Mot spécial MOIS D'AOÛT : Positif [Terminé]

P O S I T I F

(pas plus de vingt ou vingt-cinq lignes dans lesquelles ce mot doit apparaitre)

J'inaugure :

Pauvre est celui qui n'est pas heureux.
Où peut-il aller pour aller mieux ?
Si, il a peut-être Disney,
Il y a aussi très fort chanter !
Tu peux aussi dire merde au Monde !
Il faut crier sa joie au monde !
Faut peut pour être heureux les amis !

– Eh, l’Ankou.

– Oui ?

– Tu dors ?

– Oui et là je suis en plein rêve, je te rappelle pendant la pub.

– … T’es complètement barge, l’Ankou.

– Ouais, je sais. Mais je reste positif.

– Et un peu flippant aussi.

– Aussi, j’avoue. Qu’est-ce qu’il y a ?

– Je me posais une question d’ordre métaphysique…

– Al’, sérieux, il est minuit !

– Mais tu ne dors pas, non ?

– Non. Continue.

– Bref. Je me demandais… Tu penses qu’on peut dresser Magnum à faire caca chez les Gryffondors ?

– … Ouais. Ouais, ça devrait se faire.

– Cool ! On commence quand ?

– Demain.

– Demain sera dans quatre minutes, il est onze heures cinquante-six.

– Demain soir, Al’. Demain soir.

– Ok. Bonne nuit.

– Bonne nuit.

De l’autre côté du dortoir, Owen gémit et mit son oreiller sur sa tête pour s’isoler du bruit.

– Bande de crétins…

Yo ! Alors voila ma participation pour le mois d'août ! Etant inspiré par l'épisode "Always" de Kaamelott ( vu que c'est encore une fois en rediffusion, c'est dure de les louper). L'épisode "Always" est celui où tout le monde croit que Perceval est mort. Cet extrait vient de ma fic "Plantage administratif" ( posté sur ff.net) où j'ai tué Perceval... Quoi ? Je vais parfaitement bien et en plus, ça a une fin heureuse xD. Donc, pour vous situer, Arthur déprime en plein milieu de la nuit après la mort de Perceval sur le champ de bataille.
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Le roi se mit à soupirer bruyamment alors qu'il posait sa coupe sur l'accoudoir.

_Ça va pas sire ?

Arthur sursauta et se tourna d'un bloc vers l'autre siège. Perceval s'y tenait, comme il le faisait de son vivant. Il fixait Arthur avec son habituel sourire, toujours aussi positif. Tout aurait put être ordinaire si le chevalier n'était pas transparent et brillant d'une couleur bleue. Un fantôme. Le roi cligna plusieurs, les yeux écarquillés.

_Mais qu'est-ce que c'est que ce cirque ? Finit-il par s'écrier.

_Ben quoi sire ?

Le roi reste coi quelques secondes avant de murmurer :

_La vache, j'hallucine ?

Perceval pencha légèrement la tête sur le côté, ne comprenant pas. Arthur se pinça le dos de la main, croyant qu'il rêvait. Mais il eut mal et Perceval ne semblait pas prêt de disparaître :

_Ben non, vous êtes bien là.

_Vous en faite une tête. Dit le chevalier avec un ton concerné.

_Une tête ? Répéta le roi, incrédule. Vous êtes mort ! Mort ! Alors qu'est-ce que vous foutez là ? !

_Là, au château ?

_Non, dans le poulailler. Mais bien sur ici !

_Ah j'serais pas vous dire. Commença le chevalier. C'est l'autre brune avec des yeux rouge qui m'a dit d'attendre là le temps qu'elle vérifie un truc.

_L'autre brune ?

_Ouais avec une robe noir à capuche. Décrivit Perceval en mimant. Elle avait aussi une grande faux quand on c'est vu. Je lui ait dit, hein, « Si vous voulez faucher les blés, c'est plus la saison ».

_Fauchez les blés... Mais vous parliez à la Mort triple andouille ! S'écria le roi, n'en croyant pas ses oreilles.

_Lamort ? C'est qui ?

_Bons dieux mais qu'il est con...
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Voila !

