Mot du 2 Octobre au 17 Octobre : Argent [Terminé]

ARGENT

(pas plus de vingt ou vingt-cinq lignes dans lesquelles ce mot doit apparaitre)

Je commence alors ^^
C'est ma fic principale, là c'est au moment de la nuit d'Halloween *Bouuh ça fait peur*. Et l'héroïne (Morgane) retrouve son meilleur ami (Jack) dans les serres face à un mage terroristre.

- Expelliarmus ! Dis-je le faisant voler à travers la serre, détruisant le mur de verre. Il a volé sur deux mètres, avant d'écraser sur le mur. Pendant son vol, sa baguette est venu doucement à ma main gauche, à l'inverse de son propriétaire...

- Quelle force ! Me félicite Roxanne.

- Regarde si Jack va bien. Dis-je pendant que j'avance vers le sorcier. Fini de jouer... Maintenant tu vas me dire qui tu es et me donner une bonne une bonne raison de ne pas te tuer ! Lui dis-je en pointant ma baguette ainsi que la sienne dans mon autre main.

- Moi...

- Toi quoi ?!

- Moi...

- Assez ! Wingardium Leviosa ! Hurlais-je en le soulevant par ses bras avec les deux baguettes. Pendant que je l'ai levé, sa capuche s'est retirée. Il a des cheveux blancs argentés avec des reflets blonds et mi-long décoiffés et des yeux blanc, sans pupille.

- Sort faible... Débutante...

- Tu crois ? Dis-je en écartant les baguettes. Même un « Sort faible... » peut faire mal. C'est une vieille technique de torture venant des sorciers Ottomans.

- Toi... Comme... Moi...

- JAMAIS ! STU-PÉ-FIX ! Lançais-je le faisant s'encastrer dans le mur pour s'évanouir. Jack... Dis-je en me dirigeant vers lui.

- Il est réveillé.

- Morgane... Me dit-il avec le peu de force qui lui reste. Il a des blessures sur tout le corps, ses vêtements sont maculés de sang. Il est mal en point... Il lui faut de l'aide. Où est se type ?

- Stupéfixié. Assez violemment, et avec deux baguettes.

Oui c'est fille douce, délicate, une vraie petite pâquerette Razz

Dans argenté, il y a "Argent" ^^ ARGENT(é) ^^

Aenor Castle, Naomi Yukino, Roland Rosalius

Elena Borgio

Jackson Frost

Jason Pandore, Harold Boot, Molly Weasley

Arthur Jordan

Terence Dubois

James Potter

– … Il passe à Castle, qui esquive un Cognard de Jordan, qui passe à Yukino, qui –wow c’est pas passé loin– évite une collision avec James Potter, passe à Rosalius qui tire… ! Et Dubois bloque.

Terence Dubois avait abandonné le club de karaté à la fin de l’année précédente, afin de s’inscrire dans l’équipe de Quidditch. Et il avait visiblement hérité du talent de son père Olivier Dubois… Pour le plus grand malheur des verts et argent.

– Pandore esquive un Cognard de Frost, continuait Oscar. Il passe à Boot, contourne Castle, reprend le Souaffle… Coops envoie un Cognard sur Borgio, qui… Merde !

Le Cognard en question fut esquivé en catastrophe par Elena, mais il n’arrêta pas sa course, et fonça tout droit vers la tribune des professeurs. Oscar lâcha son mégaphone et se jeta de côté, dégringolant de la tribune avec un glapissement effrayé… Mais ça valait mieux que s’il était resté à sa place. Le Cognard s’encastra dans la tribune avec violence, faisant voler des éclats de bois.

Slughorn se précipita vers Oscar pour s’assurer qu’il allait bien. Laughlin, impassible, dégagea le Cognard coincé, et retira cinq points à Gryffondor pour faute. Mais le match ne s’arrêta pas pour autant. L’Ankou, plissant les yeux, distingua du mouvement chez les Serdaigles, puis une silhouette se détacha de la masse, escalada la tribune des profs, et…

– Mr Michelis ? Mais que faites-vous là ?

