Mot du 15 Août au 31 Août : Machination[Terminé]

Machination

J'ouvre le bal avec une histoire d'Astrid et Alyssa dans le Tolkien world ^^ Oui moi U_U Et alors ? De toute façon l'histoire (enfin le brouillon) a été montré à Yamane qui a approuvé ^^

- Allez sort !

- JAMAIS !!!!!!! JE SUIS UNE VICTIME D'UNE MACHINATION ANTI-NAIN DES ARAIGNÉES !!!

- C'est sûr...

Alyssa la hobbite et Astrid la naine étaient finalement sorties de cette foutue grotte infesté d'araignées. Le voyage jusqu'en Erebor était vraiment plus compliqué que prévu, et Astrid était finalement plus heureuse dans les prisons de Mirkwood... Dans cette caverne elle ont eu de léger problème, surtout une des deux... À savoir Astrid lorsqu'elle est tombée dans une toile. Elle a pu en réchapper sans problème, mais, il a fallu faire un sacrifice.

- Écoute Astrid, arrête de faire l'enfant et sort. C'est pas grave ce qui t'es arrivée.

- Pas. Grave ?... Dit la naine blonde en s'énervant. MAIS PAR LA HACHE DES MES ANCÊTRES J'AI PERDU MA BARBE !!!!!!!

- C'est des poils, ça repoussera...

- Et bien je resterai jusqu'à ce que ça repousse !

- … Aller sort... Je m'ennuie...

- Non...

- S'il te plait !

- Non...

- Aller, c'est pas si grave !

- C'est une honte... En plus je ressemble à une hobbite...

- Toujours agréable... Mais si ça peut te rassurer tu serais une hobbite moche.

- Ta gueule....

Amateur Messages : 25 Date d'inscription : 15/08/2014

Je continue avec une histoire sur Harry Potter (Je sais pas là, j'avais vraiment envie!) avec Hermione, Ron, Harry, Drago, Crabbe, Goyle et Severus...
Bonne lecture ! :cheers:

Quelques semaines se sont écoulées depuis le mystère du Journal de Tom Jedusor. La vie à Poudlard avait reprit son rythme normal. Les élèves des quatre Maisons avait cours de botanique avec Mme Pomona Chourave. Ils allaient à nouveau récupérer des philtres de Mandragores au cas où ils en auraient besoin par la suite. Drago en avait marre d'entendre pleurnicher ou plutôt gueuler ces plantes, alors il sorti dans le couloir. Il jetta son cache-oreilles au sol et s'assit au pied du mur. Une étrange sensation le parcouru, une sensation indescriptible. Puis, plus rien, le néant. Hermione, qui avait remarqué son absence, sorti en cachett le rejoindre. Elle trouva Drago debout, les yeux dans le vide, les pupilles tellement dilatées qu'on ne voyait plus le blanc de ses yeux et silencieux.

-Drago ? Qu'est ce que tu fais le cours est bientôt fini ? Arrête de rester comme ça tu me fais peur !

Aucune réponse. La jeune fille se rapprocha de lui et claqua des doigts devant ses yeux afin de le réveiller. Drago marmonna d'une voix rauque quelque chose incompréhensible tel une personne possédée, puis il l'a jeta contre un mur d'une telle force qu'elle avait du mal à se relever. Il prit la fuite.

-Hermione ? Hermione tu m'entend ? Questionna Ron
-Oui, oui je vais bien…
-Tu vas bien ? Tu en est sûr ? Une Hermione qui quitte les cours je connais pas et en plus tu es restée inconsciente quatre heures ! Rétorqua Harry

Hermione regarda autour d'elle. L'infirmerie semblait froide et sinistre, les rideaux était à peine ouverts et elle était la seule « malade ».

-Je dois voir Drago ! Annonça t'elle
-Tu en as déjà marre de nous ? Répondit Ron en souriant
-Mais non gros béta, je crois que Drago est possédé…
-Par qui ? S'inquiéta Harry
-Je crois que c'est V...V… Harry je veux pas t'inquiéter…
-Je vais m'inquiéter si tu ne me dis pas tout de suite ce qu'il se passe !
-J'ai lu dans un livre sur Voldemort, qu'il est en mesure de prendre possession des personnes s'il erre à côté de celle-ci…
-Mais Drago l'aurait vu ! Répondit Ron
-Pas si c'est seulement son esprit ! Voldemort n'a pas de corps respectif...

Harry prit sa veste et marcha d'un pas rapide et assuré vers la porte. Hermione s'aida du bras de Ron et se leva de son lit. Le trio allait vers la salle commune des Serpentards.

-Sang-Pur ! Cria Harry

La porte s'ouvrit laissant apparaître Drago, Crabbe et Goyle. Les yeux noirs de Drago se posèrent sur Harry. Drago, inconscient de ses actes, était en train d'étouffer ses deux amis.

-Finite Incantatem ! Cria Hermione

-Expelliarmus ! Cria Harry à son tour

Ron, Harry, Crabbe et Goyle coururent vers Drago désarmé afin de l’empêcher de bouger. Il l’amenèrent à Severus Rogue, qui comprit le problème instantanément. Ils l'attachère à des chaînes magiques qui se resserrent lorsque l'on tente de se libérer.