– [...] Les conditions de réussite, c’est la légitimité des propositions des Réfractaires. Si tu te souvenais un minimum de tes cours de Vie Politique tu saurais qu’aucun chef ne peut rester au pouvoir si le peuple ne le suit pas. Un gouvernement pas la peur ne tiens jamais longtemps. Donc, si les gens qui ont de l’influence décrédibilisent les Réfractaires, ça va les ralentir, peut-être même les arrêter.

– Et c’est dans tes cordes ?

Draco prit un air offensé :

– Pour qui tu me prends ? J’ai une énorme influence tu sais. Et j’ai beaucoup d’alliés au Magenmagot. Et j’ai Blaise. Tout le monde aime Blaise.

Harry retint un sourire en coin. C’était vrai. Blaise Zabini était charmeur, beau parleur, riche, séduisant, intelligent. L’icône parfaite. Et seules quelques rares personnes savaient que c’était en fait Draco qui tirait les ficelles.

– Et le troisième point ? La finalité ?

– Oh, celle-là est plutôt évidente, fit Draco avec dédain. Ce qu’ils vont faire du pouvoir qu’ils ont pris, n’importe qui peut le deviner.

Harry le regarda sans comprendre, et Malefoy poussa un lourd soupir.

– Potter. Franchement. Accumuler des partisans, imposer ses idées, accéder aux plus hauts postes, contrôler la population, à ton avis, ça mène à… ? La domination du monde sorcier. Un grand classique. Et merci, mais j’ai assez rampé devant des abrutis pour le restant de mes jours.

Harry Potter poussa un grognement sourd et laissa sa tête retomber en arrière, s’appuyant contre son dossier rembourré.

– Tu me pourris mon dimanche, tu le sais, ça ?

Draco roula des yeux :

– Sois positif. C’était Granger qui était censée venir te prévenir. Elle prévoyait de t’emmener chez les Weasley pour, je cite, « percer l’abcès ».

Harry en frémit rétrospectivement. Il ne s’en était jamais vraiment rendu compte avant, mais tout son cercle de connaissance –sauf les Malefoy et leurs amis– était constitué de Weasley. Hermione, Ron, Bill, Molly et Arthur, George, tout le monde. Maintenant qu’il s’était séparé de Ginny, il avait l’impression d’être cerné d’ennemis.

– Et sinon, ça va chez toi ? tenta-t-il pour changer de sujet.

Draco haussa un sourcil :

– Tout à fait.

– Ton père n’a pas tué Nathan ? s’étonna franchement le Survivant.

– Il sait se tenir, répliqua Draco. Et Nathan est capable de démontrer à n’importe qui qu’il lui est supérieurement intelligent et intellectuellement capable de conquérir le monde magique en trois mois.

~~Si j'étais tordue j'en ferai un couple Yaoi~~

Hello ! Deuxième participation ! Cette fois-ci, j'ai improviser sur le film "Star Trek into Darkness". Donc, un peu de contexte s'impose: Khan est un Augment ( humain nettement amélioré) crée en labo il y a trois cent ans quand la guerre ravagé la Terre. Quand la paix est revenus, les gens ont voulus se débarrasser des Augments. Khan est donc partis avec eux dans l'espace et se sont cryogénisés en attendant de se réveiller dans une époque capable de les accepter. Le truc c'est que leur vaisseau a été repéré par Marcus, un amiral de Star Fleett ( agence gouvernemental). Marcus a gardé sa découverte pour lui et a réveillé Khan. Il a ensuite décidé de se servir de lui pour créer des armes ( car Marcus est un connard voulant provoquer une guerre dans l'ombre). Comme Khan est dangereux, Marcus le fait chanter en gardant son équipage en otage et en menaçant de les tuer si il n'obéit pas.
Franchement, j'imagine même pas comment Khan a dû avoir eut envie de tuer Marcus pendant les deux ans avant les événements du film où il devait bosser pour lui.
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Dans un bureau aux grandes bais-vitrées, deux hommes se faisaient face. L'un deux, Khan, fixait l'écran de la tablette posé devant lui avec un mélange de colère et de désespoir. En face de lui, l'Amiral Marcus le fixait de cet air paternaliste qui donnait des envies de meurtre au brun.

