Mot du 30 Juin au 31 Juillet : Tatouage

Bah alors ? Aucun post ? Ce n'est pas un mot très difficile ^^ Allez, puisque c'est comme ça, je me lance ! Un extrait du chapitre 14 de "Quelques faits sans importance sur les Malefoy". Ce chapitre est centré sur les rapports entre les divers Malefoy, et Lord Voldemort.

Bref ! Voilà donc un très court extrait...

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Quad il étai plus jeune et qu'on évoquait le Seigneur des Ténèbres, Lucius frissonnait, autant de peur que de révérence, et il décida de ne pas se mêler aux affaires de ce Lord Voldemort qui semblait bien au-dessus des simples mortels.

Mais il y eut la fuite d’Andromeda, le destin qui bascule, la menace de perdre Narcissa. Lucius décida que vendre son âme au diable était bien peu de chose, s’il pouvait épouser la femme qu’il aimait, la femme qui l’aimait en retour. Alors Lucius trouva Voldemort, lui parla, obtint un accord. Le Seigneur des Ténèbres était écrasant de prestance et de pouvoir, mais plein de politesse et de promesses pour l’héritier des Malefoy (Voldemort y voyait sa revanche sur la pusillanimité d’Abraxas). Lucius fut subjugué, comme une souris hypnotisée par un serpent. Deux mois plus tard, Lucius portait la Marque et toute sa génération le suivait. Les dés étaient jetés.

Bellatrix prit la Marque elle aussi, et Lucius ne cacha jamais son propre tatouage à Narcissa. Mais quand elle voulait l’accompagner, l’aider, le protéger, il refusait. Il ne fallait pas qu’elle soit impliquée, disait-il. Il ne fallait pas qu’elle se salisse les mains. Qu’elle soit vue. Qu’elle soit soupçonnée. Elle devait être au-dessus de toute salissure. Lucius avait passé un accord, il combattait pour la gloire de sa lignée et pour l’honneur de sa parole : mais il y avait un revers à la médaille. La peur, l’effroi, la nausée devant les cadavres. Les Aurors qui, parfois, passaient très près de les capturer.

– Tu ne dois jamais participer aux raids, dit un jour Lucius à Narcissa. Ni prendre la Marque. Si tu te fais prendre… Si tu te fais prendre et que tu as la Marque…

Le visage de son épouse se tordit d’angoisse.

– Et toi ?

Lucius la prit dans ses bras, enfouissant son nez dans les cheveux blonds qui sentaient la pêche et la sécurité.

– On avisera, lui chuchota-t-il en fermant les yeux. Je l’aurais bien mérité.

Et Lucius devint l’esclave d’un dieu. Un dieu vengeur et dément qu’il ne parvint jamais à voir comme un homme : c’était un dieu, le mélange du Messie venu leur offrir un chemin meilleur et du diable venu les damner pour l’éternité. On le vénérait autant qu’on le craignait. Même dans son absence, après le miracle du petit Potter, Lord Voldemort était là, tapi dans l’encre qui souillait le bras de Lucius. Comme une ombre, un parasite.

Tu ne peux pas m’échapper, semblait ricaner le crâne tatoué sur sa peau.

Lucius n'entretenait plus d'illusions.


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Voilààààà. J'aime écrire sur Lucius ^^

Voilà ma participation (un peu dépressive je l'avoue mais je trouvais que ça collait bien). Bonne lecture