Cameron. Évidemment. La moitié des spectateurs, au moins, leva les yeux au ciel, tandis que le casse-cou du Quatuor déclarait d’un ton d’évidence dans le mégaphone :

– Quelle question, je prends le poste bien sûr ! Je ne laisserai pas ton travail inachevé, Oscar !

– Mieux vaut lui qu’un des Londubat, marmonna quelqu’un près de l’Ankou. Au moins, lui, il n’essaiera pas de compter les Nargoles…

– Je ne suis pas sûr qu’on gagne au change, fit Rachel Phyllis d’un ton acide.

– Et le Souaffle est à l’autre débile, pardon je voulais dire Boot, qui passe à Pandore… Qui se mange un Cognard de Borgio, ah ah ! Et c’est Aenor Castle qui récupère le Souaffle, quelle beauté cette fille, vous savez que j’ai voulu sortir avec elle ? Mais quand j’ai vu que je n’étais pas désiré, je n’ai pas insisté, je suis un vrai gentleman moi. Ah, au fait, le Souaffle passe à Yukino. Qu’est-ce que je disais déjà ? Ah oui, Castle et moi. Ça n’aurait pas marché de toute façon, elle est pas causante, j’avais l’impression de draguer une porte d’Azkaban…

– Mr Michelis concentrez-vous sur le match !

– Oui, pardon. Alors, il est où le Souaffle…

It's me ! Petite participation en utilisant Star Trek ( qu'est bien partis pour devenir mon nouveau "Cinq Légendes"). Je commence à envisager des fics sur cet univers et donc j'ai pondus ça suite à un délire avec Ywëna. Pas vraiment besoin de contexte, surtout si vous avez vu mes derniers participations de challenge ^^.
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_Bien, alors je vais te donner des mots et sans réfléchir, tu vas me dire à quoi tu les associes. Fit McCoy en prenant une tablette dans sa main.

En face de lui, Khan hocha la tête. Il était assis sur un des fauteuils du bureau paraissant ennuyé. La seule chose qui rattrapait un peu cette perte de temps qu'était l'évaluation psychologique, était que le docteur avait accepté de sans occuper. Au moins le docteur ne le fixait pas avec des yeux de lapin apeuré comme la plus part de l'équipage... Après s'être raclé la gorge, McCoy commença:

_Vie ?

_Mort.

_Famille ?

_Equipage.

_Bonheur ?

_Impossible.

_Gouvernement ?

_Corrompue.

_Temps ?

_Horloge.

_Travail ?

_Tuer.

_Amour ?

_Rien.

_Rien ?

Khan hocha la tête sas émotion apparente. Bones fronça légèrement les sourcils. Ca c'était un point à noter pour l'avenir. Après une petite note, il retournea à ses questions. Ses yeux tombèrent sur un mot du bas de sa liste qu'il déclara sans réfléchir:

_Chat ?

_Mitaine.

_Mitaine ? Répéta Mccoy, incrédule.

_Avec la fourrure.

Le médecin écarquilla les yeux et Khan sut qu'il venait probablement de dire une bétise. Mais ce n'était pas sa faute si c'était le premier truc qu'il lui était venus à l'esprit. Si ? Et pourtant, il en eut pour son argent avec la tirade outrée du médecin:

_La fourrure ? Tu dépecerais ces pauvres bêtes pour te faire des gants ? ! Mais pourquoi je te fais un test ? T'es complètement malade ! Ecoute moi bien, si je te vois faire du mal à un chat, je te botte ton cul d'Augment jusqu'à l'autre bout de l'univers ! Et... Et bordel Jim tu frappes avant d'entrée ! C'est une infirmerie pas un putain de moulin !

De son côté Jim décida pour un replis stratégique. Il irait parler à son amis plus tard, ne voulant pas savoir pourquoi le docteur utilisait les mots " Khan", "fourrure" et "scalpel dans la gorge" dans la même phrase...
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Voilà~

Bronn lui jeta un regard oblique :

– Tu es de Dorne, n’est-ce pas ?

– Non, je m’appelle Thalia Sand par hasard, fit la jeune femme d’un air sarcastique.

