Mot du 8 Février au 23 Février : Loup [Terminé]

LOUP

MOUAHAHAHA ce challenge est FAIT pour moi *-* Je pourrai poster plein de truc, dont plein de passage de [i]Entre Ciel et Terre[i] x) Mais bon, avant ça, commençons doucement. J'ai écris ce mine OS parce que... j'avais envie '-' La fin laisse a désirer, j'avais pas trop d'inspi (sauf pour le début) donc bon x)

Aller, go !

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Je m’en souviens comme si c’était hier. Ce jour-là, nous étions en voyage pour aller voir nos grand parents pour un repas de famille auquel je ne prêtais guère attention et ne m’intéressais pas. Nous nous trouvions dans une région que je ne connaissais pas, sur une route goudronnée entourée d’arbre, surtout de grand épineux et quelques feuillus.

Nos parents étaient encore en train de se disputer pour la énième fois tandis qu’une musique de Peter Gabriel passait dans le lecteur cassette de notre petite Citroën bleu. A cette époque, j’avais du mal à comprendre pourquoi ils ne s’entendaient pas. Dans mon esprit de petite fille, je pensais qu’ils devaient s’aimer, et pas se détester, que c’était impossible.

A l’arrière de la voiture, avec moi, se trouvait mes deux frères, tous deux plus âgés que moi. Le plus grand avait 15 ans tandis que l’autre en avant 11. Moi, j’en avais 7 à ce moment-là. Ils étaient en train de jouer à un jeu étrange, auquel ils ne voulaient pas que je participe, car j’étais une fille. Je ne comprenais pas tout ce qu’il disait, mais ça ne m’intéressait pas vraiment à vrai dire.

Pendant que nous traversions cette forêt qui paraissait interminable, j’ai aperçus quelque chose à travers les arbres. Peut-être n’aurais-je pas dû le voir, mais il a captivé mon regard malgré que l’instant n’ait duré qu’un millième de seconde.

En regardant au dehors, j’ai croisé le regard d’un loup. Il avait un regard ambré, presque orangé, avec une pupille très sombre qui contrastait avec la clarté de ses iris. Lorsque je l’ai vue, il léchait ses babines écarlate du sang d’un animal qu’il venait de tuer. Le rouge avait sali une bonne partie de son pelage gris claire.

« Maman, maman, j’ai vu un loup ! ai-je dit à ma mère.

- Ne dit pas de bêtises, il n’y a pas de loup ici, ce devait être un gros chien, c’est tout, m’a-t-elle répondu.

- Mais puisque je te le dit ! »

Elle ne me dit rien, tandis que je me retournais vers la route, en espérant voir quelque chose. Bien sûr, il n’y avait rien, mais je savais ce que j’avais vu.

Aujourd’hui, j’aime à parler de rencontre. Pour moi, à ce moment-là, ce loup m’était apparu comme une révélation, sur la vie et la mort, la loi du plus fort, malgré mon jeune âge. Aujourd’hui, j’y repense, mais je vis mon train-train quotidien et ne cherche pas à retrouver quelque chose que je ne reverrais jamais.

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Ouais, la fin, c'est vraiment pas trop ça... Mais j'aime bien :DEt c'est absolument pas autobiographique, si vous vous posez la question x)

Draco plissa les yeux, redressant sa baguette de quelques centimètres, tous ses muscles tendus, sa respiration imperceptible. Autour de lui, la forêt était totalement silencieuse. Pas un souffle de vent. Pas un frémissement d’herbe. Pas un craquement de branche. Pas un son.
Si. Un son, à droite.

Un souffle. Profond et lourd. Proche. La respiration d’un être vivant. Si audible, ça devait être quelque chose de gros. Vraiment gros. A deux, trois mètres, mais immobile. Draco cessa de respirer. Il y avait assez peu d’animaux dans ce coin qui se paieraient le luxe de dévisager un sorcier comme si c’était une friandise.

Lentement, très lentement, il tourna la tête.

Le loup-garou devait avoir émergé d’une zone d’ombre entre deux arbres, à un pas derrière lui. Il était accroupi, presque assis, la tête penché sur le côté comme un chien attentif, et ses mâchoires entrouvertes révélant des crocs impressionnants et un filet de bave. Il était immense. Les loups-garous faisaient en général la taille d’un ours, mais celui-là dépassait sans doute le roi des grizzlis de dix bons centimètres. Sous sa fourrure courte se dessinaient des muscles qu’aucun animal sauvage n’avait. D’un coup de patte, il pourrait renverser un griffon.