-J'ai vu la possession de Drago se faire du fond du couloir car Mme McGonagall et moi même avions un mauvais pressentiment… Mais en utilisant une formule permettant de révéler les présences humaines non désirées nous ne vîmes rien, nous avions donc compris qu'un fantôme, esprit ou autre choses surnaturelles était présente dans l'enceinte de l'école… Affirma Severus

Hermione arriva de la bibliothèque avec un gros livre bien poussiéreux.

-C'est ce livre dont je vous ai parlé… Expliqua t'elle
-Existe-il un enchantement pour déjouer la machination ? Demanda Harry

Severus prit le livre et lu.

-Oui, j'ai ce qu'il faut mais vous, ramenez Goyle et Crabbe dans leur salle. Annonça le professeur

Il ne se firent pas prier, Goyle et Crabbe encore sous le choc, avancèrent vite jusqu'au couloir. Harry annonça le mot de passe qu'il connaissait depuis son aventure avec Ron (sous l'apparence des deux affreux). Les deux amis filèrent dans leur chambre.

-Vous pensez qu'on peux lui faire confiance ? Après tout, c'est un type louche ! Demanda Ron
-Oui… répondit Harry d'un air soucieux…
-Vous n'avez pas remarqué quelque chose de bizarre en quittant la pièce ? Demanda Ron inquiet
-De quel genre ? Répondit Hermione
-Je sais que Severus à les yeux noirs, mais là, ils l'étaient totalement, je veux dire même le blanc...

Alors, à mon tour ! J'ai réutiliser un personnage que j'avais créé pour une fanfiction sur X-men, mais que j'ai abandonné parce que j'avais aps de trame en tête. Bon, j'en ai toujours pas, mais j'ai écrit ce petit truc juste pour le challenge, et j'aime bien se personnage agressif qu'est Sanna Varg x)

Alors, pour vous donner une petite idée, Sanna est une mutante qui est nyctalope, comprend les animaux et peut se transformer en animal. Vous découvrirez dans se petit truc sa transformation préféré Wink

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Sanna était perdue. Elle était enfermée dans cette pièce depuis des heures, et elle ne savait pas pourquoi. Et ce n’était pas les murs blancs de ce 6m² qui allaient lui donner des réponses.

La blonde tournait en rond comme un lion en cage. Elle détestait être enfermée. En plus, les types qui l’avaient enlevée pour des raisons encore inconnus lui avait pris le sweet à capuche gris qu’elle aimait tant. Quel était l’intérêt d’une telle machination ?

Un drôle de bruit résonna soudain dans la petite pièce, mettant la suédoise sur ses gardes. Elle se retourna prudemment vers l’origine du bruit et vit se découper une sorte de porte qui n’était pas ici avant. Sanna glissa donc rapidement vers le fond de la pièce pour être le plus loin possible de ses agresseurs et pouvoir se défendre en cas de besoin.

Alors que la porte s’ouvrait en douceur, la jeune femme pu voir un vieille homme aux airs faible et misérable. Quoi, c’était tout ? La nordique s’était attendue à pire.

« Vous êtes qui ? dit-elle, agressive.

- Certainement pas ton ennemi, répondit le vieux. Je ne te veux pas de mal.

- Moi je vais vous en vouloir si vous me garder encore enfermée ici, cracha Sanna. »

La blonde avait toujours été rancunière, surtout lorsque ça atteignait sa liberté. Elle ne supportait d’être enfermée et, encore pire, de n’avoir rien à faire ou à se mettre sous la dent.

« Tu es quelqu’un d’impressionnant, souffla-t-il en avançant de quelque pas. Mes hommes ont eu du mal à te maîtriser.

- Je crois me souvenir avoir cassé le nez d’un de vos gars, sourit-elle. Mais vos gars ont faire fort en réussissant à me prendre par surprise.

- Tu es quelqu’un de fière à ce que je vois. J’aime quand les gens ont de la fierté a revendre.

- Je me fiche éperdument de ce que vous aimez chez les gens. »

Sanna n’attendit pas une seconde de plus pour tenter de sortir d’ici. Pliant les genoux, elle fit un bond immense vers l’homme tout en sentant son corps changer de forme. C’est en devenant un puma qu’elle retomba en direction le vieillard, toutes griffes dehors.

Cependant, et étrangement, la jeune femme ne parvint pas à atteindre son but. Un autre homme, caché jusque-là, avait réussi à la stopper dans sa chute et à la faire atterrir à quelques centimètres du vieux.

« Morgan est un jeune homme impressionnant n’est-ce pas ? Tu n’as surement pas senti qu’il t’avait obligé à te poser ici, et non sur moi. Son contrôle par l’audition est très utile en cas de danger. »

Le puma grogna avant de reprendre forme humaine. Malheureusement, ses vêtements étaient tombés lors de sa transformation, et elle était désormais toute nue. Mais elle était habituer a finir nue en pleine nature.

« Je ne sais toujours pas qui vous êtes, releva-t-elle.

- Mon nom est Erik jeune fille. Mais on me nomme plus souvent Magneto. »

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Bon, peut-être que j'en ferai une fic. Mais j'adorerai lui faire rencontrer Logan, je suis sur qu'il s'adorerai, aussi sauvage l'un que l'autre x)

Une petite suite de mon post sur "Cuir" avec Supernatural. En faite, j'ai appris comment les démons ( apparement certains démons) forme un contrat avec les humains. Et je me suis dit, oh my god, ça va être tellement drôle xD Donc voilà: pour le contexte, Astrid n'a pas invoqué Alyssa. Elles se sont tombées dessus en cherchant le même mec ^^.

