa nature distordue et assombrie, souillée par l’Enfer, mais… Alyssa n’agissait pas comme un démon normal. Plus comme une adolescente barrée.

– J’m’appelle Alyssa, se présenta la démone en tenant le chat d’une main pour tendre l’autre à la blonde. Démone des carrefours en freelance, touriste du monde terrestre et des boîtes de nuits à mes heures perdues. Et toi ?

L’Illusionniste sourit, et serra la main offerte en disant simplement :

– Astrid.

Enfin, techniquement, son nom d’ange était Asrielle. Mais elle avait inventé le nom d’Astrid afin de passer inaperçu sur Terre et s’était attachée à ce pseudonyme au point de le préférer désormais à son nom légitime.

– Astrid, répéta Alyssa en plissant les yeux d’un air calculateur. Et, sans vouloir être impolie, t’es quoi ?

Au moins c’était franc. Alyssa était vraiment différente des autres démons… Astrid ébaucha un sourire, et mentit avec aisance :

– Hum, ça dépend. On me donne plusieurs noms. Généralement celui d’Illusionniste.

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