Un instant, Draco Malefoy et le loup-garou se regardèrent dans les yeux, sans bouger.

Puis le sorcier blond jeta le premier sort, et tout s’enchaîna très vite. Le loup-garou esquiva le jet de lumière rouge, sauta d’une seule détente sur le sorcier, atterrit sur du vide tandis que Draco se propulsait hors d’atteinte d’un bond en arrière qui l’amena trop loin pour que ce soit naturel, reprit son équilibre en lançant deux sorts coup sur coup en direction de la bête, et lorsque celle-ci bondit à nouveau, le sorcier sauta dans les airs, accompagné par un violent tourbillon d’air, comme si un cyclone miniature s’était spontanément formé autour de lui pour le faire décoller. Draco atterrit presque sept mètres plus haut, sur une large branche d’un arbre voisin. Malheureusement, comme le fait de coordonner saut de précision et maîtrise du vent était un concept quine marchait bien que dans les films, il faillit perdre l’équilibre, et se rattrapa de justesse au tronc… Avant de balancer un Sortilège de Découpe au loup-garou grondant et furieux qui bondissait sous sa branche, cherchant à atteindre sa cible perchée.

Cette fois le sort fit mouche, et le loup poussa un glapissement strident quand sa patte avant droit vola dans les airs, sectionnée comme avec une tronçonneuse.

– Sectumsempra, siffla Draco en visant la bête qui essayait de se relever.

Il avait mit toute sa puissance dans ce sort, et le sang gicla si fort qu’il éclaboussa l’arbre et le sol. Comme tailladé par une lame géante, le loup s’écroula avec un couinement, son ventre et son thorax barrés de profondes entailles écarlates, le sang dégoulinant sur le sol comme l’eau d’un robinet ouvert : il semblait y en avoir des litres et des litres… Draco n’attendit pas : avec les capacités régénératives des loups-garous, même un animal en aussi mauvais état que celui-là avait des chances de survie.

Il visa la tête.

Avec un thème pareil, je vais pouvoir poster des milliers de trucs...

Pauvre Loup-Garou au passage. Il avait l'air gentil pourtant ! *fuit*

Bon bref x) cette fois, je poste pas un texte, mais un dessin (qu ej'ai pris le temps de refaire à l'ordi avec ma magnifique tablette, mouahahaha *-*

Voici !

Spoiler:

Alors, il est pas mignon ? :3

Hey! Voici ma petite participation... Avec un étude sur l'anatomie du loup.^^

3...2...1...:

Oh my god o_o Ton dessin est magnifique V ! Faudrait même que je l'étudie de plus près pour mieux faire mes loups...

Enfin bref ! Je voudrais quand même vous dire que le mot "loup" apparait 96 fois dans Entre Ciel et Terre, Mon projet de roman avec une meute de loup et une meute de chien.... En tout cas, j'ai de quoi faire ! Et en voici donc un extrait, qui se trouve au début de l'histoire.

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Le loup d'argent traversa la clairière sombre pour se diriger vers un petit terrier. Il y entra doucement, sur la pointe des pattes, pour ne pas réveiller sa compagne et les petits qui y dormaient. Il passa simplement la tête pour voir si tout allait bien. Rain, la mère des petits, dormait à points fermés, tandis que le plus téméraire des bébés tétait la louve blanche.

Un sourire triste ce dessina sur les babines du canidé. Si seulement cette guerre pouvait finir, ses louveteaux pourraient connaître une enfance calme, pas comme leur père. Le loup finit par se détourner de la tendre scène et retourna voir ses troupes. Storm avait fini par faire comme les autres et s'asseoir au sol. Mais il gardait tout de même une certaine dignité, il était le plus gravement blesser et ne semblait pourtant pas sur le point de tomber.

- Storm, soupira Sky. Je t'ai dit de te reposer.

- Je vais bien Sky. Tu n'as pas à t'inquiéter pour moi.

L'alpha posa son front contre celui du loup noir. Depuis leur enfance, ils avaient l'habitude de faire ceci quand l'autre allait mal. Sky s'en voulait de ne pas avoir été auprès de lui pour ce combat, après tout, ils étaient frère. Leur père a eu deux était mort durant les premières années du conflit, et leur mère avait succombé au chagrin tandis que Sky prenait la place de son père, et ce malgré qu'il soit le cadet. Storm était plus âgé que lui de quelques minutes.