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_Donc... Tu veux former un pacte avec moi ? Demanda la démonne en haussant un sourcil.

Astrid la fixa dans les yeux avant de hocher la tête d'un air décidé. Andreï était un bon chasseur: rusé, imaginatif et avec la capacité de disparaitre comme un fantôme quand les circonstances l'imposé. La blonde l'avait admiré pendant un temps... Mais ça, c'était avant. Maintenant, elle ferait tout pour tuer cette ordure même si cela impliquait franchir un un pas qui était tabous pour les chasseurs.

_Je veux que tu m'aides à retrouver Andreï ou Mikhail, comme il c'est appelé la dernière fois que tu l'as rencontré.

_Et en échange de quoi ? Ton âme ? Je ne pense pas que tu sacrifierais autant.

_Oui mais avant que tu dise non, réfléchis bien. Rétorqua Astrid. Andreï porte une multitude d'amulette de protection et il est très fort. Sans aide, toi non plus tu ne pourra pas le tuer.

_Mmmh... Pas faux. Répondit Alyssa en haussant les épaules. Et puis, j'ai bien une idée de ce que je pourrais demander à la place de ton âme.

_Qu'est-ce que c'est ?

_Un service. Fit la démone d'un ton calme. Quand le temps viendra et vu le bazars qui se trame en Enfer, j'aurais besoin d'allier et un chasseur peut toujours être utile.

La proposition surprit la chasseresse qui fixa Alyssa dans les yeux, essayant de deviner quels machinations pouvaient bien avoir lieu en bas pour qu'une démone lui propose ça. Mais après tout, il est vrai que tout devenez de plus en plus étrange ces derniers temps. La blonde faillit en demander plus mais elle se doutait qu'Alyssa ne lui dirait rien. Cette dernière avait beau l'air de ne pas être très conventionnelle, elle restait quand même une démone.

_Mouais... Fit Astrid avec un froncement de sourcil. C'est d'accord, après tout, c'est pas vraiment cher payé comme échange.

_Yep. Répondit Alyssa d'un hochement de tête. Bon maintenant, j'ai plus qu'à sceller le contrat.

La brune s'approcha de la russe dans un sautillement, faisant voler son écharpe autours d'elle. Alyssa se planta juste devant Astrid, posa ses mains sur ses épaules et se mit sur la pointe des pieds pour être à bonne hauteur. Quand Astrid vit les lèvres d'Alyssa se rapprochait des siennes, elle se dégagea et fit un pas en arrière.

_Mais qu'est-ce que tu fais ? ! S'écria la russe.

Pas plus déphasée que ça, Alyssa pencha la tête sur le côté en regardant la blonde.

_Quoi ? C'est comme ça qu'on conclus nos pacte, tu le savais pas ? Un simple baiser sur les lèvres et -hop !- c'est réglé.

Astrid secoua la tête et recula encore;

_Hors de question que tu foutes ta langue dans ma bouche !

_J'me suis brossée les dents si c'est ça le problème.

_Nan !

_T'es homophobe ? Fit Alyssa dans un froncement de sourcil. Si c'est le cas, désolé mais notre affaire est rompue !

_Je suis pas homophobe ! Cria à nouveau Astrid qui se demanda vaguement pourquoi une démone était anti-homophobe.

_Ben alors laisse moi te rouler une pelle et fais pas chier ! Cria à son tour Alyssa en croisant les bras sur sa poitrine.

_Tu as dit un baiser, pas une pelle !

_Oh pour l'amour de Satan ! Fit la démone en roulant des yeux.

Ne laissant pas le temps à Astrid d'agir, Alyssa sauta sur la blonde et s'accrocha à elle comme un koala. Elle plaqua ses mains sur les joues d'Astrid pour lui tenir la tête en place et lui roula le patin du siècle. La blonde essaya de se débattre mais c'était trop tard, la démone venant déja de lui compter toutes les dents avec sa langue. Pas désagréable mais... Surprenant. Alyssa relâcha ensuite Astrid et s'éloigne prestement avant de se prendre le couteau de chasse de la blonde dans le ventre.

_Pacte conclu~ Chantonna la brune, ses pupilles virant au noir.

Astrid la regarda, maussade avant de marmonner:

_Je sens que je regrette déja cette idée à la con...
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Il ne manquait plus qu’à découvrir quand la FullMood arriverait chez leur cible, et espérer que Theo soit proche de la pleine lune à ce moment-là, afin d’avoir un odorat suffisamment développé pour la repérer. Leur machination de beaucoup de paramètres sur lesquels ils n’avaient aucun contrôle… Et ça ne réjouissait pas trop Draco.