_Franchement, je croyais que tu étais quelqu'un d'intelligent Khan. Fit Marcus d'un ton déçus. Malgré les tests positifs, ses trois cent dernières années passées dans un sommeil cryogénique auraient-elles en réalité altérées tes facultés mentales ?

D'apparence impassible, Khan s’efforça de respirer calmement. Mais faire taire l'orage qui grondait en lui était quasiment insupportable. Comment ce misérable humain osait lui parler ainsi ? ! Il pourrait lui exploser le crâne à main nu s'il voulait et tuer tous les imbéciles se mettant sur son chemin. Il pouvait s'enfuir d'ici et être libéré du joug de l'amiral en un éclair. Mais aussi puissant qu'il était, il ne pouvait rien faire tant que Marcus détenait sa famille en otage. Khan jeta un coup d’œil à l'écran. C'était une retransmission de la caméra de surveillance du hangar où était détenus les cellules cryogéniques des membres de son équipage. Endormis paisiblement et ignorant du danger permanent qui pesait sur eux.

_Ce matin, tu as tué quelqu'un. Continua Marcus, pas déphasé par le manque de réponse. C'était pourtant l'une des règles les plus simples que tu devais suivre.

_Légitime défense. Rétorqua sèchement Khan. Il pointait un phaser sur moi.

L'amiral eut un petit sourire amusé avant de secouer la tête.

_Voyons Khan, nous savons tous les deux qu'un coup de phaser ne peut pas te tuer. En quoi les Augments seraient-ils différent des humains sinon ?

_Me défendre ne m'a jamais été interdit. Répliqua le brun.

_Si elle induit la mort d'un membre de Starfleet, si.

Marcus croisa les mains avant de paraître ennuyé. D'après le rapport, le lieutenant qu'avait tué était un idiot qui voulait tester la résistance de l'Augment pendant la pose de celui-ci. Mais aussi idiot qu'était le lieutenant, Khan n'aurait jamais dû le tuer. L'amiral avait toujours était un homme de pouvoir qui aimait faire payer la désobéissance. Et il adorait par dessus tout le contrôle qu'il avait sur l'Augment. Marcus reprit la parole en désignant la tablette:

_Puisque tu as tué quelqu'un, il me semble légitime d'équilibrer la balance en tuant un membre de ton équipage.

_Si vous osez.... Gronda le brun avec colère.

_Tes menaces ne me font pas peur. Répliqua Marcus avec un calme énervant. Chaque fois que je dois te voir, je donne un ordre à mes hommes : « Si vous n'avez pas de mes nouvelles dans une heure, faite sauter le hangar ». Je tiens la vie de ton équipage entre mes mains, Khan, alors souviens toi de ta place.

Khan se mordit la lèvre inférieur et ses jointures étaient blanches. Il inspira profondément, calmant la rage qui ne demandait qu'a exploser. Il regarda Marcus avant de déclarer :

_Un jour, vous regretterez votre chantage.

_Peut-être. Fit l'amiral en haussant les épaules. Mais ce jour là, je m'assurerais que tu perdes tout ce en quoi tu tenais. Pour l'instant tu es un chien avec une muselière. Et aussi impressionnant que tu sois, tant que tu ne peux pas mordre, je n'ai rien à craindre de toi.

L'amiral eut un petit sourire devant l’indignation qui s'était peinte sur le visage de Khan.

_Alors pour l'instant, soit un bon chien et obéit.
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Bon sang, je sens que je vais transformer cet impros en Os...

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A nouveau, Yora attaqua par des poings de feu, contraignant son adversaire à rester à distance. Chaque flamme menaçait de brûler les pieds de Sokka, et le guerrier devait presque danser en reculant pour préserver ses orteils. Dans le public qui s’était formé, on entendit très nettement Toph rigoler. Eh bien, il y avait au moins une personne qui trouvait du positif dans la grillade de doigts de pieds, c’était réconfortant ! Sokka lui lança un regard noir qu’elle ne vit évidemment pas…

– Reste concentré ! claqua la voix de Yora.

