Mot du 24 Février au 10 Mars : ESCALADE [Terminé]

Bon ben je vais inaugurer x)

Les aventures d'Octavia dans Skyrim x)
Elle a assisté à la mort de ses parents et de sa soeur, tués par des bandits et du coup...

Elle due partir à Faillaise, à l'Orphelinat de Grelod la Douce. La Douce... Quel surnom bien trouvé... Elle et les autres enfants étaient mal traités et battus pour un rien. Et ça c'était "que" les violence physiques... Chaque jour était horrible pour tous... Certains voulaient faire le sacrement noir pour la voir morte.
Son calvaire dura plus de neuf longues années. À la veille de son quatorzième anniversaire, elle a mis au point un plan pour s'enfuir. Un plan simple qu'elle a mis au point il y a déjà dix ans, se cacher dans un coffre. Elle n'avait jamais oublié ce moment, mais elle avait peur de refaire cette scène, mais elle n'avait pas le choix... C'était la journée de trop, comme toute les autres depuis son arrivée dans l'orphelinat, finalement depuis la mort de sa famille. Elle s'était cachée dans un des coffres et quand l'horrible femme était sortie la chercher et la punir elle s'est enfuit de sa cachette et s'enfuit par la porte de derrière et sortie de la ville obscure a toute jambe vers le Nord. À à peine quatorze ans, elle se retrouva seule au pied des montagnes avec pour unique moyens de vivre une dague et un arc qu'elle a trouvé sur le cadavre d'un Bosmer qui a dû tenter d'escalader la chaîne de montagne entre Bordeciel et Morrowind pour cartographier la zone. Octavia ne s'est jamais posée la question. Pour la jeune femme aux cheveux châtain mi-long, ce fut une année dure. Apprendre à chasser seule c'est dur et la toundra de Bordeciel est très difficile à vivre quand on est mal habillée et sans bon feu. Lors de ses quinze ans, elle quitta ces montagnes maudites et partie vers le Sud-Ouest. Mais deux femmes Nordiques en avaient décidé autrement.

Pour le coffre, il faut savoir qu'elle a vu la mort de sa famille depuis l'intérieur d'un coffre en pierre.

Il était vingt-trois heures et donc le moment pour elle d'aller au lit. Il n'était pas dit qu'elle devrait y rester toute la nuit. Après tout, il y avait de cela deux jours, Nora était arrivée à quatre heures du matin pour qu'elle lui retire une balle jambe.
Avant d'aller se coucher, Barbara décida d'aller jeter un coup d’œil aux petits. Comme elle s'y attendait, Célia, Matt et Jor-el avaient quitté leurs lits respectifs pour se construire un petit nid commun de couvertures au milieu de la chambre. Barbara n'avait élevé la petite fille qu'à partir de ses deux ans mais pour les garçons, elle était la seule mère qu'ils avaient jamais connue. Après tout, Terry et Martha n'étaient pas aptes à s'occuper d'un bébé à cette époque là.
Depuis quelques temps, Barbara se demandait si elle ne devait pas redonner la garde des deux garçons leurs derniers proches inter-mondes. Matt ne savait rien de ses parents et il serait bien que son frère aîné lui en parle. Quant à Jor-el, elle trouvait que le petit kryptonien n'avait pas assez de contacts avec ceux de sa race. Il fallait dire que le seul kryptonien qu'il approchait sans difficulté était son cousin Saza-el.
Un ronflement lui parvint depuis la porte faisant naître un sourire sur son visage. Ainsi, Tim et Dick étaient rentrés de leur petite séance d'escalade à travers la ville. Bientôt, ils partiraient avec le cirque et cela attristait la blonde autant que cela la réjouissait pour eux. Après tout, ils avaient toujours voulu redorer le blason des Grayson.
Pour ce qui était des "jumelles", elles n'allaient pas tarder à partir pour une résidence universitaire.

Au moment où Barbara se glissa sous sa couette, elle se dit que le temps passait vraiment trop vite. Les petits et les couches culottes n'étaient plus les bébés dont elle s'était occupée.

*sort du placard*
Bouh !

Je m'étais cachée !
... Il y a trèèès longtemps. Et j'ai perdu la sortie, mais : me revoilààà !
*remarque qu'il n'y a personne*
eh ho ?


ywena : j'ai... pas.. tout compris... Du tout. O.o harry, Sirus et Dumbeldor ? tous vivants en sembles dans leur "futur" ? O.o J'ai du louper un bon gros chapitre x) (voir un bouquin !)

Vincent : je ne sais pas qui est cette dame, mais Barbara semble être bien courageuse.. Et c'est sympa ce petit bilan

Don Jul : un pavé... T.T j'aime pas ça. (vive les sauts de lignes !)
Mais l'histoire semble être intéressante, c'est un de tes persos de Skyrim ? ou tu inventes toute l'histoire juste à partir de l'univers du jeu ?



***

Esther couru aussi vite que le lui permettait sa tenue pour le moins... légère.
Mais la on côté des petits appartements, c'est qu'on est vite arrivé à l'autre out. Le mauvais.. c'est que c'est beaucoup trop proche la pièce qu'on fuit. Mais qu'importe, après avoir claqué la porte de sa chambre et renversé sa petite bibliothèque devant (c'est ce qu'ils font dans les films pour ralentir les tueurs) la jeune femme avait grimpé sur son lit et observait d'un oeil critique son armoire.
Elle n'avait jamais aimé l'escalade, mais là c'était une question de vie ou de mort. Une fois perchée en haut le ...loup, ne pourrait pas l'atteindre. Du moins c'est ce qu'elle espérait au plus profond de son petit cœur fébrile.
Ce fut donc le début d'une terrible aventure. Un pied sur la commode l'autre sur la poingée de son armoire, Esther serrait les dents. De un, elle devait éviter de bouger de trop, sa position était plus que précaire. De deux, elle allait devoir de hisser à la force des bras en haut de la fameuse armoire. Maintenant qu'elle était en partie suspendue et que ses orteils la faisaient souffrir (car bien entendu elle n'avait pas débarrassé la commode, et il y avait beaucoup de trucs, surtout des pointus)... elle se rendait compt que c'était une très mauvaise idée. Elle n'allait pas réussir à monter en haut. Donc elle finirait par s'écraser au sol, car elle était dans l'incapacité de faire le chemin inverse.
Pitoyable.
Retenant à grand peine ses larmes, la jeune femme tendit l'oreille. Le loup ne semblait pas s'acharner contre sa porte. C'était... presque une bonne nouvelle.
Elle se concentra encore plus et... elle entendit quelque chose.
Ce quelque chose ressemblait à... Rien de bestial. On aurait presque dit un... rire.

Le retour au sol fini par se faire douloureusement.
Piquée par la curiosité Esther s'approcha de la porte et soupira en remarquant la pagaille qu'elle avait semée. Après avoir regretté de ne pas avoir de serrure pour y jeter un oeil, elle se résolu à ouvrir la porte, ce qu'elle ne pu faire qu'après avoir poussé les livres et le meuble qui la condamnaient.
Puis, après avoir écouté à la porte et s'être persuadée de l'absence de danger, elle l'ouvrit doucement. Et ce qu'elle vit la pétrifia.
Dans son couloir, se tenait un homme accroupi. Pas n'importe quelle homme. SON homme. Jack.
Et il était nu.
Et il rigolait.
.. Et elle était toute aussi nue que lui, car dans sa tentative d'escalade elle en avait perdu sa serviette.