Il jeta un dernier regard à la cheminée, désormais froide et sans flammes, puis quitta son bureau et se dirigea vers le rez-de-chaussée. Il dépassa le salon sur la pointe des pieds, entendant le murmure de la voix de ses parents qui étaient en train d’y discuter, puis quitta la maison par l’une des portes fenêtres de la bibliothèque, et s’avança dans l’immense parc qui entourait le bâtiment. Il avait toujours adoré cet endroit : quand il était petit, il y jouait des heures, et quand il était devenu plus grand, c’était là qu’il se cachait pour ruminer au sujet de cet idiot de Potter et jeter des cailloux dans le lac pour se remonter le moral. Plus tard encore, quand les Mangemorts avaient envahi sa maison, c’était au fond du parc qu’il se réfugiait, comptant sur les innombrables sorts protecteurs qui animaient les plantes et les paons pour tenir Greyback ou Bellatrix à distance.

Aujourd’hui, il avait compris qu’il ne parviendrait jamais à faire disparaitre ses problèmes en se cachant dans le parc. Mais la sérénité de l’endroit l’apaisait toujours.

Il leva la tête, puis émit un bref sifflement de cinq notes. L’instant d’après, une ombre blanche décollait des arbres à deux cents mètres de là, et le rejoignait en quelques battements d’ailes avant de se poser lourdement devant lui. Koriz le griffon blanc tendit sa tête d’aigle, fermant les yeux quand la main du Serpentard lui gratta le crâne : un ronronnement sourd, semblable au moteur d’une tondeuse à gazon, monta de son poitrail. Draco sourit :

– Comment veux-tu être prise au sérieux si tu te conduis comme Vahdi ?

Vahdi, la Fléreuse de Dey, était aussi câlin que n’importe quel chat, quand elle était entourée de la famille Malefoy. Et elle ronronnait comme un Diesel.

Draco laissa retomber sa main et Koriz l’observa avec curiosité, la tête penchée de côté, ses oreilles aux allures d’aigrettes de hibou dressées bien droites. Désormais, Koriz avait la taille d’un poney. Elle grandirait encore un petit peu pendant deux ans et demi, avant d’atteindre sa taille définitive. Puis elle deviendrait plus massive, ses griffes et son bec se développerait, son poitrail deviendrait plus large et ses ailes plus fournies. Ça ne serait qu’à l’âge de neuf ou dix ans que Koriz deviendrait pleinement adulte. Et ensuite, elle aurait à peu près deux décennies à vivre avant de s’étioler et de s’affaiblir, comme Zanor, le vieux griffon d’Astrid.
Mais aujourd’hui, malgré sa jeunesse, Koriz était déjà assez robuste pour être montée. Draco lui lança un regard en biais, puis haussa les épaules : après tout, ça lui changerait les idées.

Alors voilà, je poste. Atchoum, pour une étrange raison, comprend le langage extraterrestre. Elle comprend Zénitorh, et devient l’interprète de l'Alliance (sorte des EU intergalactique, chargée de maintenir la paix.) envers les terriens.
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Etant la seule de l’Univers à parler à la fois l’extraterrestre et le terrien, je fus bientôt débordée de travail. Comme on n’apprenait pas l’anglais en trois jours, j’étais très demandée dans tous les domaines.
Quand je rentrais à la Congrégation, qui était devenu le Q.G officieux des extraterrestres pour le plus grand malheur des terriens, j’étais épuisée, crevée, morte.
Il avait été décidé que le commerce se ferait après la politique, de ce fait, je plongeais surtout dans les secrets d’états.
Qui eût cru qu’il existait autant de machination dans le monde du 19ème siècle ? Pas moi.
Fort heureusement, j’avais mon quota de sommeil, alors je ne me plaignais pas.

Revoilà Astrid la Naine et Alyssa la Hobbite dans la grotte où le drame s'est déroulé Razz

Alyssa la hobbite et Astrid la naine toujours en route vers Erebor. A cause d'une « machination elfique » selon la blonde. Une arrestation par Thranduil, Roi des elfes de la Forêt noire à cause d'Astrid et de son caractère de naine... Alyssa les a fait sortir, mais l'évasion leur à fait perdre leur chemin, et les a emmené dans une grotte qui s'est révélé rempli d'araignées géantes. Et pendant un combat entre Astrid et une araignée, qu'elle a vaincu, elle est tombée dans sa toile se retrouvant piégée lorsque l'araignée l'a entrainé dans sa chute. Heureusement, Alyssa était juste à côté libre de la toile entièrement libre de ses mouvements.

- Ma pauvre t'a pas de bol...
- SORS MOI DE LA !!! Et merde comment ça se fait que tu sois pas prise dans cette foutue toile ?! On est tombées en même temps !
- C'est magique !
- Tu me saoules avec ça.... Sors moi de là.... MAINTENANT !!!
- Non.
- Sors moi de là.... S'il te plait.... Contente ?!
- Voilà c'est pas dur ! Bon alors tu es sur le ventre...
- Grouille toi !
- J'ai trouvé ! Il faut enlever ton armure !
- … Comment ?!!!
- Bah je vais couper les liens de ton armure
- Comment ?..
- Laisse toi faire ça sera rapide.
- … AU SECOURS !!!
- Voilà~
- … Comment tu as fait ?! Ne dit pas « C'est magique » !!!
- Car je suis géniale !
- … Ouais bon... Maint... MA BARBE EST COINCÉE !!!
- Oh bah c'est pas grave on va la couper.
- NON !!! NE LE FAIT PAS !!! Y a forcément un autre moyen !!!
- Laisse toi faire ça sera rapide.
- NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!