Woooosh ! Cette fois, la boule de feu passa vraiment, vraiment tout près. Sokka poussa un glapissement effrayé, se reprit, esquissa la boule de feu suivante, se précipita vers Yora…
Sauf qu’ensuite, Yora ne fit pas une boule de feu, mais un anneau de flammes, qui se propagea autour d’elle avec un rugissement. Sokka fut projeté en arrière, et tout le public recula d’un pas par réflexe. Instinctivement, Katara posa la main sur l’outre d’eau qu’elle portait à la ceinture…

Yora chercha Sokka du regard, et le guerrier, qui s’était glissé à sa droite et presque dans son dos, lui sauta dessus avec un cri à glacer le sang. Ils roulèrent tous les deux sur le pont du navire.

Mais Yora n’était pas sans défense, même à mains nues contre un homme armé d’une machette. Sa main droite agrippa le poignet de Sokka qui tenait son arme, l’empêchant de l’utiliser, et sa main gauche refermée en un poing alla heurter le guerrier juste sous le plexus solaire.
Sokka se plia en deux avec un bruit de ballon qui se dégonfle.

D’un mouvement sec, Yora le rejeta loin d’elle, et se redressa d’un bond tandis que Sokka se mettait debout avec plus de difficultés, cherchant toujours son souffle. La maître du feu n’était pas indemne, non plus : la machette de Sokka avait entaillé son épaule, à un endroit qui n’était pas protégé par son uniforme, et sa manche déchirée laissait voir une estafilade sanglante.

– Barbare ! grogna Yora.

– Je te retourne le compliment, haleta Sokka.

J'aime bien Yora, elle a l'air de mener la vie dure à Sokka xD Tu fais un nouvel OC au tempérament de feu ( sans mauvais jeux de mots) à ce que je vois ^^. Tarés ? Non pas plus que ça, ils ont du caractères ! Wink

Et oui, j'ai sérieux problèmes avec les soumis qui se rebelles surtout que les "soumis" sont en général trés puissant ( Pitch par exemple, ils ont dû se mettre à 5 plus une bande de gosses pour le battre alors hein U_U). Quand à Khan, il est vraiment capable de t'exploser la tête à mains nues ( tout en gueulant " You should have left me sleep !!"... Spoiler !). En plus, je commence à avoir sérieusement envie d'écrire sur Khan ( surtout parce qu'il ait joué par Benedict Cumberbatch.... U_U)

– Je suis crevée, marmonna Demy en s’étirant.

Quand Alva emmenait ses enfants tirer à l’arc, ils ne restaient pas plantés comme des piquets devant leurs cibles. Les cibles bougeaient. Il fallait leur courir après, bondir, se cacher… Et dans le parc des Malefoy, il y avait largement assez d’espace pour s’épuiser.

– Plains-toi ! se moqua Scorpius en se lovant dans son fauteuil préféré. Au moins, nous, on a passé un bon après-midi de veille de Noël. Quelque part dans le monde, il existe des gens qui ont passé ces quelques heures à fabriquer des guirlandes en cartons ou à dégnommer leur jardin. Beurk.

– Et ce soir, ils mangeront des plats tous faits alors que nous, on aura une authentique dinde aux marrons suivi d’une véritable bûche faite maison, renchérit Alva. L’un des incontestables aspects positif de la richesse. Mariez-vous par intérêt, mes enfants.

Demy et l’Ankou jetèrent un regard blasé à leur mère, et l’aînée lâcha :

– Maman, on sait que tu t’es mariée par amour. Papa était ruiné quand vous avez commencé à sortir ensemble, c’est Astrid qui me l’a dit.

Alva poussa un long soupir dramatique :

– Et voilà comment réduire à néant toute une réputation…

Ses enfants gloussèrent joyeusement. Alva avait beau jouer les dures, afficher un air hautain et se montrer souvent glaciale, pour ses enfants, elle était leur Maman chaleureuse et un brin excentrique.
Un silence bienfaisant tomba sur la petite assemblée. Hyperion jouait toujours. Ce n’était plus du Chopin, maintenant, mais du Mozart, plus paisible. Un morceau à quatre mains. Narcissa devait être avec lui.

