Mot du 22 Février au 8 Mars : Jaune [Terminé]

JAUNE

N'oubliez pas : si vous écrivez, ça sera un drabble (pas plus de vingt ou vingt-cinq lignes dans lesquelles ce mot doit apparaitre). Si vous dessinez... Ben, faites comme vous voudrez.

Amusez-vous !

Sachiko fixa son interlocuteur d'un air narquois, fière de lui avoir cloué le bec :

- Alors, vous me laissez jeter un oeil à vos Jinchuriki ou vous prenez le risque d’être responsable d’une Cinquième Guerre ninja ?

Le Raikage gronda comme un fauve contrarié, puis se laissa tomber sur sa chaise et fit signe à Sachiko de s’asseoir en face :

- Explique-moi d’abord le plan de Kabuto, Namikaze.

- Arrêtez de m’appeler Namikaze, marmonna Sachiko en s’asseyant. Le Tsuchikage fait pareil. J’ai l’impression qu’il se retient de me crier dessus à chaque fois.

A sa grande surprise, le Raikage émit un grand rire, comme si Sachiko avait dit un truc drôle :

- Je dois moi-même me retenir de t’appeler « Eclair Jaune ». Je le comprends.

- Hein ? sursauta Sachiko. Mais je ne lui ressemble pas… Pas tant que ça, enfin.

Le Raikage jeta un regard moqueur sur les cheveux blonds qui lui effleuraient les épaules, le haori blanc, le visage si semblable. Naruto avait plus les traits ronds de sa mère Uzumaki. Sachiko, elle, ne pouvait vraiment pas nier son ascendance Namikaze.

- Si.

Il ne le dit pas, mais il pensa soudain que c’était peut-être pour ça que ce vieux borné de Tsuchikage s’était fié aux déductions de la nukenin. Parce qu’elle était la fille d’un ennemi qu’il avait respecté. Vraiment respecté.

- Explique-moi le projet de ce serpent, capitula-t-il. Ensuite, tu utiliseras ta combine pour espionner mes hommes.

Le sourire éclatant et victorieux de Sachiko, en revanche, évoquait davantage Naruto que Minato.

Hiii, un extrait du Chant des Loups.** Me gusta.
Bon, PROMIS, cette fois, j'y bosse.

Alala espèce de Kiwi démoniaque ! Mais bon, comme je suis d'une générosité sans pareille, je vais poster un bout de fic pour jaune ^^. Donc, le contexte c'est ma nouvelle fic " Mon colocataire est quoi ?" . Donc c'est sur la série Sherlock 2010 de la BBC ( dont je voue presque un culte et que je hurle en voyant qu'ils vont bientôt filmer cette foutue saison 3 !). Pour vous placer dans le contexte: John Watson vient de trouver Sherlock dans la salle de bain dans un état un peu lamentable. Comme Sherlock a eut un accident un peu plus tôt, il est trés inquiét. Sauf que c'est d'un symptôme bien différent dont souffre le détective... Héhéhé, vous ne trouvez pas que ça fait trés mystérieux ? *SBAM* Ok voila le texte:

_______________
John eut un instant d'hésitation mais ouvrit quand même la porte. Ce qu'il vit le choqua. Sherlock était à genoux sur le sol, les mains agrippaient contre le rebord de la baignoire et la tête penchait. Le médecin pouvait voir le corps de son colocataire être secoué de spasmes et de frissons. John mit plusieurs secondes à réagir, ne comprenant pas ce qui se passait. Est-ce que Sherlock faisait une crise de manque? Non, c'était stupide, il était clean depuis longtemps. Ou alors c'était des séquelles de l'accident de voiture ? Mais le médecin sortit de ses pensées en attendant un râle rauque émaner de son colocataire. John s'approcha de lui, voulant poser une main sur son épaule. Cependant, Sherlock s'écarta d'un mouvement vif, se collant à la baignoire.

_John va-t-en...

_Sherlock, qu'est-ce qui t’arrives ? Fit soudain le médecin, inquiet. Ou est-ce que tu as mal ? Je vais...

_Non ! Ça va. Le coupa le brun d'une voix rauque.

Malgré lui, John soupira d’agacement et voulu poser sa mains sur le front de Sherlock pour vérifier sa température. Mais celui-ci s'écarta à nouveau, les bras croisaient contre sa poitrine. Il se retenait bravement de ne pas gémir à nouveau de douleur. John le remarqua et s'agenouilla doucement en face de lui.

_Ne fait pas l'enfant et laisse moi faire.

Seulement, deux choses le firent cesser tout mouvement. La première est que Sherlock venait de grogner, le faisant sursauter. La deuxième était ses yeux. Ses pupilles étaient jaune. Non, dorés et luisantes. Et ses iris... Elles étaient fendues comme celles d'un reptile. Bordel, mais qu'est-ce qui se passait ici ? !