– … Yo ho, nous sommes les pirates les forbants ! NOUS SOMMES DES CANAILLES, DE MAUDITS PIRATES…

Jack Sparrow, qui dormait à l’ombre d’un palmier entre trois bouteilles de rhum vides, se réveilla en sursaut, et gémit quand sa gueule de bois se rappela à son bon souvenir. Trois jours que Barbossa l’avait abandonné à la mort sur cet îlot, après lui avoir piqué son bateau. Maudit soient-ils, lui et ses machinations. Trois jours que, ayant découvert une cave pleine de rhum et autres alcools, Jack essayait de se noyer dans les bouteilles jusqu’à oublier son nom.
Il avait oublié à quoi ressemblait une journée sans mal de crâne, mais à part ça, il n’avait pas fait trop de progrès…

– TRINQUONS MES JOLIES YO HO !

– Argh, fit faiblement le pirate en roulant sur le ventre.

De sa nouvelle position, il cligna des yeux, et distingua un bateau de taille moyenne, fait pour un équipage de quatre ou cinq personnes sans doute, ancré au large. Une chaloupe avait été tiré sur la plage et deux silhouettes en descendaient, se dirigeant dans sa direction en chantant joyeusement.

Deux femmes. Qui beuglaient plus fort que la moitié des hommes que Jack connaissait.

La première était petite, pieds nus, les cheveux courts et d’un noir de jais, vêtue d’une chemise aux manches retroussées, d’un pantalon coupé aux mollets, et un large foulard d’un violet usé attaché aux hanches en guise de ceinture. Tout son bras droit était recouvert par un tatouage bleu dont il ne discernait pas le motif. Elle était mince et fluette, mais la plupart des mousses l’étaient. Jack réalisa que c’était une fille seulement en voyant que sa chemise était assez ouverte pour montrer une partie des bandages qui serraient sa poitrine.
La deuxième était plus grande et plus large d’épaule, moins gracieuse et probablement plus musclée. Le teint bruni par le soleil, les cheveux blonds et longs retenus en une crinière sauvage par un bandana mordoré, elle portait une veste brune sans manches dont le tissu sombre avait connu des jours meilleurs, un pantalon qui avait jadis du être noir, des bottes de cuir brun, et une chemise un peu plus blanche que celle de sa camarade. A ses oreilles pendaient deux anneaux d’or, et une chaine, dorée elle aussi, disparaissait dans son décolleté quasi-inexistant.

– YO HO, YO HO NOUS SOMMES LES PIRATES LES FORBANTS ! NOUS SOMMES DES DIABLES…

– ET DES MOUTONS NOIRS ! TRINQUONS MES JOLIS YO HO !

Jack se demanda s’il pourrait les contourner et leur piquer leur chaloupe tandis qu’elles se rendaient dans la cachette du rhum (car c’était là qu’elles se dirigeaient, évidemment), puis abandonna l’idée. Déjà, rien que l’idée de courir lui donnait envie de dégobiller sur sa chemise qui avait déjà bien assez souffert. Ensuite, la petite brune avait trois flingues passés à sa ceinture, avec un énorme coutelas : et la blonde avait un large baudrier de cuir en bandoulière, auquel pendaient une épée et un poignard. Et finalement… Même avec une chaloupe, il aurait l’air malin. Il n’irait pas loin avant que l’équipage du navire amarré le voit et ne décide de lui faire la peau.

Bon. Il rassembla son courage, ou plutôt fit fermement taire sa raison, et se releva avant de s’avancer d’un pas qui vacillait à peine vers les deux donzelles.

– Bien le bonjour, mesdames !

Du coup, elles arrêtèrent de chanter, le regardant avec surprise. Puis la plus petite plissa les yeux d’un air mauvais :

– Il a bu.

– Ouais, ça me semble évident, fit flegmatiquement la blonde.

– Nan mais tu comprends pas, il a bu notre rhum !

Oulà ça partait super-mal. Jack se hâta d’intervenir avant que la blonde baraquée (la capitaine ?) ne décide de lui passer son épée au travers du corps :

– Et comme il était délicieux et for bienvenu, je vais vous le payer au double de son prix !

La brune haussa un sourcil. La blonde haussa les deux. Jack hésita :

– Au triple ? Et je vous offre un chapeau.

– Un chapeau ? répéta la blonde tandis que son amie brune semblait contempler l’idée.

– Un chapeau, insista Jack d’un air convaincu. Les chapeaux ont la classe.

– Il a l’air con mais c’est un bon argument, Cap’taine, fit la petite brune en zieutant le tricorne de Jack.

Sparrow commençait à l’aimer, celle-là. Et il se dit que l’argument du chapeau était décidément un bon truc à ressortir en cas de négociation ardue.

– Et comment tu comptes payer ? lança la Capitaine. En noix de coco ?

– En or ! rétorqua aussitôt Jack d’un air indigné. En or, bien sûr ! Mais pour ça…

Il se rapprocha, souriant d’un air mielleux et essayant de faire les yeux doux aux deux contrebandiers… Contrebandières… Qui n’avaient pas l’air impressionné du tout.