J'aime vos textes (pour pas changer) et je me décide enfin à poster ma participation !

En bref, on est toujours dans le monde d'Harry Potter. Mégane est en sixième année à Poudlard et les Maraudeurs en troisième.

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Levant le nez de son livre, la jeune sorcière voulut se pincer. Mégane n'osa pas croire à son idée. C'était tellement logique. Ca expliquait tellement bien les choses; toutes les absences de Rémus à l'approche des pleines lunes, son air palôt et fatigué. Son nom même. Sérieusement, "Lupin" ? Et, mieux encore, Rémus Lupin , comme ce sorcier de l'Antiquité qu'on disait avoir été éduqué par une louve ?

Ses pensées devaient être parasitées par un essaim de joncheruines ! Il aurait été encore plus probable qu'il s'agisse d'un troll des montagnes métamorphosé par un Elfe de Maison ! Tiens, est-ce que ça ne serait pas une hypothèse valable, ça ? Le sortilège flaiblirait un peu chaque mois et l'Elfe de Maison le tiendrait à l'écart pour lui renvoyer une dose de sortilège, monté sur un Ronflax Cornu ! Oui, c'était une idée à creuser...

La cinquième année referma son livre intitulé "Mille créatures magiques méconnues et incomprises. Là où les sorciers se trompent." et le reposa sur l'étagère où elle l'avait trouvé. Puis, elle souffla sur son parchemin de quarante-cinq centimètres sur l'influence des joncheruines vertes sur le moral des gens (le professeur Brûlopot leur avait laissé le choix du sujet de leur devoir), le roula soigneusement et rangea ses affaires.

En sortant de la bibliothèque, elle s'interrogeait sur les moyens de se trouver seule à seul avec Rémus pour lui lancer deux ou trois sortilèges et vérifier son hypothèse de troll ensorcelé, lorsqu'elle entendit une voix connue :

- Hé Lunard, dépêche-toi !

- Pas si fort, Sirius ! répondit le susnommé en jetant des regards autour de lui.

Son regard tomba sur Mégane. Il la regarda. Elle le regarda. Bref, ils se regardèrent. Mégane resta bouche-bée une demi-seconde avant de foncer comme une locomotive en furie sur le groupe de quatre. Le petit Peter rentra la tête dans ses épaules tandis que James et Sirius se contentait d'un air blasé. C'était pas comme si elle ne fonçait pas sur eux à chaque fois qu'elle les voyait.

- Vous ! Rémus est un loup-garou, pas vrai ?

- Oui, répondit Sirius en haussant les épaules.

Mégane eut soudain des étoiles pleins les yeux et se tourna vers Rémus qui eut un mouvement de recul.

- Un vrai loup-garou... J'ai toujours voulu en voir un !

- Ca ne te... dérange pas ? demanda Rémus d'un air hésitant.

Sirius le regarda comme s'il le voyait pour la première fois.

- Tu ne connais pas encore Mégane ?

Pendant ce temps, cette dernière énumérait tout ce qu'on pouvait faire avec un loup-garou, devant un Peter qui hochait de la tête impressionné.

- ... Un mari loup-garou et on n'a plus à craindre de voleur, ils sont très propres comme ils ont un odorat sensible et, le côté le plus positif, c'est qu'on a même plus besoin de chien !

James, Sirius et Rémus échangèrent un regard consterné.

Intéressé Messages : 59 Date d'inscription : 03/03/2013

Yo!

Comme d'hab', je kiffe vos textes. j'imagine bien Alva entraîner ses enfants ainsi. De même, je trouve très intéressant le personnage de Mégane. je ne m'étais jamais mise à penser de cette manière pour les loups-garou mais après tout, pourquoi pas?