- Je ne permettrai pas qu'il t'arrive quelque chose Sky, fit le loup sombre en retirant son front de celui de son frère. En tant que frère, et en tant que bras droit.

L'argenté poussa un nouveau soupire. Cette nuit avait été longue. L'alpha tourna son regard ambré vers le ciel. Il put apercevoir le disque blanc de la lune, signifiant que la nuit était bien avancée. Fermant les yeux, un chant plus qu'un hurlement monta de sa gorge vers le ciel. Son aîné suivit, ainsi que tous les loups présents dans le camp.

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Quand je relis ça, je me dit qu'il faut vraiment que je revois ma trame... Mais bon, j'aime bien quand même. ^^ Et le mot apparrait cinq fois xD

Arya Stark fixait l’archère de son regard gris et intense, si totalement concentrée sur ce que lui disait la guerrière que Thalia avait l’impression que la petite louve buvait ses paroles. Ce regard gris, Ned Stark devait avoir le même.
Un regard de Nordien. Un regard de loup.

– Tu n’as pas l’air de quelqu’un de méchant, finit par murmurer la gamine.

Thalia haussa les épaules pour montrer le peu de cas qu’elle faisait de l’avis de la fillette, puis, tout en faisant tourner autour de son doigt la chevalière des Amantis, entreprit de lui ôter méthodiquement ses illusions :

– Quand j’étais un peu plus vieille que toi, j’ai égorgé un homme et j’ai adoré ça. Puis je suis devenue une hors-la-loi, une racaille, le genre qu’on pend sans y regarder à deux fois. Et une pute par-dessus le marché, que je suis devenue. J’ai baisé avec des dizaines d’hommes, pour le plaisir, pour l’argent, pour la survie. J’en ai tué, aussi, des hommes. Jeunes, vieux, riches ou crevant de faim, violeurs ou simples inconnus, je les ai tués quand même. Pour me défendre ou pour défendre mon frère, ou ma bourse, ou mon coin sous un pont pour dormir, je les ai tués quand même, sans l’ombre d’une hésitation. Je ne suis pas meilleure que Sandor. Je suis même probablement pire.

Arya fit une drôle de tête, et Thalia esquissa un demi-sourire moqueur.

— Ouais, gamine. Y a peu de différences entre lui et moi. Il est plus grand, plus fort, plus moche. Mais pas plus méchant.

A mon tour de participer ! Au lieu de faire Scalpel ( pourtant c'est pas faute d'avoir des idées....), j'ai décidé d'avancer un peu sur Yaoi World vu que je passe l'histoire à de plus en plus de gens. Alors en exclusivité je vous post un bout du nouveau chapitre ! Dans un challenge précédant je l'avais expliqué mais je vous fais un petit rappel: Raiu c'est fait enlevé par Orion, un androïde. Elle est attaché dans une salle et vient de se faire endormir.
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Orion fixa la prêtresse de Yaoi World qui avait sombré dans l'inconscience. Et vu les stupidités illogiques qui sortaient de sa bouche, ce n'était pas un mal... Franchement, il comprenait mieux pourquoi son maître voulait se débarrasser d'elle. En parlant du loup, celui-ci lui avait demandé si tout se passait sans encombre. D'un rapide mail, l'androïde lui avait confirmé le bon déroulement du plan. Le blond regarda à nouveau la prêtresse. Orion n'était qu'un androïde, pour lui tout comportement humain n'était pas rationnel. Pour certain plus que pour d'autre. Mais pour Raiu, il en était venus à une simple conclusion qui avait fait crisser ses processeurs, tant ça l'obligeait à porter un jugement plus subjectif que ses limites l'autorisaient.

Raiu était tout simplement tarée.

L'androïde secoua doucement la tête et retourna à son clavier. Il pianota sur les touches, faisant circuler les programmes devant son écran. Il releva ensuite la tête vers le grand écran qui se trouvait derrière la prêtresse. La machine s'alluma et une barre de chargement apparus. Elle mit une minute à se remplir avant qu'un message ne s'affiche

«Sujet téléchargé : Raiu. Nature du sujet : Imagination incarné. Statut : Prêtresse de Yaoi World.»

Orion fixa la fenêtre avant de taper de nouveaux contrôles, faisant défiler les codes à une vitesse inhumaine sous ses yeux. Il ne relevait la tête qu'occasionnellement pour lire les nouvelles fenêtres qui s'affichaient sur le grand écran avec un « ting ! » sonore.

Prit dans ses données, Orion ne vit pas l'infime lumière qui entourait l'anneau d'argent de Raiu...

