Mot du 11 Mars au 26 Mars : Jour [Terminé]

Incroyable : je suis de retour sur le forum ET je poste ! Restez chez vous il va pleuvoir de la m**** ! xD
Donc voilà ma participation. J'avais écris ce OS d'Harry Potter pour l'anniversaire d'une amie qui s'appelle Pauline d'ailleurs, mais je ne l'ai jamais fini. XD Enfin, voilà le début, c'est toujours ça !

Pour le coup elle se retrouvait toute seule, elle. Enfin, pas tout à fait. Bien que tous ses amis fussent partis, il restait tout de même une dizaine de Griffondor. Même si pour la plus part, c’était des mecs immatures qui semblaient  en rute.  Ils avaient beau être assez bien bâtis, ils le restaient encore. Oui, on peut vraiment dire que la jeune fille ne surveillait pas son vocabulaire. Il n’y avait qu’une fille de dernière année pour lui tenir compagnie qui se prénommait Pauline. Elle était d'une taille respectable, ses cheveux relevés en une queue de cheval arboraient un châtain clair. Un visage dotait de traits fins. Elle était plutôt mignonne dans son genre et attirait quelques garçons et pas forcément les meilleurs.

Les deux filles ne s'étaient jamais parlé avant, mais faute d'amis, elles s'étaient irrémédiablement rapprochées et trainnaient dorénavant pratiquement tout le temps ensemble. Malgré que sa nouvelle amie était la plus âgée, elle avait quelques difficultés dans certains domaines. Hermione toujours aussi fidèle à elle même lui avait proposé ses services et l'aidait comme elle le pouvait. Il fallait croire que ses services portaient ses fruits, la châtain faisait de nets progrès qui n'étaient pas négligeables. Les quelques professeurs restant dans l'enceinte de l'établissement en avait eût vite connaissance et avaient attribué quelques points à leur maison. Et ce n'était certainement pas pour déplaire aux deux jeunes sorcières, au contraire d'une certaine maison avec pour symbole un infecte serpent. Les tensions entre Serpentard et Griffondor n'étaient pas moins hostiles juste parce que le lendemain serait noël. Même si la magie existait, il ne fallait pas croire en l’existence du si célèbre saint Nicolas, alias le Père Noël.

Lorsque les deux filles eurent du temps libre, elles décidèrent d'aller le passer au chemin de traverse. Il était temps de faire leurs achats pour pouvoir les offrir durant le festin qui les attendait le jour suivant. Hermione acheta dans un premier temps des chocolats pour les garçons. Elle dégota aussi deux T-shirts, un à l'effigie de l'attrapeur de la dernière équipe qui avait gagnée le championnat de Qweditch pour Harry, et un autre avec le gardien pour Ron. Ça faisait tellement longtemps qu'ils en parlaient qu'elle était plus que sûr que ces cadeaux allaient leur faire plaisir. Elle s’isola un moment pour se procurer un sautoir qui serait destiné à sa colocataire de chambre. Elle ajouta aussi à son cadi des  chouchous. L'autre avait un don pour toujours les perdre. Elle pensa aussi à y jeter un sort pour qu'ils réapparaissent à chaque matin dans sa salle de bain. La jeune sorcière trouva aussi une montre pour son père, ce maladroit avait cassé la sienne en faisant de la pêche. Comment ? C'était toujours un mystère... Le plus difficile était sa mère. Sa fille avait son petit rituel, elle offrait chaque année un bracelet et un chapelet. Cependant, les sorciers étaient plus athées que croyants. Mais elle finit tout de même par en trouver un. Les achats faits, les deux filles s'installèrent dans une taverne et y commandèrent deux bières au beurre en plus d'une assiette de tapas. Elles discutèrent de leurs souvenirs du monde des moldus. Un de leur nombreux points en commun : elles étaient toutes les deux issues de parents moldus. Elles dérivèrent sur ceux de Poudlard quand Pauline posa timidement une question qui déstabilisa son interlocutrice qui, pour une des rares fois, ne savait pas quoi répondre :

"Dis Hermione, tu n'aurait pas des conseils à me donner en amour ?"

Yo!

Sympa les textes! Je continue sur le thème d'Harry Potter. Voici donc un extrait de ma fanfic Harry Potter.