Voici mon texte:

Rose, Remus et Albus ne s'arrêtèrent de courir qu'une fois, qu'ils furent sortis de la Forêt Interdite. Ils eurent du mal à reprendre leur souffle après leur course effrénée. Chibi, quant à lui, était toujours confortablement installé sur l'épaule du frère de James et semblait avoir beaucoup apprécié la course, si l'on en jugeait les mouvements de sa queue.
"Bon...le point positif, c'est que l'on en sait plus maintenant...Réussit à dire Albus entre deux reprises de souffle.
-Remus...j'espère que tu n'auras pas encore une fois l'idée d'aller voir les centaures avant longtemps...car la prochaine fois, tu y vas tout seul...Prévint Rose en se laissant tomber à genoux sur le sol.
Cependant, le susnommé ne sembla pas l'écouter, trop occupé à chercher quelque chose ou quelqu'un du regard...Il n'en fallut pas plus pour que les deux autres comprennent...
-Oh non! Scorpius! S'exclama alors la seule jeune fille du groupe.
-C'est pas vrai!" S'écria son cousin en repartant en sens inverse.
Cependant, cette fois Chibi sauta à terre et se mit à courir devant lui. Le renardeau s'arrêta bientôt devant un corps...

En effet, l'héritier des Malfoy gisait sur le côté à terre au beau milieu d'une mare de sang, son sang. Ses yeux à peine entrouverts fixaient sans le voir un rocher trop proche. Une flèche lui avait traversé la poitrine de par en par. Sa respiration était sifflante, donnant des frissons à ses amis. Albus fut le premier à réagir. Il se laissa tomber à genoux près du blond et le prit dans ses bras.
"Scorpius? Scorpius! Réveille-toi, bon sang! Je t'interdis de partir! T'entends!
A côté de lui, Rose sentit les larmes rouler sur ses joues, impuissante...Elle s'en voulait tellement de ne connaître aucun sort de guérison. Derrière elle, Remus sentait son estomac se tordre sous le poids de la culpabilité. Si seulement, si seulement, il n'avait pas eu la brillante idée d'aller voir Firenze...Soudain, quatre mots, le sortirent de ses pensées.
-Remus...pas...ta faute...Réussit à dire le blessé avant de cracher du sang sur la robe d'Albus.
-Scorpius, reste éveillé! Ca va aller...on va aller chercher de l'aide. Lui dit-il.
Cependant, l'instant suivant les yeux de Scorpius de révulsèrent et sa tête roula sur le côté. Pris d'un affreux doute, le frère de James mit son oreille contre la poitrine du blond espérant entendre de faibles battements de coeur mais rien ne parvint à son oreille.

Nouvelle participation pour ce mot ! Bon, je suis pas très original car c'est sur les Cinq Légendes mais comme Ywëna m'a demandé une crak-fic sur Pitch. Et elle m'a proposé Pitch drogué sans faire exprès. Donc pour un peu de contexte: Pitch s'est retrouvé coincé sous un lit d'adolescent et les dit-adolescents ont fait tourner les joints... Donc, Pitch n'est pas vraiment dans son état normal, voila ! xD
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Jack fixait le roi des cauchemars avec un gros poing d'interrogation tatoué sur le visage. Quand Fée leur avait dit qu'elle avait croisée Pitch en train de jouer à "ni oui, ni non" avec ses cauchemars, il n'avait pas voulu le croire. Pourtant, Fée leurs avait assurée que, quand elle avait demandé à Pitch si il allait bien, il avait gueuler "Positif !" avant de s'enfuir en riant. Les Gardiens n'avaient pas trop réagit, se demandant simplement si Pitch n'avait pas griller un fusible.

Ils n'étaient pas à ça près.

Puis, Bunny avait rappliqué en fulminant au Pôle Nord et tenait le Croque-Mitaine par la peau du cou. Pitch était venus sur son île, avait piqué de la peinture et c'était mis à dessiner sur tous les murs. Bunny avait d'ailleurs écopé d'un trait jaune vif en travers du visage en tentant d'attraper Pitch. Maintenant, ce dernier couinait comme un môme pour qu'on le lache. C'est à ce moment là que Jack remarqua les yeux rouge et les pupilles dilataient du plus vieux. Bunny le lâcha et Pitch resta allongé par terre à fixer le plafond, les mains croisés sur le torse. Tandis que les Gardiens discutaient de l'état de Pitch, Jack décida de comprendre ce qui avait bien pus arriver au Croque-Mitaine.