Bronn passa outre le ton moqueur, et déclara pensivement :

– Ça explique pourquoi tu as l’air de détester la Montagne… Mais je m’étonne que tu sois amie avec le Limier, dans ce cas.

Thalia, qui était en train de boucler sa ceinture, se figea et regarda Bronn avec des yeux comme des soucoupes :

– Moi ? Amie avec le Limier ?

– Tu es probablement la seule personne qui lui parle autant, dit prudemment le mercenaire. Mis à part son maître, bien sûr.

Thalia laissa échapper un rire, bref, puis boucha sa ceinture, avant d’y fixer le médaillon représentant le loup des sables des Amantis.

– Nous sommes tous les deux des tueurs au service d’un gamin. Bien sûr que je lui parle : il est la seule personne à savoir ce qu’un job comme le mien signifie.

– J’ai un job semblable au tien.

– Oh que non, Bronn. Tu te bats pour l’argent, pour la gloire, pour la reconnaissance de la Main ou que sais-je. Tu te bats pour obtenir quelque chose. Pas moi, pas Clegane. Même si mon maître à moi vaut infiniment mieux que le sien, nous nous battons pour la même chose : protéger sans rien attendre en retour. C’est très peu gratifiant mais ni lui ni moi n’espérons ni ne voulons obtenir davantage. Nous ne valons pas davantage.

Bronn lui jeta un bref regard, amusé.

– Comme un chien.

– Comme un chien, approuva Thalia. Même si le terme « loup » serait plus approprié en ce qui me concerne. Je suis moins forte qu’un molosse comme le Limier.

– Tu as également un aspect plus avenant que lui…

Thalia éclata de rire, et se leva pour enfiler son manteau. Oui, ça, elle ne pouvait pas le nier, et elle en était fière...
Elle acheva de boucler son plastron à l’avant de son manteau, puis ouvrit la porte de la chambre. Un jeune garçon, qui s’apprêtait à frapper, se figea à sa sortie. La jeune femme ricana, et jeta par-dessus son épaule en direction de Bronn :

– Debout, misérable reître. Ton Nain te demande.

~~J'imagine que les insultes l'excitent~~

Deuxième participation et je ramène quelqu'un d'entre les morts et la change d'univers. Je parle d'Enma mon oc nymphomane à la chance pas permise qui traumatise tout le monde à chaque fois qu'elle ouvre la bouche xD Bref, je me suis fais un délire personnel en l'imaginant membre du vaisseau Enterprise quand Khan vient juste de se faire arrêter par les autres.
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Kirk et Spock se tenait dans la salle de contrôle devant un écran de surveillance reliant la salle à celle des prisons de verre. Ils attendaient qu'une jeune femme aux cheveux châtains et à la robe rouge finisse les réglages. Son badge en argent l'indiquait comme faisant partie de l'équipe de maintenance du vaisseau. Bientôt l'image devint net, laissant apparaître Khan qui se tenait bien droit dans sa cellule. Mais avant qu'un des deux hommes puisse parler, la jeune femme émit un sifflement appréciateur.

_Oh putain, il est canon ! S'exclama-t-elle avec un grand sourire.

Kirk la dévisagea alors que Spock se contentait d'hausser un sourcil.

_Votre langage est peu approprié, mademoiselle... ?

_Ceries, Enma Ceries.

_Mademoiselle Ceries, ce n'est pas...

_Oh appelez moi Enma, Commander Spock. Le coupa-t-elle en s'approchant de lui, ronronnant presque. Vous avez une voix qui donne envie de grimper aux rideaux, se serait dommage que je vous entende pas prononcer mon prénom. Bien que vous le feriez dans une chambre avec juste nous deux en tête à tête, se serait encore mieux.

Cette fois-ci, Spock resta muet de surprise pendant une seconde. Il finit par demander, les joues légèrement verte:

_Je... Je vous demande pardon ?

_Je crois qu'elle te drague Spock. Intervint Jim avec un petit sourire en coin, amusé de la facilité qu'avait eut Enma pour déconcerter le vulcain.

Enma haussa les épaules avant de mettre les mains dans ses poches.