Après une dizaine de minutes de pianotage intensif, une dernier fenêtre d'option apparut. L'androïde chassa une mèche de son visage fixant un message qu'il connaissait déjà pour l'avoir exécuté plusieurs fois pour son maître. Après tout, c'était son arme préférée.

« Vous voulez effacer Raiu : Attention, influence dans la réalité. Réinstallation impossible. Souhaitez vous confirmer votre commande ?

L'androïde fixa un instant le visage de la prêtresse, notant distraitement qu'elle était en train de baver pendant son sommeil. Cette fille était vraiment perturbante... Orion regarda une dernière fois le panneau de contrôle avant de cliquer.

« Confirmer ».
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Voilà !

Linneas

Armaryèn

Castello

Encàbro

Linneas

Aurélio

Castello

Leonora

Armaryèn

Andrea

– J’ai trouvé curieux que votre cousine soit habillée en guerrière au mariage, commença-t-il avec prudence. Une cérémonie de ce genre aurait été l’occasion idéale pour elle de se montrer en tant que fille cadette du Seigneur Encàbro.

Anissa haussa un sourcil dans une mimique d’étonnement :

– Serena n’est pas intéressée par les robes et autres fanfreluches. Elle est la cadette du prince Aurélio, elle est donc sa protectrice.

Valerian plissa le front et, pris au dépourvu, ne put que répéter :

– Sa protectrice ?

– C’est une coutume qui vient du Nord, où les familles sont peu nombreuses car la mortalité infantile est beaucoup plus élevée qu’ici. L’aîné est l’héritier du trône : son ou ses cadets ont pour unique mission de le protéger. Ainsi, l’héritier a plus de chances de survie.

Anissa s’exprimait comme une enfant qui a parfaitement appris sa leçon : son oncle lui avait sans doute dit qu’on risquait de s’interroger sur la tenue de Serena. Elle avait légèrement l’accent de Castello, qui glissait sur les dernières syllabes de ses mots et accentuait les voyelles. Sa voix était jolie, pensa bêtement Valerian.

– Mais c’est une coutume du Nord, s’étonna le prince Armaryèn. Pourquoi est-elle en usage chez vous ? Castello est une Contrée du Sud.

– Ce n’est pas parce qu’une coutume est étrangère qu’elle est nécessairement mauvaise.

– Mais elle est inutile.

– Vous croyez ? sourit Anissa. Mon oncle Andrea avait quatre frères et sœurs. Ils sont tous morts, sauf un : Castello regorge de dangers, et les Encàbro sont les premiers à s’y mesurer. Nous chevauchons à la tête de nos hommes, et nous considérons qu’un homme est indigne d’être un meneur s’il reste à l’arrière. C’est pour ça qu’il est nécessaire d’avoir un protecteur à ses côtés, quand on est le premier à faire face à la menace.

Valerian se sentit vexé. Très vexé, même. Les Armaryèn dirigeaient Linneas depuis leur palais : aucun membre de sa fratrie, pas même Arman l’héritier, ne s’était éloigné de plus de dix kilomètres du château : ou alors sous bonne garde, avec une escorte qui l’entourait. Cette gamine essayait-elle d’insulter sa famille ?
D’un ton soudain plus sec, il lança :

– De nombreux dangers ? Pas plus qu’ici. Et encore, vous n’avez pas de pirates, vous.

– Nous avons seulement les serpents venimeux en commun, fit Anissa sans s’émouvoir. Et puis, vous pouvez nous éloigner de la mer. Tandis que nous… Pièges dans les rochers, crue soudaine des rivières, éboulements, mirages, chevaux ou taureaux sauvages, blessures en plein désert, pumas, loups et coyotes : nous y faisons face tous les jours.

Valerian chercha quelque chose à répondre, ne trouva rien, et en fut d’autant plus offensé. Anissa n’était qu’une fille, bon sang. Une fille de douze ans à peine. Elle ne savait rien. Lui, il apprenait à se battre, il était sans doute le plus malin de sa fratrie. Elle, elle ne devait même pas avoir l’autorisation de sortir de chez elle sans escorte… Elle ne faisait que lui raconter ce qu’elle entendait dire de ses gardes, voilà tout.
Les filles ne pouvaient pas faire face au danger. Les filles ne devaient pas quitter leur famille. Point.

+ Cookies à vie ! + Messages : 277 Date d'inscription : 24/01/2012 Age : 30

ouha ! Ca vous inspire vachement ce mot !