_Pitch ?

_J'ai eu une idée Jack. Déclara le brun sans regarder le plus jeune.

_Ah ? Et c'est quoi ?

_Et si la prochaine fois, au lieu d'une armée de Cauchemars, j'avais une armée de chatons !

Il ne fallut pas bien longtemps pour faire le lien entre les discours incohérents et les actions ridicules du Croque-Mitaine. Jack s’agenouilla à côté de lui, le fixant avec un petit sourire:

_Pitch, est-ce que t'as fumé ?

_Des chatons, Jack !

_Mais oui, c'est ça...

_Faudra y penser hein ! S'exclama Pitch avant de rire bêtement car il venait d’apercevoir une araignée. Jack ne put s'empêcher de rire à son tours.

La drogue humaine faisait un effet bœuf sur les esprits.

– Eh, Cyrius ! demanda Demy en s’asseyant à la table des Poufsouffles. Pour combien est-ce que tu serais prêt à casser le poignet de James Potter ?

Le Quatuor mangeait ce jour-là à la table des Poufsouffles. Les Rôdeurs, eux, squattaient chez les Serdaigles, et la table bleu et bronze était presque aussi bruyante que celle des Gryffondors. Actuellement Naima et Scorpius étaient lancés dans un bras de fer enragés, leurs coudes posés entre deux plats de purée très chauds. Celui qui perdrait aurait une vilaine surprise en baissant sa main…

– Ça risque d’être dur, fit Cameron sans lever les yeux du piège à souris qu’il bricolait. Potter est toujours flanqué par ses gorilles.

Demy loucha sur le Serdaigle, mais s’abstint de lui demander ce qu’il faisait avec une tapette à rongeurs en plein milieu du repas de midi.

– Fred et Faust peuvent difficilement être qualifiés de gorilles, fit remarquer Abby en prenant place près de sa meilleure amie. Surtout Fred, il a une carrure d’allumette.

– Pas Fred, Brian, rectifia Oscar. Brian McLaggen, celui qui fait du karaté. C’est son nouveau meilleur ami maintenant.

Gaby hocha la tête et, tout en passant à Cameron un minuscule tournevis afin de resserrer le ressort du piège, il expliqua :

– Ouais, Fred a un faible pour Amy. Améthyste Rosalius. Une Serpentard de cinquième année pote avec les Rôdeurs.

– Ah oui ! Celle qui a eu les cheveux violets, non ?

– Oui. Enfin, voilà, Fred l’aime bien. Depuis qu’il le sait, James ne lui parle plus.

Oscar esquissa un fin sourire :

– Il fait la tête parce que Ay aime bien Fred, surtout. Je te rappelle que James est détesté par tous les Serpentards… Tu sais qu’Aenor lui a mit un râteau aujourd’hui ?

– Enfin un élément positif dans la journée, soupira Gaby. Peut-être qu’il va se tenir à carreau cet après-midi, alors… On a Potions et je n’ai pas envie qu’il fasse encore foirer ma préparation en s’agitant comme un débile !

Demy roula des yeux, puis se tourna vers le Poufsouffle de la table :

– Enfin bref. Cyrius, tu es sûr ?

– Je ne le ferais pas, fit gravement Cyrius. Je te rappelle que Poufsouffle a perdu contre Serpentard. Je suis censé être en colère contre la maison de ton frère.

– Tu as fêté cette victoire ! se récria Oscar.

– Certes, concéda Cyrius. Bon, disons plutôt que je n’aurais pas cassé le poignet à James parce que je m’intéresse au sport et que je ne veux pas fausser le match.

– Ah, lâcha Demy d’un air déçu. Dommage.

Puis, après deux secondes de silence, elle craqua :

– Cameron, qu’est-ce que tu fabriques au juste ?!

Le Serdaigle l’ignora, et après un dernier mouvement de tournevis, se redressa avec satisfaction en observant son piège à souris prêt à fonctionner.

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