Surprise ! Les OCs sortent de leur histoire pour se rencontrer et foutre le bordel !

Ok. C'est gens regardaient le nouveau venu comme s'il s'agissait d'un extraterrestre mais semblaient le connaitre. Gé-nial. Encore un timbré de leur monde de ninja. Youpie ! Dire que l'époque Edo était passé depuis des lustres...
Ayame pinça l'arête de son nez entre son pouce et son index avant de la relacher. Sans plus se préoccuper des autres cinglés - non mais sérieux, qu'avait-on a en faire de savoir qui connaissait qui ? - elle se tourna vers le scientifique qu'elle attrapa par le col et le colla au mur, ses pieds touchant à peine le sol. Il était vachement léger pour un vieux. De l'autre main, elle saisit son zanpakutô et le colla sous sa gorge.
- Toi. Tu nous renvoies chez nous. Maintenant. Ce n'est pas que je ne veuille pas deviser avec ces fous mais... Si, en fait. Kurosaki me suffit.
Le susnommé protesta tandis que le scientifique se renfrognait.
- J'ai déjà dit que ce n'était pas possible ! Pourquoi ne m'écoute-t-on jamais ?!
Elle se retrouvait elle ne savait où avec des gens qu'elle ne connaissait pas qui appartenaient visiblement à des dimensions différentes. Son kidô ne marchait pas -elle avait discrètement essayé- et Seika faisait la sourde. Elle perdait donc légèrement son sang-froid...
- Si je te décapite, qui sais, peut-être serons nous renvoyé chez nous ?
- Bakaryuu ! Fais pas la conne !
- Tu as dit quoi, Kurosaki ?!
- Bakaryuu !
Ayame lacha le vieux bonhomme et se jeta sur Isshin.
- Cette fois, je t'étripe !

Sasuke-sensei se tourna vers celui au cheveux orange, qui était à côté de la fille au fouet.
- Lui par contre, je suis sûr d'une chose, je ne l'ai encore jamais vu!
Ils en étaient rendu là quand la vieille commença à s'impatienter. Elle commença à attaquer Sadako et après quelques mots, elle se tourna vers l'autre vieux qu'elle semblait connaitre. Elle nota mentalement une tentative de meurtre en plus.
Sasuke se tourna vers elle.
- et c'est qui, eux ?
- Aucune idée. D'ailleurs, a part toi et le blond je ne connais pas les autres. Et encore, le blond...
Sasuke se tourna vers Minato, l'air horrifié, et se détendit immédiatement en voyant Minato.
- Alors Sasuke, tu avais peur de voir l'autre imbécile en orange ?
Ryuka fut soudain très intéressé.
- Sasuke-sensei a peur de Naruto Uzumaki ?
Hanae eu soudain une illumination et elle se tourna vers elle.
-Dis, t'es l'élève de Sasuke, alors tu dois savoir deux-trois trucs, non ?
- Euh...Peut-être...
Un immense sourire éclaira le visage de l'épéiste.
- Alors tu vas pouvoir me rendre un service, j'ai quelques petites choses à savoir !

(A mon humble avis, les retrouvailles made in Naruto s'éternisent...)

- Euh, Blair...

L'américaine se frotta le crâne, agacée. Ils s'étaient engagés dans les jardins, qui étaient en fait de véritables labyrinthes...Sans sortie.
Lentement, faisant appel à tout le self control qui était en elle, elle se retourna vers son ami aux cheveux rouges.

- Quoi ?
- Je crois bien qu'on est complétement perdus...
- Et qu'est-ce qui te fait dire ça ? fit l'américaine en soufflant bruyamment.
- Le fait qu'on soit passé sept fois devant cet arbre.
- C'est une bonne raison. Bon, dégaine ton maillet qu'on s'envole d'i...

Alors qu'elle regardait la cuisse de son intrlocuteur - ou devait se trouver l'arme en question - elle ne vit que du vide. Elle pâlit soudain.

- Lavi.... OU est ton maillet ?
- Je crois...qu'on a plus qu'à crier très fort....
- A L'AIIIIIIIIIIIIIDE !

(oui, pas faux ^^ faudrait faire bouger tout ça... Mais je manque d'idée ^^)

- Ah, mais non, Sasuke doit d'abord nous prouver qu'il est lui... Dis-moi un truc sur Sachiko.

- Quoi ?

Non !

- Tu es incapable de te faire obéir d'un chat.

- Une Invocation

Une chatte de race hautaine qui arrive à me toiser d'un air méprisant même si elle est haute de soixante centimètres, et aussi prétentieuse et arrogante qu'un Uchiwa maladivement narcissique, môssieur moi-je-n'ai-jamais-d'ennui-avec-mes-Invocations !

- Évidemment, puisque j'ai le bon sens d'invoquer des serpents, moi.

- Tous les invocateurs de serpents sont de gros vicieux à qui il manque une case.

- Eh !

- Ôte-moi d'un doute, tu invoques bien les serpents, non ?

- Ce n'est pas.... Je ne...

- A L'AIIIIII

IIIIIIIDEEEE !

Vive la diversion

- J'y vais !

(Bon, allez, je m'y met sans avoir tout lu. Et puisque c'est - un peu - passé à la trappe, on va dire que c'est la fin. Ou pas. Ou peut-être. Et puis, j'ai écris ce texte au feeling, parce que j'avais pas d'idée.)

_ Je suis une amie, je suis une amie, rangez-moi ça s'il vous plait!
En effet, Sachiko me tenait fermement, un kunai sous la gorge.
Et elle ne comprenait rien, mais absolument rien de ce que je pouvais dire.
C'est qu'elle parlait japonais, c'te fille.
Quand je vis Lavi pointer le bout de son nez, je fis mon testament. Fort heureusement, il n'avait pas l'air blessé comme dans ma fic, et la présence de Blair me rassura. Quelques mots furent nécessaire pour qu'on me lâcha. On me demanda en anglais qui j'étais.
Et cinq minutes plus tard, j'avais tout dit sur mon compte.
_ Donc, récapitula Sachiko, tu viens d'un monde où nous sommes de la fiction, ce qui explique que tu nous connaisse, et qu'en ce moment, une auteur est en train de narrer nos aventures, ce qui est d'ailleurs la raison de notre présence ici, et tu pense qu'on va te croire?
_ Faut dire que j'ai avoué des choses que nul d'autres que vous ne connaisse...
_ Si tu sais tout, intervient Blair pendant que Sachiko rougissait, tu sais comment sortir d'ici?
_ Eh bien, faut voir avec l'auteur.
Il eût un silence.
_ Tu nous a dit que t'étais auteur, toi aussi. remarqua Lavi.
Nouveau silence. Je sentais la question arriver.
_ Tu sais écrire?
_ Hein? Euh, oui.
_ Bon. Alors écrit qu'on rentre tous dans notre dimension.
J'écrivis ces mots sur le sol en l'imaginant très fortement.
Puis, je relevais la tête.
Tout le monde avait disparu. Ils étaient rentrés dans leurs dimensions.

Fin.

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