_Sherlock ?
_____________

Voilà ! Soit dit en passant, j'ai bien aimé ton drable Ywëna ^^

FBI, duo très spécial

cette

ce

s'éloigne d'un air innocent en laissant l'idée germer dans le cerveau du loir

– On pourrait essayer de s’introduire dans un village caché ! proposa joyeusement Sachiko.

– Seulement y entrer ? releva Sasuke en refermant son livre. Ça serait plus drôle si on y volait quelque chose, non ?

Sachiko hésita, mais le pétillement dans les yeux sombres de Sasuke vainquirent ses réticences. Elle haussa les épaules :

– D’accord. Y voler quoi ?

– Un objet. Ou plusieurs.

– Tu veux dire, comme une liste de course ? demanda Sachiko hilare. Et le premier à avoir réuni tous les objets de la liste aura gagné, c'est ça ?

– Pourquoi pas.

– Ça pourrait être une liste d’objets farfelus, s’emballa la jeune fille. Du genre des œufs, un chat, une serviette de toilette… J’ai fait un défi comme ça avec la team Gai, une fois. Interdiction d’acheter les choses, il fallait les prendre aux gens dans les rues… Il y avait un soutien-gorge dans la liste. Voir Lee essayer de convaincre une fille qu’il ne s’intéressait qu’à ses sous-vêtements et pas au reste de sa personne était un spectacle qui valait le détour !

Sasuke ne rit pas, mais la commissure de ses lèvres se releva de quelques millimètres et il proposa :

– Hanae pourrait faire la liste, non ? Elle est douée pour…

Il chercha en vain un terme adéquat, et Sachiko suggéra avec un sourire en coin :

– Disjoncter ?

– Nous prendre la tête, fit Sasuke au même moment.

– Les deux, concéda la nukenin blonde. Je vais la prévenir !

Et aussitôt, elle créa un clone d'elle qui quitta la pièce, dégringolant les escaliers à toutes jambes pour se précipiter vers la cuisine. La Sachiko originale leva les yeux au ciel, souriant malgré elle. Et Sasuke lâcha avec détachement :

– Pour le village, je propose Konoha.

Tout signe d’amusement déserta le visage de la jeune Namikaze, et ce fut un regard froid qu’elle posa sur Sasuke. Certes, elle savait qu’il était loyal. Mais loyal envers les Ōkami et envers Naruto. Pas envers Konoha.

– Non.

– Tu n’as pas envie d’y retourner ?

Sachiko se figea durant un douloureux instant. Évidemment qu’elle voulait y retourner. C’était sa maison, son foyer. Bien plus que la tanière ne le serait jamais.

[...]

– Bon. D’accord.

– C’est une idée géniale ! s’exclama Hanae depuis la cuisine.

Le clone venait apparemment de lui soumettre son idée. Sachiko et Sasuke se regardèrent, amusés, puis la nukenin blonde fit volte-face pour aller dans sa chambre s’équiper pour leur petite excursion. Elle ne mit que quelques secondes à faire le plein de kunais, shurikens, bombes aveuglantes ou à fumée. On n’était jamais trop prudente.

Sasuke et elle avaient à peine descendu les escaliers qu’Hanae surgissait du salon, un large sourire sur le visage et brandissant deux feuilles de papiers couvertes de noms d’objets. Sachiko prit la sienne, et ouvrit de grands yeux.

– Des chaussettes rouges, une poignée de porte, un rouleau de papier toilette, trois clous, un objet qui fait du bruit, un collier pour chien, une pince à épiler, un T-shirt d’homme, une brosse à chiottes…

– Une boucle d’oreille de fille, lut Sasuke d’une voix impassible. Un caleçon vert, un porte-monnaie, un bol de ramens, une photo de Kakashi, une douzaine d’œufs…

Et la liste se poursuivait, lue par Sachiko incrédule :

– Un piercing lingual, une peluche de plus d’un mètre, un objet jaune, un kiwi, un autocollant en forme d’étoile, l’autographe de Gai, un soutien-gorge en dentelle, un paquet de riz, trois oignons et du sel.

– J’ai du curry au lieu du sel, fit remarquer Sasuke.

Hanae haussa les épaules :

– Il me manque deux paquets de riz, six oignons, du sel et du curry pour le repas de demain. Autant vous exploiter à mort : ça m’évitera d’aller faire les courses !

L’Uchiwa soupira, blasé, et se massa les tempes :

– Je regrette déjà d’avoir accepté ce défi.

Sachiko lui lança un regard noir, et croisa les bras comme à chaque fois qu’elle s’apprêtait à râler :

– Tu ne vas pas te défiler, j’espère…

– Bien sûr que non. Baka.