Des dessssiiiiiiiins ! *o*
V c'est magnifique ! super bien ! j'adooore ! tous ces croquis, je suis archi fan ! Et le squelette au centre... whaou. J'y connais rien en anatomie (surtout loup), mais ton dessin est superbe !
Louve : il est trooop chouuuuuu ! Un oeil un peu étrange, mais j'adhère ! On a envie d'aller lui faire des caresse et de lui gratouiller entre les oreilles (=comment se faire croquer la main en une leçon)

d'ailleurs ça me fait penser qu'il y a 3 ans j'avais travaillé sur les loups en dessin et que j'avais présenté ça au bac art plastique (ça fait super longtemps en fait... O.O)
Du coup je vous les montre, bien que ça n'ait pas été fait pour ce thème

un Loup de différentes manières:

Vu que c'était en option art plastique, j'ai travaillé sur la même mage mais de différentes manières, crayons, craie blanche, mais aussi collage et peinture (du même style que la peinture avec les numéros quand on est petits, peu de couleurs différentes et le contour c'est le tracé noir qui est juste en dessous du collage, c'est sur un transparent qu'on peut poser sur la peinture ou sur le collage...), et un autre plus abstrait, avec plein de lignes.

zoom sur le loup que je préfère:

Et je continue mon petit récit :

Esther ferma les yeux et expira lentement.
L'eau chaude lui faisait du bien. Ses muscles étaient tendus et son esprits malmené.
La musique lointaine la délassait et elle se prit à contempler la mousse dans son bain. Elle joua avec les reflets des multitudes de bulles et se surprit à sourire. La jeune femme avait l'impression de retomber en enfance. Elle hésita à se refaire une crête sur la tête en se lavant les cheveux, mais décida de rester simple. Un bain moussant et aromatisé, suivit d'une serviette chaude.
Lorsqu'elle eut finit, que le miroir de sa salle de bain était devenu incapable de lui renvoyer son reflet, elle décida de sortir de son hammam. Elle s'était assez chouchoutée pour la journée. Si elle restait plus longtemps au contact de l'eau elle finirait plus fripée qu'une vieille pomme.

Le contact de l'air frais de l'appartement la fit frissonner. Serrant les dents Esther continua son chemin jusqu'à la cuisine. Plus précisément jusqu'au pot de Nutella.
Cette journée avait été terrible -elle refusait d'ailleurs d'y penser- elle méritait donc un peu de réconfort. Armée d'une cuillère elle sorti de la cuisine pour rejoindre sa couette. Un lieu chaud et à l’abri de tout.
En passant devant le salon, Esther entendit l'ordinateur vrombir. Elle soupira en réalisant qu'elle avait oublié de l'éteindre et que maintenant il surchauffait. C'était pas bon pour lui ce genre d'étourderies.
Il faisait d'ailleurs beaucoup de bruit pour un ordinateur.
C'était donc remplie de curiosité qu'Esther ouvrit la porte de son salon. Ce qu'elle vit la pétrifia.
Ce n'était pas son ordinateur, ni même la télé et encore moins la machine à laver.

C'était un loup.

Dans son salon.

Intéressé Messages : 59 Date d'inscription : 03/03/2013

Vos dessins et vos textes sont vraiment sympas et agréable à regarder ou à lire.^^

Voici un extrait du passé du Scorpius de ma fanfic Harry Potter.
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Un petit Scorpius de cinq ans arriva dans le salon alors que sa mère était en train de broder dans un fauteuil. Quand elle le vit, la jeune fille lui offrit un tendre sourire. L'enfant se rapprocha et mit timidement sa main sur le ventre arrondi d'Astoria.
"Maman, mon petit frère va bientôt sortir? Demanda candidement Scorpius.
-Pas tout de suite. Il va rester dans le ventre de maman pendant un peu longtemps et ne sortira qu'après Noël. Lui répondit sa mère.
Son fils garda le silence pendant quelques minutes, le regard fixé sur son ventre. Alors que sa mère lui caressait les cheveux, il leva les yeux vers elle.
-Comment papa et toi, vous vous êtes rencontrés?
A l'entente de la question, le sourire d'Astoria s'agrandit. Elle posa son ouvrage et prit son fils sur ses genoux.