Astoria regardait son bébé dormir. Bon, d'accord, le dit bébé se prénommait Hypérion et avait présentement sept ans mais pour la sang-pur, il s'agissait toujours de son bébé à elle et il le resterait sûrement jusqu'à sa mort.
Une bande entourait la tête de l'enfant. En effet, le matin même quand elle était venue le lever, sa mère l'avait trouvé en train de se frapper la tête contre l'un des murs de sa chambre. Il avait déjà le front en sang à ce moment là. Depuis tout petit, Hypérion avait toujours été différent, ce qui dans le monde de la magie voulait tout dire. Il maîtrisait sa magie sans baguette et à un très haut niveau. Le seul problème était qu'il n'avait jamais prononcé un seul mot jusqu'à il y avait encore un mois et lorsqu'il n'était qu'un bébé, il n'avait pas pleuré du tout, pas un seul jour. Parfois, il se mettait à hurler comme un possédé et à renverser tout objet se trouvant à sa portée.
Astoria avait honte de ce que son beau-père les avait obligé à faire son époux et elle. En effet, ce dernier considérait son plus jeune petit-fils comme une honte, pire une tare et les tares, on s'en débarrassait chez les Malfoy. Pour sauver leur fils de son grand-père, ses parents avaient dû le placer dans une cellule du département de psychomagie de Saint Mangouste et effacer son existence de la mémoire de Scorpius.
Cependant, les choses avaient fini par s'arranger. Tout d'abord, à l'hôpital, Hypérion avait rencontré Alice Londubat du même âge que lui et présentant les mêmes symptômes. Les deux enfants s'entendaient comme larrons de foire. Ensuite, après des années de désespoir sans remède, Astoria avait fini par se tourner vers les moldus. Elle avait alors trouvé le nom de ce qu'avait son fils: le syndrome d'Asperger. Son fils n'était donc pas fou. Au contraire, il possédait une intelligence rare. Forte de ce constat, elle en avait parlé à son mari. Tous deux avaient alors chercher un psychologue cracmol qui commença à aider Hypérion puis Alice, permettant à leurs parents de les reprendre chez eux.
Astoria sourit en repensant au premier mot que Hypérion avait prononcé. Ses parents et lui étaient attablés et arriva alors le dessert. soudain, ils avaient entendu le mot "gâteau" franchir les lèvres de l'enfant alors que ce dernier fixait le plateau de pâtisserie qu'un elfe de maison venait de déposer sur la table.

Le début du 1er article de Saxophonius Barbigeull :

Il y a quelques temps, j'ai lu un article dans un journal moldu, « The Inverness Courier ». Dans cet article, ils parlaient d'un « monstre » dans un lac des Highlands, le Loch Ness. Ils sont fous ces moldus... Ils disent que ce « monstre » est un plésiosaure ou un diplodocus. Pour celles et ceux qui ignorent l'existence de ces deux créatures, ce sont ce que les moldus appellent « Dinosaures », ce sont les premiers dragons qui sont apparus, bien avant les sorciers et les moldus. Pour en savoir plus sur ce sujet, je vous recommande mon livre sur les ancêtres des créatures fantastiques : Ceux qui étaient là avant eux. Mais passons, je veux dire par là que les moldus ont une sacrée imagination, car il n'y a aucun monstre dans ce lac ! Ils voient un truc long sortir de l'eau et tout de suite c'est un monstre disparu. Finalement ils sont sûrement plus bête qu'imaginatif sur ce coup... C'était juste une tentacule qui a sauvé un sorcier tombé dans le lac. Ça arrive donc il aide. Je parle bien sûr du Calamar géant du lac de Poudlard.

Donc sous le harcèlement de ma chère capitaine, je veux dire Astrid, euh non, la loutre... Toujours pas. On reprend depuis le début. Sous le commandement d'Ywëna, je participe au challenge avec un bout du nouveau chapitre de Scalpel ( l'épilogue). Pas vraiment besoin d'avoir un contexte puisque c'est le début de la partie quand Astrid recontacte Star Flett après 5 ans d'absence. Voilà!
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– Salut Amiral ! lança joyeusement Astrid Guesmind.

Komack recracha son thé d’un jet spectaculaire qui traversa quasiment tout le bureau, avant de beugler :

– GUESTMIND !

– Oui, c’est moi, je suis au courant.

– AU NOM DU CIEL mais qu’est-ce que vous FOUTEZ ICI ?!

– J’ai juste piraté votre bureau, vous allez pas m’en faire tout un fromage, si ?

Komack grimaça, se retenant de justesse de grincer des dents. L'insolence de cette folle furieuse ne lui avait pas manqué DU TOUT.

– Qu'est-ce que vous voulez ? Demanda l'Amiral, contenant difficilement son énervement.

– Oh trois fois rien. Fit Astrid avec un petit sourire. Je voulais juste vous annoncer qu'en tant que Grande Impératrice...

– Astrid ! On est une démocratie ! S'écria la voix d'Alyssa hors-champ.

– J'étais contre le système démocratique ! Répondit la capitaine en faisant la moue.

– On s’en fout !

– Non on s’en fout pas !

– Bien sûr que si on s’en fout puisqu’on n’est. Pas. Un. Empire !