J'ai beaucoup aimé le principe de la "liste de course" xD Vla pas les trucs assez improbable à récupérer. Oui, je connais cette série ( Comment aurais-je pu passer à côté de Neal qui est juste... Mouahaha (yep ça veut tout dire U_U)). Et bien pourquoi, je vais bien réussir à t'écrire un petit truc sur ce couple là~ ( Comment ça Peter est marié ? Mais non, c'est pas un problème ça X)
Et oui, Ywëna, c'est cette fic avec le "rastafaraille" même si je l'ai pas mis dans le résumé xD

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je suis supposée travailler mais... Vu que je suis absente depuis un petit bout de temps...faut que je revienne sur le devant de la scène ! (ou pas)

et... allez-savoir ce qui se passe dans ma petite tête ^^'
(pas relu)

****

Bientôt demain. Bientôt le grand jour. Encore tant faire...
J'avais fit ma petite liste, commencé à rayer ce qui avait été fait, et j'ajoutais constamment de nouvelles choses, si bien que ma liste j’agrandissais sans cesse. Mais là c'était le moment d’accélérer. Et surtout... Un moment que j'adorais, gourmande comme j'étais.
J'avais sorti tous mes ustensiles. Je pris délicatement mon premier ingrédient. J'inspirais rapidement et le fracassais avec force. La coquille se fissura et avec savoir faire j'inssérais mes doigts dans l'ouverture avant d'écarter afin de laisser le blanc se faire la mal. Puis Avec rapidité je séparais les deux bouts de coquilles avant de faire passer le jaune, tout rond d'un bout à l'autre. Sans le crever. Se débarrasser de tout le blanc.
Puis le sucre, fouetter vivement. Ajouter le reste des ingrédients, déjà pesés. Continuer à mélanger, ajouter le chocolat. Je suis vais la recette sans vraiment faire attention. Avec le temps j'avais finis par la connaitre presque par cœur. Je chantais et dansais sur la musique d'ambiance, afin que le temps ne me paraisse pas trop long. Voilà, la pâte était dans le moule et la cuisson allait commencer.
Le temps de faire la vaisselle, mon dessert était prêt. Les odeurs emplissaient toute la cuisine.
Incapable de garder tous mes moelleux pour le lendemain, j'en démoulais un dans une assiette. Armée de ma cuillère je le regardais avec gourmandise.
Un petite prière, pour remercier le dieu chocolat et je plantais avec tendresse ma cuillère dans le gâteau. Celle-ci s'enfonça lentement, laissant le coulant s'étaler lentement. J'apportais le premier morceau à ma bouche. Le chocolat mis le feu à mes papilles Lorsque soudain la sonnette retentit.

Malou: Merci maintenant, j'ai envie d'un gâteau ! TT_TT, j'ai bien envie de prier le dieu chocolat moi aussi.

Voilà ma deuxième participation pour faire plaisir à Ywëna. C'est donc un bout de drabble sur la série "FBI: Duo trés spéciale". Bref petit pétage de cable improvisé sans réel scénario. Pour ceux qui ne connaissent pas la série, Peter est un policier et Neal un voleur spécialisé dans l'art, ils travaillent ensemble. Donc voilà:

____________
Peter fixa la personne en face de lui. Un soupir d’agacement lui échappa quand Neal leva une tête d'imbécile heureux vers lui. Le voleur se releva péniblement en s'appuyant contre la table basse. A ses pieds, une bonne dizaine de bouteilles vides témoignait de l'ivresse du plus jeune. Neal fit un pas avant de s'étaler sur ses genoux dans un rire quasi-hystérique. Il mit plusieurs secondes avant de se calmer, regardant à nouveau le policier.

_Peteeeer ! Qu'est-ce que tu fais là ?

Le policier se passa une main sur le visage avec agacement.

_Juste voir comment tu allais. Et toi, pourquoi as-tu autant bu ?

_Euh...

Neal eut un court instant de réflexion.

_Je sais plus. Répondit honnêtement le voleur en haussant les épaules.

Oui, il y avait une raison mais elle s'était perdue entre la bouteille de vodka et de téquila. Le voleur voulu passer à côté de Peter mais il se prit les pieds dans le tapis. D'ordinaire, il était agile comme un chat et ce genre de maladresse n'était pas du tout son type. Sauf que là, il était loin d'être dans son état normal. Il serait tombé si Peter ne l'avait pas rattraper par le bras. Mais le policier fut surpris quand Neal se ventousa presque à lui. Il soupira à nouveau d’agacement avant de regarder le voleur dans les yeux.

_Sur une échelle de 1 à 10, a quel point es-tu saoul ?