– … Pour ça, il me faudrait quitter cette île, poursuivit Jack en essayant d’avoir l’air aussi aimable et gentil que possible. Réclamer mon dû à deux trois amis, tout ça. J’ai eu une aventure purement tragique et il se trouve que je suis arrivé ici les poches vides mais je vous assure que de l’or, ah, j’en ai plein, j’ai qu’à me baisser pour en ramasser, absolument ! Vous pouvez me croire sur parole, mesdames… ?

Les deux se regardèrent, puis, avec un haussement d’épaule, la blonde reporta son regard sur lui :

– Capitaine Astrid Oswald.

– Et Alyssa Torez, ajouta la petite brune.

– Oh, enchanté, je suis le Capitaine Jack Sparrow ! fit joyeusement Jack en leur tendant la main.

Astrid se contenta de regarder autour d’elle, feignant la surprise :

– Un capitaine sans navire ?

– Dix noix de coco que c’est lié à sa présence dans notre cave, bougonna Alyssa.

– Eeeeeh, grimaça Jack. Plus ou moins ? Il y a trois jours, j’avais encore mon navire, mon équipage, un trésor en vue… Mais cette immonde fripouille, ce traitre, cette canaille de saloperie de barbu dégénéré et décrépi de…

– La version courte, lâcha Astrid en roulant des yeux.

– Mutinerie, plouf, adios.

Le regard des deux femmes –filles ? Quel âge elles avaient, vingt, vingt-cinq ans ? Plus dans les vingt ans en fait, c’était leur hâle qui les vieillissait– se porta soudain vers le pistolet à la ceinture de Jack. Un pistolet avec une unique balle, comme c’était la coutume chez les pirates abandonnés.

– On n’a pas de preuve qu’il ait effectivement de l’or, glissa Alyssa en direction de sa Capitaine.

Mais, de capitaine à capitaine, on se comprenait, et Astrid haussa les épaules :

– Si on le laisser, il va boire tout notre butin. Bon, Sparrow. T’as bu combien de bouteilles ?

Mieux valait ne pas essayer de les arnaquer sur ce coup…

– Trois. Enfin, quatre mais la dernière n’est pas finie…. Ça compte ?

– Ça compte, fit impitoyablement Astrid. On dira donc quatre réals.

Jack fronça le nez. Avec un réal, ces pièces d’argent espagnoles, il aurait pu s’acheter ces quatres bouteilles de rhum. La blonde lui faisait payer le quadruple du prix, et non le triple… Mais bon, d’un autre côté, si elle pouvait le tirer de là…

– Allez Sparrow, aide-nous à charger la chaloupe. Et dès qu’on débarque, on ne te lâche pas jusqu’à ce qu’on ai vu la monnaie.

– Et les chapeaux, rappela Alyssa.

– Et les chapeaux, convint Astrid. Maintenant, du nerf !

C’est ainsi que Sparrow acheta son billet pour un court voyage à bord de la Tortue de Mer, un navire petit et léger, rapide comme le vent et très maniable, pas du tout adapté à son nom mais tout à fait adapté à la contrebande.

Et il décida que si on lui demandait un jour comment il s’était échappé de l’îlot, il répondrait qu’il avait été sauvé par deux tortues de mer. Par contre il se jura de ne jamais dire ça à portée d’oreille d’Astrid et Alyssa, on ne sait jamais, avec la susceptibilité féminine…

Hello ! Pas trop de contexte à part qu'on retrouve encore Alyssa et Astrid que j'ai jeté dans l'univers des Cinq Légendes. Elles sont toutes les deux des esprits et se sont retrouvé chez Nord. Celui-ci étant occupé à l'Atelier, il a laissé Jack avec nos deux barges.
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Jack fixa les deux nouvelles esprits qui venaient d'arriver. Astrid, la représentante de la Passion était grande, blonde et athlétique. L'esprit de l'hiver trouvait que la jeune femme avait un petit air sur le visage qui lui donnait l'air de vouloir se battre. Une bonne tête de bagarreuse qui faisait intérieurement sourire Jack. A ses côtés, se tenait Alyssa, l'esprit de la Curiosité. Physiquement, elle était l'antithèse d'Astrid. Petite, fluette, brune et avec un air rêveuse, Alyssa semblait même légèrement à côté de ses pompes. Ce qui, sur le plan pratique, n'était pas totalement faux puisqu'Alyssa était juste en chaussette... Au contraire d'Astrid qui avait ses rangers sur la table. Chose que Nord n'allait pas apprécié quand il les rejoindraient.

_Qu'est-ce que vous faites là déjà ? Demanda Jack après un instant. Je veux dire, je ne vois autant d'esprit dans une pièce que quand Pitch part dans ses machinations démoniaques...

_On se baladait. Répondit Alyssa en attrapant un cookie.

_Tu t'es laissé distraire par des manchots. Rectifia Astrid en rajustant les pans de son gilet. Et tu t'es perdu en plein milieu du Pôle.

Alyssa lui jeta un regard outré alors qu'elle défaisait un peu son écharpe pour que des miettes ne tombent pas dessus.

_Ouais mais toi tu m'as perdu de vue !

C'était un secret de polichinelle que, en effet, l'esprit de la Passion servait plus ou moins de nounou à l'esprit de la Curiosité...

_Mais tu cours vite espèce de saloperie ! S'écria la blonde avec un léger agacement.