Durant toute son enfance il avait été seul. Il n’était sorti que pour aller à l’école et avait évité toutes les sorties scolaires. Tout ce qu’il avait eu pour lui tenir compagnie pendant les récréations c’était un livre. Sa bibliothèque était pleine à craquer. Ses parents ne savaient pas comment l’aider mais ils lui avaient de l’amour.
Arriva le moment où il craqua. C’était au collège. Il ne voulait pas quitter ce monde, il n’avait que trop envie de le découvrir. La solitude lui pesait. Il décida de créer son propre monde en attendant de devenir libre. Il s’enfermait dans sa chambre en hiver, partait s’asseoir dans un coin secret et ombragé d’un parc en été. Il avait un calepin sur les genoux et un crayon dans la main.
Au début il ne faisait que de ratés mais il se perfectionna à force d’entraînement. Son trait devint précis et énergique.
Une fois qu’il eut tout maitrisé, il commença à imaginer. Son univers s’étendit.
C’était à ce moment là que tout bascula. Il attendait impatiemment la fin des années lycée pour s’ouvrir au monde qui l’avait rejeté. Seulement, il ne s’attendait pas à ce que le monde s’ouvre à lui avant. Des gens l’avaient repéré alors qu’il dessinait dans son coin. Son trait faisait l’unanimité.
Il était méfiant. Il pensait qu’il se ferait bientôt rejeter, comme il l’avait été depuis sa naissance. Il était prié de les suivre pour s’amuser. Par politesse, il les suivait, se disant que rien ne se passerait. Il avait tord. Ses yeux commencèrent à pétiller. Il en avait marre de rester assis là à les regarder. Il se leva, s’avança et commença à goûter à la vie.
Bien plus tard, il alla se faire tatouer des oiseaux s’envolant de leur cage. Ils avaient été libérés comme lui l’avait été par ces gens à la fin du lycée. Quand il regardait le tatouage sur son poignet, il ne pouvait s’empêcher de penser à ceux qui l’avaient aidé. Il les en remerciait.


C'est un peu court non? Mais je crois bien que ça fait un peu plus de 300 mots XD (après recomptage, oui ça en fait plus de 300)

Ca va Loalys, c'est pas si déprimant que ça vu que ça finit bien ^^. Alors pour ma participation, cela vient d'une liste de prompt sur tumblr pour "première rencontre bizarre" et du coup, j'ai bien évidemment pensé à Astrid et Alyssa xD. Alors le prompt c'était " Tu étais chassé par des flics et tu es rentrée dans ma voiture en hurlant "ROULE"".
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Astrid était en train de patienter à un feux rouge, baillant à s'en décrocher la mâchoire toutes les trente secondes. La blond venait juste de quitter son travail à la supérette et elle n'avait qu'une envie : aller se coucher.

Seulement, ce putain de feu rouge ne semblait pas vouloir passer au vert.

Les rues étaient plus ou moins déserte mais à presque vingt trois heures, c'était plus que normal. Astrid était en train de songer à l'approche de sa semaine de partielle quand elle entendu des cris. La blonde tourna la tête vers la fenêtre passager pour voir ce qui se passer.

Mais elle n'eut pas le temps de cligner des yeux qu'une jeune femme ouvrait sa portière en trombe et sautait dans sa voiture.

_ ROULE ! Hurla-t-elle alors qu'elle refermait la porte.

Astrid remarqua que le feu venait de passer au vert et sans réfléchir, elle appuya sur l’accélérateur. La voiture partie à toute vitesse et quand Astrid jeta un coup d'oeil dans son rétro, elle pus voir deux hommes apparaître sur le trottoirs, semblant chercher quelqu'un. Heureusement, ils ne semblaient pas désigner la voiture d'Astrid et celle-ci était plus contente de savoir qu'elle n'aurait probablement pas de problème de ce côté là.

_Oh putain j'ai eu chaud... Soupira l'inconnue en se laissant aller contre le siège.

Ce n'est qu'à ce moment là qu'Astrid prit pleinement conscience de ce qu'elle venait de faire. Elle s'était enfuis avec une parfaite inconnue qui pourrait très bien être une psychopathe. Elle jeta un regard à la dérobé vers la petite brune aux cheveux courts et au tatouage en forme de rose-des-vents à l'intérieur de son poignet droit. Elle avait un sac à dos noir posé sur ses genoux qu'elle tenait contre elle.

_C'était qui les types ? Demanda finalement la blond en reportant son attention sur la route.

_Oh, c'était des flics.

_Des flics ? !

_Ouais en civil, ils ont capté que le gang pillait dans ses coins là. Répondit la brune d'un ton désinvolte.