FLASH BACK
Il s'agissait du premier bal masqué des familles de sangs-purs depuis la guerre et l'ambiance était encore assez tendue. Les parents d'Astoria étaient fiers de leur position car ne s'étant impliqués que de très loin dans les actions de Voldemort pour éviter toute représailles, ils n'avaient pas été inquiétés par le ministère. Leurs deux filles étaient donc devenues les deux filles à marier par excellence. Cette situation ne plaisait guère aux deux concernées qui avaient toujours apprécié le calme et l'intimité dans lesquels elles avaient grandis.
La réception était déjà bien avancée et Astoria avait réussi à esquiver des prétendants potentiels qui ne cessaient de la poursuivre.
Sur le balcon, l'air était frais et très agréable. Pour en profiter au maximum, elle avait enlevé son loup d'argent et de dentelle verte. Fermant les yeux pour profiter pleinement du calme, son cœur fit un bond dans son poitrine quand elle entendit une voix.
"Votre masque nous permettait d'admirer vos yeux couleur saphir mais votre visage ferait pâlir de jalousie une vélane. Déclara un jeune homme blond masqué qui était appuyé contre le balcon à quelques mètres d'elle. Elle ne l'avait même pas vu en arrivant. La blondeur de ses cheveux et ses yeux gris soulignés par la couleur ébène de son masque ne laissaient aucun doute quant à son identité.

Kitty

Rivka

Alyssa Mocking

Nero

Alva n’avait jamais compris comment Astrid pouvait aimer bosser avec des loups-garous, discuter avec eux vingt-sept jours par mois et même coucher avec l’un d’eux à l’occasion, et se battre presque à mort avec eux les trois jours restant s’ils sortaient des frontières de leur territoire. C’était vivre à la fois totalement à fond, et de manière totalement folle et irrationnelle.

Mais Astrid avait une case en moins de toute façon.

Dès le départ de Kitty et Rivka, Lévine se pencha vers Draco et Alva pour poursuivre la conversation un ton plus bas. Les Malefoy l’avaient mis au courant de leur projet de résistance contre les Réfractaires et, bien qu’étant réticent à intervenir même indirectement chez un autre pays, Lévine leur avait donné son soutien. Il ne pouvait rien leur refuser. Alva était comme une petite sœur pour lui, Cathy était l’une des rares personnes à pourvoir lui opposer un vrai challenge en Métamorphose, Draco était un véritable ami, et Nathan… Nathan était Nathan. Génial, puissant, insolite, presque effrayant, et terriblement intelligent.

– Vous comptez impliquer Astrid dans votre association ?

Alva ouvrit la bouche pour acquiescer –si elle devait faire un truc dangereux, elle en informait toujours Astrid– mais Draco lâcha d’un ton tranchant :

– Certainement pas. Ni elle, ni Alyssa, ni Nero d’ailleurs. Si on leur posait sur le Choixpeau sur la tête, il crierait Gryffondor tellement fort que tes tympans fondraient. Ce sont des têtes brûlées.

– Alyssa n’est pas vraiment une Gryffondor, maugréa Alva.

– Elle a quand même sacrément les fils qui se touchent, fit remarquer Nathan.

Ce à quoi Alva répliqua très dignement en lui tirant la langue.

Voilà le début de l'histoire d'Octavia, la situation quand elle est née jusqu'a ses 4 ans (en partie)

Dans Bordeciel vivait une femme. Elle s'appelait Octavia, elle avait une trentaine d'année au moment où je l'ai connu. Mais son histoire commence bien avant...

Elle a commencé sa vie dans le bonheur, la grossesse difficile de sa mère s'est finalement bien fini, la mère et la petite ont survécu. Octavia était une impériale comme son père, sa sœur de trois ans son aînée avait, par contre, hérité de la race Nordique de sa mère. Elle ressemblait beaucoup à son père mais avait les traits féminins de sa mère. Sa grande sœur, elle, était le portrait craché de sa mère, sauf son petit nez qu'elle tenait de son père. Cette petite famille heureuse vivait à Rivebois, un petit village de la Chatellerie de Blancherive. Un village paisible... Peut-être trop paisible... Le village n'était pas fortifié suffisamment, juste deux bout de muraille au Nord et Sud sans porte refermable, la montagne à l'Est et à l'Ouest une rivière peu profonde et facilement traversable. La sécurité était presque inexistante, il y avait un garde qui passait de temps en temps, qui passait littéralement parlant... Il y avait aussi le forgeron pour défendre le village, mais lui seul ne suffit pas pour défendre un village entier, il peut vaincre les quelques loups en quête de nourriture mais seulement eux. Rivebois était à la merci des groupes de voleurs et bandits.

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