Cela fit ricaner Jack qui s'appuya contre son bâton avant de dire:

_Donc, c'est pour ça que j'ai entendu les yétis dire qu'ils vous ont surpris en train de vous disputer devant la porte.

_Ben ouais ! S'exclama Astrid. Je venais en fin de la retrouver !

_Oooh je te manquais ? Minauda la brune en battant moqueusement des cils.

_Va chier Alyssa. Répondit doctement Astrid en croisant les bras.

Jack finit par les rejoindre à la table, évitant les petits lutins et fixa les deux jeunes femmes qui se tenaient côte à côte.

_Je comprend pas... Finit par demander Jack. Vous avez l'air très différentes alors pourquoi vous traîner toujours ensemble d'après Nord ?

_Parce que nos pouvoirs sont complémentaires ! Fit Alyssa avec un grand sourire.

_Et surtout parce que sans moi, elle se ferait bouffer par le premier esprit maléfique qui passe.

Alyssa leva les yeux au ciel avant de regarder Jack:

_Par exemple, étant la Curiosité, je peux te pousser à t’intéresser énormément à un truc genre... Des gâteaux !

_Des gâteaux ?

_Oui des gâteaux ! Continua Alyssa avec excitement. Si j'utilise mes pouvoirs, tu vas tout d'un coup beaucoup t’intéresser aux gâteaux grâce à moi et ensuite Astrid va...

_Te rendre passionné à propos des dit gâteaux. Coupa la blonde. Et si jamais tu nous emmerdes, on peux te pousser à passer ta vie à faire des cupcakes jusqu'à la fin de ton immortalité.

Jack les regarda avec des yeux ronds, n'en croyant pas ses oreilles.

_ Naaaan...C'est pas possible ?

_Siiii. Répondirent en même temps les deux femmes avec un parfait sourire de Cheshire.
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... Bande de tarées codépendantes.

Percy Jackson était quasiment sûr de tomber sur un champ de bataille. Grover, son ami faune chercheur de demi-dieux, l'avait informé de la présences de plusieurs monstres (dont un Minotaure et au moins deux Chimères) près d'une école, où devaient donc se trouver un ou plusieurs demi-dieux. Percy s'y était donc rendu, avec Annabeth (parce que le cerveau d'une fille d'Athéna pouvait être utile, et puis parce qu'en plus d'être sa copine, Annabeth était super-badass et la laisser derrière était une idée risible), et Léo Valdez, le fils d'Héphaïstos, qui s'ennuyait et les avait croisé au moment où ils partaient.

Sachant que Percy avait une malchance digne de Harry Potter, qu'Annabeth était parano, que Léo sautillait partout comme une balle d'énergie et tendait à attirer l'attention des méchants, et qu'ils allaient dans un lieu plein de monstres, Percy s'attendait forcément à un champ de bataille.

Pas à deux ado en train de faire un bras de fer sur le toit, au milieu des tas de poussières qui ressemblaient beaucoup aux restes de monstres renvoyés dans le Tartare.

- Hey, fit joyeusement Léo en s'approchant d'un pas sautillant. Je mise sur la gagnante !

- Ca doit être moi, rigola la blonde en poussant plus fort.

- Va chier Astrid, grinça la petite brune en poussant de toutes ses forces (mais en se faisant lentement mais sûrement écraser).

La blonde, Astrid, était grande, aux épaules larges, ses cheveux bouclés étaient coupés en un dégradé sauvage qui auréolait son visage comme une crinière de lion. Elle avait les yeux brun presque noirs, le teint hâlé, et portait un jean déchiré ainsi qu'un débardeur rouge clamant en lettres blanches "I don't spew profanities, I enunciate them clearly like a fucking lady". A ses pieds était posé un sac à dos de sport au motif camouflage.
La brune était plus petite et plus menue, et ses cheveux étaient coupés encore plus courts que ceux de Percy, mis à part la petite tresse décorée de perles qui se balançait sur le côté droit de sa tête. Elle avait les yeux gris-bleu et des tâches de son sur son visage au teint clair. Malgré le temps plutôt chaud, elle portait un foulard violet et bleu autour du cou, un T-shirt noir, et un jean absolument délavé.

- Euh, hésita Annabeth. Vous n'avez rien remarqué d'étrange par ici ?

C'était peut-être juste des mortelles, auquel cas la Brume, ce sort camouflant les monstres, leur aurait juste fait voir des chiens ou autre. Des trucs étranges mais rien d'alarmant. La brune lui lança un regard blasé :

- Si, un espèce de gnou bipède sous stéroïdes et deux doberman croisés manticores à crinière.

- Un Minotaure et deux Chimères, Alyssa, traduisit la blonde.

- Et ils sont où ? s'alarma Percy, tendant la main vers son épée.

- Je les ai endormis et Astrid les a castagné, fit Alyssa avec fierté. Vous êtes du camp Chose ?

- Du camp des Sang-Mêlé, ouais ! s'exclama Léo en s'asseyant sans gêne sur la table où le match de bras de fer se poursuivait. Vous connaissez déjà tout le patin couffin sur les dieux, pas besoin de vous faire un topo ?

- Ouais, on a reçu la visite d'un dieu récemment ! fit fièrement Alyssa.

- Dit comme ça, ça fait un peu allumé de la cafetière, fit pensivement Astrid.

- Si je dis que le dieu en question est mon papa, ça fait encore pire.