Astrid écarquilla les yeux alors que l'autre grommeler « Et forcément, c'est moi qu'ils ont vu... ». La blond n'en revenait pas.

L'inconnue n'avait pas dû tout la carrure de ce qu'on imaginait quand on parlait de gang. La blonde était en train de se demander dans quoi elle s'était embarquée quand la brune se tourna vers elle en lui tendant la main.

_Au faite, merci de m'avoir emmener. Dit-elle avec un sourire. Je m'appelle Alyssa.

Astrid hésita, faisant semblant d'être attentif à la route. Avait-elle vraiment envie de sympathiser avec une personne faisant partie d'un gang ? Astrid regarda la brunette et son air de gentille dingue qui ne semblait pas du tout dangereuse.

Finalement, Astrid eut un sourire et serra la main d'Alyssa.

_Moi c'est Astrid.
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Voilà ! Oui Alyssa fait partie d'un gang, j'ai pas trop d'idée là dessus. En faite, je la voie bien faire partie d'un gang de fille, volant et dealant pour se faire de l'argent.

Alors voilà, le contexte se situe dans le second tome de Merry vs Wor(l)d et fait parti des choses qui n’arriveront jamais dans ma fanfic. C’est une sorte d’UA.
En gros, Merry Parks est une fanficteuse qui a écrit deux fanfics. Elle s’est retrouvée dans l’une d’entre elle, n’a pas réussi à sauver ce monde et tout le monde de ce monde pense qu’elle est Dieu à cause du fait qu’elle a écrit leur fanfiction. Ils pensent aussi que c’est une traitresse et veulent la buter. Entre-temps, Merry a écrit que certains d’entre eux ressussitaient d’entre les morts et s’est retrouvé dans la seconde fanfic.
Voici une partie de la rencontre hypothétique entre Merry et le maréchal Cross, Allen et Lenalee de la première fanfic, en face des gens de la deuxième.
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Deux maréchal Cross, deux Allen et deux Lenalee se tenaient devant moi. Je devais être mal-voyante. Ou alors commotionnée. Voir les deux.
« Merry, M’apostropha Komui. Voici le maréchal Cross. Le reconnaît-tu? »
Je devais rêver. Ou alors, j’étais morte et j’avais été envoyée en enfer.
« Komui, mais qu’est-ce que vous avez foutu encore? Tonnais-je. »
L’ensemble des exorcistes, les Corbeaux, Luberier et Komui me regardèrent d’un air interrogateur.
« Un maréchal Cross ne vous suffit pas, il faut que vous en créiez un deuxième? M’exclamais-je. Lenalee et Allen, je peux comprendre - et encore, pourquoi Pousse de Soja? Mais Cross, quoi! »
Je levais bras et yeux au ciel, avant d’annoncer comme si j’étais une prophète:
« C’est une avalanche d’ennuis supplémentaire. C’est la marque du fléau, une sorte de tatouage rouge indélébile! Nan mais qu’est-ce qui vous ai passé par la tête le jour où vous l’avez crée! »
Silence.
« J’avais oublié à quel point Peggy était stupide. Dit le clone de Cross avec un large sourire qui ne présageait rien de bon. On dirait que tu as hérité de ses gènes, Merry. »
Silence de mort.
Peggy.
« MARÉCHAL CROSS! Hurlais-je, ahurie. Vous êtes vivant, j’ai donc réussi à vous extirper des griffes de la mort...
- En effet, répondit le maréchal sans se départir de son sourire, pendant que tout le monde se crispaient. Vous nous avez ressucitt maintenant, nous allons vous tuer pour votre trahison, Dieu. »

Merci Vanille de m'éviter le double post ! Donc voilà un extrait de la fin de ma fic Team Crazy que j'ai déja expliquer dans un autre challenge. Pour vous expliquer, c'est la version " fin triste" que je poste ici car j'ai décidé de faire un happy end pour la version sur ff.net. Donc pour un minimum de contexte, Nick est mort et il croit arriver au Paradis comme cela lui a été promis.
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Lorsque Nick ouvrit les yeux, il eut l'étrange impression de se trouver dans son salon. Le papier peint était le même, le porte-manteau aussi et l'escalier de l'étage était disposé à la même place. Le blond regarda autours de lui, faisant quelques pas dans le couloir.