– Pff, tu ruines mon fun beaucoup trop souvent. Qu'est-ce que je vous disiez déjà amiral Komack ?

Komack cligna plusieurs fois des yeux, n'en croyant pas ses oreilles. Il se demandait bien qu'est-ce qu'il avait pus faire au ciel pour à nouveau devoir supporter cette cinglée et son équipage de barges ?

– Je vous demandais ce que vous voulez ? Répéta lentement l'Amiral.

– Ah oui c'est vrai ! S'exclama Astrid. En faite, le Kiwistan...

– Hypérion VII bordel !

– Mais tu vas me foutre la paix oui ? ! Hurla la blonde, se levant presque de son siège.

– Capitaine... Fit une voix masculine totalement blasée. Vous pouriez pas faire vous engueuler un autre jour ?

Astrid jeta un dernier regard noir vers Alyssa qui était toujours hors-champs avant de se racler la gorge.

– Donc, comme je le disais. Repris la capitaine. La colonie d'Hypérion VII a décidé d'envoyer une délégation de trois humains et trois Augments pour installer le dialogue avec Star Fleet.

– ... De quoi ?
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Voilà !

Pourquoi est-ce que Google ne veut plus me trouver la page du forum ? Ca m'est arrivé deux fois quand je voulais poster, saloperie u_u Heureusement, la deuxième fois j'avais sauvegardé mon texte u_u

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Franz se pencha en arrière pour jeter un œil derrière la plaque qui obstruait la fenêtre. Celle-ci avait un fin jour qui permettait de voir l'extérieur. La lumière du soleil lui adressa la rétine et il se redressa aussi sec en clignant des yeux. Il n'était resté qu'une seconde à regarder au dehors et il lui fallait déjà un temps d'adaptation à la semi-pénombre qui régnait dans la pièce, uniquement éclairée pour une lampe faiblarde et l'écran de deux ordinateurs.

- Il fait comment dehors, Franz ?
- La ferme Klein, c'est Volt pour toi, demanda une voix de l'autre bout de la pièce.
- D'accord, j'ai compris Franz, mais il fait comment ?

Franz soupira et se pinça l'arrête du nez d'un air las. Il ne savait pas depuis combien de temps il était coincé avec lui mais il se demandait ce qu'il avait bien pu faire dans une vie antérieure pour, parmi tous les types de la terre, se farcir celui-là. Ce n'était pas que John Klein était méchant, mais c'était juste qu'il le rendait dingue, à croire qu'il faisait tout pour user ses nerfs. Peut-être le faisait-il exprès, l'utilisant comme défouloir ? Le regard de Franz se posa sur l'autre, qui se balançait sur deux pieds de sa chaise et le regardait plein d'espoir. Ça n'avait pas l'air d'être son genre, mais on ne savait jamais. Il avait beau être un gamin qui avait tout juste l'air d'avoir atteint la vingtaine, il ne fallait pas sous-estimer la déchéance de l'humanité. Surtout avec la preuve qu'il venait encore d'avoir.

- Ca ne sert à rien de le savoir tant qu'on n'a pas fini notre boulot.
- Soit cool ! Toi au moins tu es prêt de la fenêtre ! Moi j'ai rien du tout ! Oh, j'aimerais être près de la fenêtre, soupira-t-il, mais...

Il laissa retomber sa chaise sur ses quatre pieds d'un claquement sec et tendit la jambe pour la montrer. Une chaîne métallique rattachait sa cheville au bureau. Franz le savait, il avait la même. Elle était suffisamment longues que pour leur permettre de s'allonger sur le matelas à côté de leur bureau ou atteindre le pot de chambre de l'autre côté, mais pas pour se rapprocher l'un de l'autre. Et encore moins se toucher.

- Il fait jour, le soleil brille sans nuage et l'herbe agite la lande.

Klein ferma les yeux et sembla méditer sur la chose, un air serein sur le visage. Puis, il le regarda avec un sourire moqueur.

- Tu ferais un très mauvais poète, tu sais ?
- La ferme, répliqua machinalement Franz.

Il se tourna ensuite à contrecoeur vers l'écran qui trônait en face de lui, et le maudit programme sans cesse ouvert. C'était le seul programme que semblait contenir l'ordinateur et il était impossible d'établir une connexion internet ou n'importe quelle relation avec l'extérieur. Il avait essayé. Non, tout ce qu'il y avait, c'était ce maudit programme avec son code bizarre qu'il devait déchiffrer. C'était pour ça qu'il était là - et Klein aussi. Avec un soupir, il se frotta les yeux, se gratta l'épais chaume qui lui recouvrait le visage, puis se remit au travail. S'il ne le faisait pas, on le remplacerait et il finirait dans une décharge ou dans les égouts.