_Oh oui et non, je sais bien que c'est qu'une question de temps avant que vous ne vous sautiez dessus alors je vais pas chasser sur le terrain du capitaine. Sauf si vous voulez un plan à trois bien sur !

Elle soupira dramatiquement avant d'ajouter plus pour elle même qu'autre chose:

_Mais si c'est pas le cas, j'ai pas très envie de me faire larguer dans l'espace. En plus, depuis qu'il m'accuse d'avoir voulu lui arracher son haut avec un scalpel, le Docteur McCoy veut plus me voir foutre un pied à l'infirmerie donc bon...

Les deux hommes s'entre-regardèrent, ahuris. La châtain était complètement cinglé, il n'y avait pas d'autre mot.

_Que... Mais je veux pas sortir avec Spock ! S'écria finalement Kirk. En plus, il est avec Uhura !

_Ouais une femme charmante. Vous avez de la chance Commander. Approuva Enma en hochant doctement la tête. Mais le Pon Farr c'est un truc de violant donc vaut mieux vous défoulez sur le Capitaine. Je suis sure que ses reins supporteront mieux le choc.

_Mais... Mais...

_Illogique, tout simplement illogique. Se répétait Spock.

Ignorant les deux hommes qui semblait hésiter entre la stupeur horrifié et l'envie de frapper Enma, la jeune regarda à nouveau l'écran de surveillance avec un regard lubrique.

_Sérieusement, regardez moi ses muscles ! Terroriste ou pas, je forniquerais bien avec !
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Voilà !

Enma-la-nympho

Faust se ramassa sur lui-même comme s’il allait bondir, clairement insulté, et gronda :

– De quoi tu m’as traité, sale serpent ?

– Oh, sois gentil Faust, grogna Al’ en roulant des yeux. Va jouer à colin-maillard au bord du toit et meurs en silence.

– Vous avez finit ? coupa Fred en sortant sa baguette d’un air vaguement intéressé.

Du coup tout le monde sortit son arme aussi, d’un coup. Plutôt impressionnant. Il y eu un court silence où tout le monde se jaugea. Fred haussa les sourcils, clairement moqueur :

– Bon. On passe notre chemin ou on s’attaque ?

– On passe, dit aussitôt Tom en amorçant un mouvement.

– Crevez, charognes ! rugit Faust en même temps. Expulso !

– Je ne suis même pas surpris, soupira Scorpius alors que le sort s’écrasait sur le bouclier élevé par Albus. Tarentallegra !

Il ne visa pas Faust mais James, qui avait ouvert la bouche et visait visiblement Lucy. Ensuite, les sorts se mirent à voler dans tous les sens, et l’Ankou chargea le grand noir avec une satisfaction malsaine. Ce bâtard allait en avoir pour son argent !

– Furonculus ! cria le vert et argent.

– Raté, abruti ! Lashlabask !

– Arg ! Expelliarmus ! Bloclang !

– Dentesaugmento !

– Cracbadaboum !

C’était l’incantation la plus stupide du répertoire de l’Ankou, mais en voyant toutes les coutures des vêtements de Faust –pantalon, manteau, chemise, par Merlin même son caleçon– lâcher, il bénit silencieusement l’inventeur de ce maléfice.

– Ah ah ah ! se bidonna Al’. FAUST A POIL !

James profita de cet instant de distraction pour pointer sa baguette sur son frère, et hurler :

– Expelliarmus !

Al’ laissa gentiment partir sa baguette puis, alors que James tendait adroitement la main pour la récupérer, il sauta sur son frère et lui colla un pain.

– DU SANG, DU SANG ! scandait Lucy en échangeant de féroces tirs de sorts rouges et oranges avec Fred Weasley.

– AL’ ESPÈCE DE…

– Rictumsempra !

– QUE LE CHAOS RÈGNE ! beugla Faust totalement nu en balançant un heaume d’armure à la tête de Scorpius.

Qui se baissa et évita, et ce fut Tom, qui essayait subrepticement de s’enfuit, qui se prit le heaume en plein dans le ventre, et s’écroula avec un couinement douloureux.

– Oh, merde, désolé vieux. MORT AUX SERPENTARDS !

– VA CHIER, LION DE MES DEUX !

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