Pas de doute, cela ressemblait bien à son ancienne maison.

Le blond se demanda comment il avait bien pus atterrir là. Deux minutes avant, il se trouvait avec Castiel et Lucifer dans l'hôpital psychiatrique. L'ange avait ensuite brûlé son alliance et un battement de paupière plus tard, il se retrouvait ici.

N'était-il pas censé allé au Paradis ? Où est-ce qu'il y était déjà ? Si c'était le cas, l'image des nuages cotonneux et des grands portails dorés prenaient un sacré coup.

_Nick ?

L'interpellé se figea instantanément, la tourné vers l'entrée du salon. Sous ses yeux se trouvait Sarah qui se tenait assise dans le canapé, leur bébé allongé dans un cosie qui se trouvait sur la table basse en face de sa femme. Pendant un instant, le cerveau de Nick songea « Oh non ! Pas encore l'un de ses maudites ruses ! ». Puis, Sarah se leva d'un bond du canapé avant de se précipiter vers lui pour lui sauter dans les bras. Le blond pouvait sentir les larmes de Sarah lui tombait dans le cou.

_Nick ! Songlota-t-elle. Oh mon dieu, Nick !

Elle leva la tête vers lui et malgré ses pleures, elle affichait un sourire qui menaçait de faire trois fois le tour de son visage.

_Si tu savais comme tu m'as manqué ! Je t'ai attendu tellement longtemps.

Au même instant, Liam se mit a babiller depuis son cosie, faisant rire Sarah.

_ Tu nous as manqué. Corrigea-t-elle.

Ce fut comme un déclencheur pour Nick qui se dit que « finalement, il était avec eux ! ». Il rendit son étreinte à sa femme, lui en broyant presque les côtes. Mais Sarah se remit simplement et elle se mit sur la pointe des pieds pour pouvoir l'embrasser. Nick la laissa faire avant de la regarder, ses yeux s'embuant de larmes.

C'était bien elle ! Elle avait son sourire adorable et ses yeux chocolats ! Elle est son tatouage en forme de signe de l'infini sur la cheville gauche !

_C'est toi. Dit-il d'une voix tremblante. C'est vraiment toi.

Même si elle ne comprenait pas, Sarah hocha la tête avant de dire :

_Bienvenu à la maison.

Cette fois-ci, c'est Nick qui l'embrasser comme si c'était la plus merveilleuse chose de toute sa vie.

Il était bien au Paradis finalement.
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Lucifer eut un sourire triste en voyant le visage détendu et les larmes de bonheur qui coulaient sur les joues de son ancien corps. Le Diable avait plié son apparence en une forme humaine, celle de Sam, devenant soudain infiniment petit dans l'immense Cage qui lui servait de prison en Enfer. Micheal et Adam se tenaient à l'opposer, le regardant faire mais sans oser approcher. Lucifer le leur avait formellement
interdit. Si jamais sa Grâce était perturbé, il ne pourrait pas maintenir l'illusion qui protégeait l'âme de Nick des horreurs de l'Enfer.

Il ne savait pas par quel coup du destin le blond s'était retrouvé ici alors que le Paradis lui était ouvert. Avait-il finalement trop teinté l'âme de Nick pour que leur deux sorts soient indissociable ? Arriverait-il la même chose à Sam ?

Lucifer bouillait rien qu'à cette idée mais il se forçait au calme. La moindre petite chose pouvait tout gâcher.

Lucifer passa une main dans les cheveux de Nick qui avait la tête posé sur ses genoux. Il replia ses ailes pour former un cocon protecteur autours de cette pauvre petite âme humaine avec un air d'impuissance résigné.

L'illusion du Paradis, c'était tout ce qu'il pouvait lui offrir désormais.