- Pas faux, acquiesça la blonde.

Puis, d'une torsion du poignet, elle plaqua la main d'Alyssa sur la table. Percy esquissa un sourire tordu. Les dieux, il en rencontrait tout le temps. ET les Titans. Et les autres. Généralement des psychopathes.

- On est censé vous emmener au Camp des Sang-Mêlés, lâcha Annabeth d'un ton professionnel. Ces deux andouilles sont Percy et Léo, fils de Poséïdon et fils d'Héphaïstos, et je suis Annabeth. Fille d'Athéna.

- Enchantée, fit Alyssa en se massant la main. Je suis Alyssa, ninja narcoleptique. Fille d'Hypnos, le dieu de la sieste.

- Du sommeil, Alyssa, du sommeil...

- Nope, s'il voulait que je respecte son titre il avait qu'à venir me voir avant que j'ai quinze ans. A partir de maintenant, c'est le dieu de la sieste, des polochons, et de la bave dégoulinant de la bouche des gens endormis.

Astrid gloussa, puis se présenta à son tour :

- Et moi c'est Astrid. Fille de Bia, déesse de la castagne.

- De la force, rectifia Annabeth machinalement. Bia est la déesse de la force, de la vaillance et de la violence, la soeur de Némésis, Niké, Cratos et Zélos...

- ... C'est bien ce que je dis, déesse de la castagne. Et des hyperactifs. Et probablement des Gryffondors. Eh, c'est une bonne idée ça...

Et Percy leva les yeux au ciel. Sur quel genre de tarées les machinations célestes les avaient-ils encore fait tombés ?

Bon, je poste! Enma s'est faite arrêtée pour être entrée dans la Congrégation. Elle est conduite dans le bureau de Komui, où, on ne sait trop comment, elle se retrouve à faire un speech sur...le sexe.
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« Les gens, ou plutôt des putains de prude ou des mal baisé, pensent que le sexe est quelque chose de bestial et dégradant. Mais ils ont tord ! Le sexe c'est la chose la plus fabuleuse du monde ! C'est bon pour le cœur, tu fais du sport, tu apprends à connaitre la personne intimement et plein de truc trop cool ! Le sexe c'est la confiance en l'autre, l'acceptation de son corps et surtout c'est BON ! Bon je pourrais continuer encore des heures et probablement écrire deux thèses au minimum sur le sujet mais là j'ai pus trop le temps. On baise ou non ?»
Quand Enma eût fini sa tirade, seul Zénitorh et Cross n’avaient pas rougit parmi le public. Le général de l’Alliance trouvait cette cinglée fabuleuse. Cette folle l’avait complètement convaincue. Malgré sa banalité de visage écœurante, Enma semblait être une partenaire à sa digne hauteur.
« Quand ? Souria t-il.
_ …Maintenant. »
Et sa future coéquipière bondit sur lui. Sa banale figure eût néanmoins tôt fait de rencontrer la chaussure du général.
« Je m’en occupe ! Clama t-il sous le regard médusé de l’assistance. »
Et une Enma inconsciente fut portée jusque dans la chambre de Zénitorh, dans l’espace. Deux claques eurent tôt fait de la réveiller.
« On baise ? Demanda le général à Enma qui émergeait à peine.
_ TOI ! Hurla t-elle, avant de continuer sur un ton faussement dramatique. J’AI PERDU DIX MINUTES DE MA VIE ! POURQUOI TU M’AS ASSOMMÉE ! »
Elle s’arrêta brusquement lorsque les mots de Zénitorh frappèrent son esprit.
« Mais fallait le dire plus tôt ! Dit-elle en jetant son soutien gorge d’un geste fluide du poignet. »
Après leurs ébats, ils sombrèrent en même temps dans un profond coma. Trois jours plus tard, Zénitorh se réveilla environ cinq minutes avant Enma.
« J’ai dormi à peine une journée. Lui avait-il ensuite déclaré. Serais-tu incapable de tenir le rythme ? »
Enma fulminait. Ils étaient en train de manger au réfectoire de la Congrégation. Dix jours s’étaient passés depuis leur réveil.
« Je veux une revanche ! Hurla-elle pour la millième fois.
_ Je ne couche pas avec des débutantes. Souria Zénitorh.
_ Enma, dit une Atchoum tremblante, coincée en sandwich entre les deux. Si vous voulez vraiment savoir qui est le/la meilleur(e), faites-vous le plus de gars ou de fille possible dans la Congrégation en une journée. Mais, par pitié, FOUTEZ-MOI LA PAIX ! »
Cela faisait dix jours qu’ils s’étaient réveillés. Et depuis ce matin, le duo la suivait partout.
« Oh, mais c’est déjà fait ! S’exclama joyeusement Enma en touchant de la main la cuisse d’Atchoum. Il ne manque plus qu’une dernière personne et celui ou celle qui se la fera aura gagné.
_ C’est une machination contre moi ? Marmonna l’interprète avant de comprendre les mots d’Enma. NON ! Jamais je ne coucherais avec vous !
_ Tu n’es pas obligée d’être consentante tu sais…soupira Zénitorh. »
Enfin, il empêcherait Enma de la violer et la séduirait s'il le faut mais ça, Atchoum n'était pas obligée de le savoir...

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