_Grille-pain ! Répondit Neal avec un sourire d'imbécile heureux.

_Ok je vois...

Peter se détacha de l'étreinte presque « poulpesque » du plus jeune avec plus ou moins de facilité. Neal était incroyablement tenace quand il était scotché à quelqu'un. Le policier passa ensuite un bras autours de la taille de Neal et le conduisit vers sa chambre. Le voleur n'arrêtait pas de faire des commentaire sur tout ou rien jusqu'à ce que Peter le pousse sur le lit. Il ferma ensuite les rideaux et s’apprêtait à quitter la chambre quand Neal l’appela.

_Reviens ici Cravate jaune !

_Cravate jaune ? Répéta Peter en s'approchant du lit.

Neal hocha la tête avant de bailler. Il commençait à être sacrément fatigué... Et en plus, il avait un véritable pivert dans la tête. Il fixa Peter qui était désormais à côté de lui. Ouais, sa cravate était vraiment moche.... Heureusement que l'homme en dessous rattrapait le coup. Le peu de raison que possédait encore Neal tiqua. Il venait vraiment de penser à ça ? Peter était désormais à côté de lui.

_Qu'est-ce qu'il y a ?

_Et mon bisous de bonne nuit ?

_ … Je vais faire comme si je n'avais rien entendu.

Mais avant que Peter ne puisse partir, Neal l'attrapa par le poignet. Il tira le policier en avant et l'embrassa à la commissure des lèvres. Dans son nuage éthylique, il pensa vaguement qu'il avait mal visé. Tant pis, une prochaine fois. Il se laissa ensuite retomber sur le lit, laissant Peter sur le cul.

_Bonne nuit Peter !

_Ahem... Bonne nuit Neal.
_________________________

Bon!
Je sais pas si j'aurai le temps de faire un texte, mais en tout cas, et ben que mi ben n'a fait dessin! (^o^)
Bon, pour expliquer mon raisonnement:
Jaune= Pokémon version jaune= Pikachu= Pika-girl...

Donc, Jaune=Pika-Girl. Mathématiques élémentaires, mon cher Waston!

Bwef. J'ai fait une Pika-Girl.
Moche, en plus.

Spoiler:

Mine de rien, cette histoire de challenge me plait... Allez, si j'ai le temps, je ferai un texte. ><
-Si j'ai le temps, hein... :pale: -

Harry Potter

Mei Terumi était une Mizukage compétente et déterminée, tout le monde s’entendait là-dessus. Certes, son haut-conseil avait légèrement tendance à essayer d’empiéter sur ses plates-bandes, avec par exemple la désignation du nouveau Jinchūriki. Mais avec quelques menaces de mort susurrées avec un joli sourire, ils se carapataient tous à l’autre bout du village et la laissaient faire ce qu’elle foulait.

Donc oui, Mei était une bonne Mizukage et elle gérait assez bien son village.

Bien sûr, il y avait toujours le problème du racisme envers les membres de clans, ce qui lui posait toujours un léger problème parce que comme elle-même venait d’un clan, ses propres hommes avaient tendance à se tortiller avec nervosité et à rire jaune devant elle comme si elle pouvait les tuer d’un souffle. D’accord, elle pouvait les tuer d’un souffle, mais ça n’était pas une raison, non plus.
Et il y avait toujours la paranoïa aigue de ses plus anciens ninjas qui criaient à l’invasion dès qu’un oiseau se posait sur leurs terres. Et puis le conservatisme du conseil qui poussait de hauts cris en entendant les mots « alliance ». Bref, toute la mer… Euh, tout le bazar laissé par son prédécesseur.
Mais bon, rien de trop grave. Les guerres successives avaient fait le ménage et Mei avait bon espoir pour son pays. Ils repartaient sur des bases neuves, et elle se savait capable de les guider.

Par contre, il y avait une chose dont elle était sûre d’être totalement incapable, bonne Mizukage et kunoichi de renom ou pas.

C’était de s’empêcher de sursauter quand cet imbécile de ninja de Konoha surgissait de nulle part, affichant un grand sourire charmeur et ses yeux pétillant d’amusement, comme s’il était parfaitement normal pour lui de se trouver avec la Kage d’un autre village.

- Salut, Mei, comment vas-tu ? Tu es ravissante aujourd’hui.

Mei Terumi se pinça l’arrête du nez avec exaspération. Son stylo, qui lui avait échappé des mains quand l’autre était apparu, avait laissé une tâche d’encre sur le dossier qu’elle remplissait.
A la longue, elle n’essayait même plus d’attaquer cet abruti. Il revenait toujours, éternellement joyeux et inconscient.

- Kaiji, qu’est-ce que tu fous dans mon bureau ?

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