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Au 221B Baker Street, Sherlock Holmes enquêtait sur des disparitions.

Inspiration du soir, alors j'ai écrit. Et, ô, surprise, le mot jour est dedans.
c'est peut-être un peu bizarre. Je sais pas trop. Bref.

Le quartier des enfants brisés ~

Je les ai rencontrés au quartier des enfants brisé.

Il parait que lorsque l’on voit le jour, on est innocent. Qu’on a la vie devant nous. Il parait que l’enfance est une période d’insouciance et d’éveil. Que les enfants font le bonheur de leur parents qui assurent leur ligné.
Ce sont de ces phrases que l’ont entend dans certaines bouches, et elles les prononcent toujours comme des vérités immuables. Surtout les vieilles dames.

Alors pourquoi personne n’est comme ça au quartiers des enfants brisés ?

Ce n’est pas vraiment un quartier. Plutôt une zone. Vous les connaissez tous, ces endroits dit ‘’peu fréquentables’’ car ‘’mal famés’’. Ce genre d’endroits que autres gens évitent parce qu’ils en ont peur, dans le fond. Il y a des terrains vagues. Quelques immeubles. Certains sont abandonnés. Il n’y a pas grand chose au quartier des enfants brisés. Les adultes ne viennent pas trop, parce qu’il n’y a rien. Mais ils se trompent : il y a des gens. Qui se déchirent, qui se soutiennent. Certains sont grand. D’autre beaucoup moins. Mais nous sommes tous des enfants quand même.

Mais quand j’entend les petites mamies qui parlent de leurs petits-enfants adorable, je me dis que nous ne sommes qu’une sorte de caricature d’enfant. Des petits soldats de cartons qu’on aurait jeté par terre un peu trop tôt.

Là-bas, les gens pensent, ils ruminent, où ils essaient d’oublier. Moi aussi. Nous tous. C’est un point de fuite. Une façon de quitter, même si ce n’est que pour quelques heures, ce quotidien qui nous fait plus mal qu’on ne voudrait l’avouer. Chacun possède ses blessures.
Mais il y a aussi des rires, des sourires, en plus des pleurs et des cris. Peut-être qu’on a l’impression que notre vie n’est pas si terrible quand on entend les lamentations des autres. Je ne sais pas. Mais on se soutient quand même.

C’est là-bas que je les ai rencontrés.

Il y a beaucoup de monde, chacun avec ses problèmes. Les parents violents, les incestes, les absences, l’indifférence.

Lui, il était banal. Un orphelin du quartier, abandonné dès sa naissance. Alors il zonait. Parce qu’il était perdu et qu’il n’avait personne pour lui dire où aller. Il n’avait toujours connu que ça, cette solitude étouffante.

Elle, elle était plus extraordinaire. Elle n’était pas de notre monde. Ses parents avaient de l’argent, à elle, mais elle venait quand même, parce qu’elle ne savait pas où elle pouvait s’enfuir sans que ses parents la trouve autrement.

On ne voulait pas trop d’elle. Elle n’était pas de notre monde. Sa famille avait de l’argent, et elle avait ses deux parents. Mais on l’a laissé venir, et on l’a accepté sans nous nous en rendre compte. Parce qu’on s’était habitués à la voir trainer, à la savoir dans le coin, à trainer, à discuter.
Elle nous as expliqué, plus tard, que ses parents l’emprisonnait, et qu’elle étouffait dans cette richesse qui la forçait à porter un masque pour qu’elle corresponde à l’image qu’on se faisait d’elle. Elle se sentait prisonnière. Et aussi brisé que nous soyons, au quartier, on avait l’impression d’être un peu libre.

C’est là-bas que je les ai rencontrés.

Il y a eu d’autres personnes, aussi. Le grand battu par son père mais qui restait protéger sa sœur. La jolie gamine dont la mère était moitié folle.

Tellement d’autre.

Je n’étais pas le plus malheureux. Pas le plus heureux non plus.
Ma mère est caissière et pute. Les deux ne vont pas ensemble. On me le dit souvent, et je le pense aussi, parfois, quand je n’arrive pas à m’endormir. Elle ne sait pas qui est mon père, et on n’a pas beaucoup d’argent. Fin de l’histoire.

C’était un lieu un peu en dehors du monde, quand j’y pense, le quartier des enfants brisés. Pas de lois, pas de règles, juste nous et notre envie d’être libre. Loin. De ne plus avoir à penser, parce que c’est trop dur.

Mais je pense qu’ils l’auraient tous dit, à l’époque. Que malgré tout, ils aimaient venir ici.

Parce que, peut-être, entre enfants brisés, on pouvait s’aider à l’être un peu moins.

Juste un peu.